10/08/2013
12:59:33
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[AMBASSADES] Le Hall des Ambassades du Jashuria - Page 16

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Ministère des Relations Internationales


Traité de Loeïgrad


Madame, Monsieur,

Estimé représentant de Jashuria,

Suite à vos suggestions de collaboration économique et culturelle, la Poëtoscovie serait enchantée si le Jashuria signait le traité de Loreïgrad.

Celui-ci prévoie notamment l'acceptation d'une Convention Internationale des Droits de l'Enfants et une libre-circulation des marchandises culturelles ou éducatives entre le Jushuria, la Poëtoscovie, mais aussi l'ensemble des pays signataires du Traité de Loreïgrad.

En espérant que vous serez en plein accord avec cette proposition riche notamment économiquement, mais aussi et surtout culturellement, je vous prie d'agréer l'expression de mes salutations sincères,

Très cordialement,


Jolan Sandro,
Président de la Poëtoscovie
3496
Ministère des Relations Internationales


Réponse suite à l'échange concernant le Traité de Loeïgrad


Madame la Quatrième Ambassadrice du Jashuria,

J'ai cru comprendre que vous preniez dorénavant la Poëtoscovie comme un pays à l'image lui-même plus haute que ce qu'elle ne sera jamais. Je souhaite avant tout vous rassurer et demeure conscient que certains mots ont pu avoir un double sens tout à fait regrettable. Le tir sera évidemment corrigé afin d'éviter que nos rapports diplomatiques en soient entachés. Ainsi, je tenterai de répondre méthodiquement, point par point, à l'ensemble de vos remarques dont la constructivité constante ne saurait que faire s'élever la compréhension mutuelle d'un texte de loi, pourtant d'une importance mesurée et raisonnable.

Lorsque, dans le traité, il fut admis qu'un État ne partageant pas ses connaissances était complice de l'ignorance, les mots ont pu être, et je le conçois, interprétés d'une manière provocatrice, violente, agressive et tout simplement inacceptable. Sachez que dernière cela ne se cachait pas un demande de trafic d'information militaire ou du renseignement, ni même économique ou quoi que ce soit : cela restait dans le cadre défini par le préambule, à savoir la culture (et l'éducation). Tout élément pouvant provoquer une confusion sera donc rectifié.

Concernant l'annulation le libre-échange des marchandises culturelles et éducatives, je remarque qu'en effet, l'imprécision commise par le gouvernement a été titanesque. Ces marchandises seront donc limitées d'un part aux livres, et d'autre part aux matériel pédagogique lorsqu'il sera commandé par une école (celle-ci étant les seules bénéficiant d'un laissez-passer, afin d'éviter les abus dont vous parliez). Enfin, afin de vous rassurer, laissez-moi vous rappeler que les taxes ne seront pas annulées, et que les produits suivront donc la même legislation que ceux nationaux. Ce qui changerait serait le montant des frais de douane et d'important, qui passerait donc à zéro. Pensez bien que la Poëtoscovie non plus ne souhaite pas voir ses recettes devenues nulles par un simple accord irréfléchi.

De plus, concernant l'æuro, celui-ci n'aura pas vocation (et ne l'a jamais eu) à remplacer la monnaie locale. En effet, la Poëtoscovie n'aurait pas eu l'indiscrétion de se mêler à l'économie d'un pays dont il ne connaît que trop peu de choses. L'æuro aurait ainsi pour fonction de payer uniquement les marchandises culturelles. Cela aurait permis, en outre, la création d'une économie parallèle basée sur l'art, faisant entre autre que celle-ci demeure inchangée durant les périodes d'inflation, assurant donc un revenu minimum accordé aux artistes concernés, par conversion pour chaque pays de l'æuro (fixé et inchangeable dans le temps, but de la monnaie utilisable dans un unique milieu).

Enfin, le fait d'inclure le Traité de Loreïgrad comme partie intégrante du bloc constitutionnel ne veut absolument pas dire que celui-ci fera partie de la Constitution. Cela signifiera simplement qu'il aura un "niveau juridique" plus important sur la pyramide de Kelsen, soit la hiéarachie des normes. Conscient néanmoins que cela puisse intimider, cet article sera facultatif.

Quoi qu'il en soit, si le Jashuria ne souhaite rejoindre la Ligue même après la modification du traité, cela relève de ses compétances, et ce choix ne saurait qu'être respecté et compris par la Poëtoscovie toute entière. Nous sommes profondément navrés du fait que vous ayez pu croire la Poëtoscovie désireuse d'outrepasser la souverainteté nationale de quelque pays que ce soit. Les demandes effecutées fonctionnaient aussi bien dans un sens que dans l'autre, et la volonté sincère de la Poëtoscovie de lutter pour les droits humains, en particlier des enfants, est une véritable préoccupation et non pas une excuse dimplomatique pour soumettre quelque autre État - encore moins le 5e PIB mondial.

Sachez seulement que derrière ces initiatives très - trop - maladroites demeure un État confus de vous avoir offensé.

Très cordialement,


Jolan Sandro,
Président de la Poëtoscovie
2408
Ministère des Relations Internationales


Réponse suite à l'échange concernant le Traité de Loeïgrad


Madame la Quatrième Ambassadrice du Jashuria,

Sachez tout d'abord que nous comprenons que le Jashuria ne souhaite signer ce traité, et s'il considère par cet acte affirmé une souverainteté dont la Poëtoscovie n'a jamais douté, soyez conscients que nous ne nous en offensons pas, et que cette liberté qui est la vôtre constitue, à mon ens du moins, un élément essentiel au bon fonctionnement d'une scène internationale riche et puissante.

Comprenez cependant que je sois un petit peu surpris par la totale incompréhension résidant dans notre dialogue. En effet, comme expliqué dans les notes du Traité, les artistes ne seront JAMAIS payés en æuro, ce qui serait, nous vous rejoingnons effectivement, une erreur grossièrement stupide et maladroite. Le commerce culturel, lui, devrait s'appuyer sur cette monnaie afin de garantir un prix stable (et non en baisse comme cela a pu se voir de nombreuses fois lors d'épisodes inflationistes concernant les produits ne correspondant à un critère de nécessité). Je me permet de copier-coller l'exemple dans la note du traité : "L'artiste A fait estimé son tableau à 4000æuros. L'inflation augmente et la devise locale perd en valeur. Seulement, les 4000æuros restent inchangés, car les produits impactés par l'inflation sont tout d'abord ceux de première nécessité. Ainsi, si elle souhaite vendre l'oeuvre à l'international, celle-ci conservera la même valeur.
En gardant la monnaie locale, si le tableau avait été estimé à 4000£ (devise au hasard), et que la monnaie perdait de sa valeur, alors 4000£ correspondrait à beaucoup moins compte tenu du coût de la vie augmenté par rapport à la monnaie.
"
J'espère que vous comprendrez alors, même en n'adhérent par à cette idée, que celle-ci ne relève pas d'une erreur économique de notre part mais bien d'un choix conscient et réfléchi afin de lutter pour le pouvoir d'achat des poètes, sculpteurs, musisciens et autres artistes.
De plus, sachez que nous vous faisons confiance lorsque vous affirmez que l'enfer est pavé de bonnes intentions, le Jashuria étant bien plus expérimenté, c'est un fait à ne pas nier, que la Poëtoscovie.

Concernant le droit international, je vous assure que nous "maitrisons notre sujet". Avec un soupçon supplémentaire d'observation, vous auriez en effet pu vous apercevoir que la Poëtoscovie était, lors de la modification du traité, seule signataire du texte en question (chose ayant évoluée depuis, par la signature d'un pays en demande justement d'un accord sur la culture et l'éducation). La modification du traité pendant la nuit a donc bien fait l'objet d'un signalement (et même d'une consultation ainsi que d'un vote) des États membres : c'est à dire la Poëtoscovie seule. Bien entendu, si le traité devait faire l'objet d'une modification (autre que sur les notes qui lui sont assignées), la Poëtoscovie consulterait l'ensemble des États membres en leur fournissant les détails de la modification du traité qu'il pourront accepter tout en permettant, le cas échéant, de trouver une voie de sortie bénéfique à tous.

Certains que vous comprendrez, cette fois, que les torts ne sont pas que de notre côté, je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées.

Très cordialement,


Jolan Sandro,
Président de la Poëtoscovie
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À l'intention de Dame Lalana Preecha

Madame,

Honoré de pouvoir rentrer en contact avec la plus grande puissance du Nazum, je vous adresse mes plus sincères salutations. À l'heure actuelle, il ne me semble pas que nos deux nations soient entrée en contact sur la scène diplomatique que ce soit directement ou indirectement. En ces temps agités, il est important de nouer des relations à travers le monde et de développer un réseau diplomatique fort pour éviter les conflits et servir les intérêts de chacun. Le saviez-vous, beaucoup de navires kolisiens passent par le canal jashurien pour éviter de devoir passer par l'Est Eurysien? Non? Et bien maintenant vous le savez. Ce qu'on ignorait il y a encore quelques temps c'est que certains commandants de vaisseaux kolisiens étaient si admiratifs de la nature du Nazum et environnante au Jashuria qu'ils se permettaient il y a encore quelques temps de s'accorder une pause non loin du canal causant parfois quelques retards (navré pour cela). En bref, l'amour des kolisiens pour les cultures et différentes coutumes des pays du monde n'est plus à cacher et, c'est pourquoi je vous envoie cette missive puisqu'il semble que la tranche des 40-50 en Kölisburg sont attirés par le Jashuria et en font une destination tendance. Ainsi, si vous l'acceptez, je vous propose une première rencontre entre nos deux nations pour que nous puissions discuter ensemble de ce que nous attendons dans le monde.

Bien à vous,

𝘼𝙙𝙖𝙢 𝙃𝙚𝙞𝙙𝙚𝙣𝙗𝙤𝙧𝙜, 𝘾𝙝𝙚𝙛 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙙𝙞𝙥𝙡𝙤𝙢𝙖𝙩𝙞𝙚 𝙙𝙚 𝙆𝙤̈𝙡𝙞𝙨𝙗𝙪𝙧𝙜
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À destination de Madame Lalana Preecha, Première Ambassadrice du Jashuria


Votre Excellence, Chère amie

Cela fait longtemps que je n’ai pas pris la plume pour vous écrire et pourtant, j’estime essentiel que nos deux pays, leaders économiques et militaires du Nazum entretiennent de bonnes relations amicales, sereines et régulières. C’est pour cela que je me permets de corriger cet affront.

Comme vous le savez, les coopérations mutuellement bénéfiques entre nos deux pays sont déjà diverses et nombreuses. Ainsi au moins une fois par an nos armées organisent un exercice militaire conjoint intégrant nos différentes composantes militaires. Nos étudiants ont accès à la base en ligne E-Hon qui permet l’accès à des millions de ressources documentaires littéraires et scientifiques. Sans oublier notre partenariat énergétique avec la création du vaste réseau de câbles électriques est nazuméen.

Mais je pense qu’il est temps d’aller plus loin dans nos coopérations ponctuelles et de placer les relations entre nos deux pays dans un nouveau cadre plus adapté à la situation internationale globale. Je ne peux pas nier non plus que les relations entre nos deux pays seront de plus en plus amenées à se conflictualiser si nous ne faisons rien. Hors, aucun burujois ne croit en la fatalité et c’est pour cela que Sa Majesté, Son Altesse Impériale Tadashi IV, empereur des saintes terres du Burujoa et de tout le peuple burujois souhaitent vous convier à une rencontre diplomatique amicale dans notre magnifique préfecture rurale de Kikokonai, dans la région du Tochi ylmasien.

Amicalement, pour que l’amitié entre nos deux pays vive éternellement !

Karaimu, le 24 juin 2013, Keiko Burujoa, 3e princesse burujoise et directrice du département des affaires étrangères portrait
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Lalana Preecha, Première Ambassadrice du Jashuria, notre amie.

Votre Excellence,

Vous l'avez peut-être lu dans la presse locale mais nos frontières sont de nouveau ouvertes au tourisme florissant que permet le Spaoya.
Nous ne pouvions décemment laisser cette nouvelle se répandre sans vous adresser un mot écrit, témoin perpétuel de nos échanges téléphoniques réguliers. Si aujourd'hui notre nation redécouvre l'ouverture au monde, c'est en partie, voire grande partie grâce à notre lien indéfectible et à l'attachement réciproque que nous avons pour nos pays.

Notre acharnement respectif, ainsi que la collaboration étroite de nos Universités a permit ce renouveau.

De fait, permettez moi de vous inviter officiellement à atterrissage du prochain avion de tourisme qui sera accueillie en grande pompe par Analu en personne. S'en suivront une série de festivités auxquelles vous et votre délégation êtes évidemment conviés. Un évènement sportif, à l'image des jeux spaoyens sera organisé et nombre d'épreuves permettront de mettre en avant le savoir ancestral insulaire. Si une équipe Jashurienne souhaite s'y présenter, elle sera accueillie avec plaisir et tradition.

Respectueusement,

Nohea Alohilani, Premier Diplomate de la fédération de Spaoya
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Le président avait savouré sans craintes ces pâtes de fruits exquises et réputées provenant du Jashuria, sachant que ces gens avaient en eux la dignité et les principes qui plaisent à tous les Hommes.
C'est alors qu'un beau matin comme il en est toujours au Jashuria, une boîte encore plus belle et encore plus volumineuse fut déposée à l'accueil du Hall des Ambassades du Jashuria. Ce magnifique coffre portait la mention :


« Universellement remercié. »

Dans ce coffre se trouvait une maquette de la plus somptueuse de toutes les galères translaviques : la Posnatelle. La maquette, toute faite de bois rares, d'or, et d'argent, pesait tout de même quelque chose.

Bucintoro
1989
Drapeau
De: Voinov Alexis
À: Nantipat Sisrati, premier ministre
Sujet: Réponse à la lettre envoyé dans l'ambassade de la République des Ouvriers

Camarade,

C'est avec un grand plaisir que je vous envoie toutes les salutations les plus grandioses de notre peuple et de notre président. Notre dirigeant s'excuse envers vous avec sincérité de n'avoir pu vous répondre plus tôt et vous prie de ne le prendre point mal. Nous justifions cela par notre préparatif pour un tournant majeur de notre nation, chose faite nous vous envoyons notre réponse, encore toutes nos excuses.

En se moment nous avons également votre politique de développement de relations amicales entres autres pays, afin d'avoir entre voisins et autres nations étrangères un climat de paix et de tranquillité ce qui est primordial pour notre peuple. Notre économie en revanche n'est pas encore à la hauteur de votre doctrine mais notre gouvernement fait de son mieux pour ouvrir son économie au monde, idée qui commence à fonctionner et s'étoffe de plus en plus et probablement vous nous aiderez en commerçant avec nous à embellir l'mage de cette fameuse politique mercantile. L'annonce de l'existence d'une organisation économique faite par vous nous donne l'envie de la rejoindre afin de faire germer une solide amitié entre nos deux nations et de solidifier notre économie.

La voie du dialogue que vous nous proposez, nous l'acceptons avec un grand plaisir car notre communisme est basé sur des valeurs de liberté et de démocratie. En aucun cas notre nation sera réticente de dialoguer avec une autre puissance parce qu'elle n'est pas communiste car le communisme est aussi basé sur l'acceptation d'idées différentes et de personnes différentes.

Nous acceptons donc naturellement la venue de vos ambassadeurs dans notre capitale et la création d'une ambassade destinée à votre pays. Nous souhaitons aussi d'avoir le droit de rejoindre votre organisation commerçante comme je l'ai annoncé plus tôt.

Nous souhaitons que vous allez accepter notre demande d'alliance ou d'amitié, de notre côtés nous acceptons vos demandes de paix et vous remercions beaucoup pour cet accueil chaleureux que vous nous avez fait. Nous nous excusons encore de notre grand retard de notre réponse,

en attente de votre réponse je vous souhaite une agréable journée.

Cordialement,

Voinov Alexis.
1215
Missive au président de la 3e République du Jashuria.

Son Excellence Fernando de San Hispaniola,
à
Son Excellence le ministre des affaires étrangère.

Depuis son accession au trône l’Empereur, Louis VI d’Antérinie et roi des états antériniens d’Afarée,grand duc des territoires antériniens d’Aleucie et grand directeur de l’Union des Compagnies Commerciales Nuzuméennes, vous annonce qu’il voudrait noué des relations entre nos deux pays.
C’est pour cette raison que je vous envoie ce courrier, car comme vous le savez sûrement, son prédécesseur l’empereur François II ne c’est jamais réellement investi dans les affaires diplomatiques et plus largement aux affaires étrangères.

C’est pour cela que j’ai été mandé dans le cadre d’un potentiel accord diplomatique entre nos deux nations.
Cet accord servira avant tout à garantir de bonnes relations et d’assurer la sécurité pour nos ressortissants respectifs.
Nous proposons l’établissement de plusieurs ambassades dans les principales villes de nos deux pays.
Nous proposons aussi l’installation de plusieurs consulats disséminés dans les moyennes bourgades et les cités de seconde zones.

Nous espérons que vous accepterez ces modestes demandes et que nos deux nations pourront approfondir leurs relations dans des cadres plus spécifiques, comme le commerce ou le domaine militaire.

Avec nos plus sincères remerciements.
1947
Missive adressée au premier ministre de la troisième république du Jashuria,

Son Éminence Fernando de San Hispaniola,
à
Son Excellence Parvati Mathai, quatrième ambassadrice du Jashuria.

Excellence,

Notre erreur est inadmissible et nous comprenons parfaitement le désarroi des habitants du Pays-Fleuve devant notre erreur.
Naturellement le corps diplomatique sur place sera rudement réprimandé par notre ambassadeur dépêché en toute hate.
Nous sommes réellement désolé et nous excusons notre attaché peu regardant lors de l’envoi de notre précédente missive.
Nous esperons malgré notre impardonnable manque au protocole diplomatique que les Jashurien n’en garderont pas rancune.

Nous acceptons avec joie votre demande, et la République du Jashuria pourra installer un cortège diplomatique dans nos principales villes, à savoir notre capitale pour votre ambassade.
Vous pourrez installer des consulats à vos frais au sein de plusieurs grandes villes, par exemple les capitales coloniales, Marcine, St Arnaud des Pics ou la Nouvelle Antrania.
Il est certes dommage que l’empire ne puisse etre implanté dans vos principales villes mais après tout « Dura lex sed lex » et nous nous plierons à vos lois.

En revanche votre dernière proposition est en vérité assez complexe, l’Union des Compagnies Commerciales Nazuméennes est né d’un contrat avec plusieurs société commerciales présentes depuis la colonistion et ces dernières sont en quasi moonopole.
L’empire n’a qu’une autorité limité sur le territoire comme l’atteste plusieurs incidents entre les Compagnies et les représentant impériaux.
Ainsi avant de signer tout actes commerciaux, les compagnies commerciales allant de la Compagnie commerciale du Nazum Oriental à la Compagnie Impériale d’Aleucie doivent etre tenus au courant.

C’est pour cela que nous vous demandons de présenter votre proposition en entier, cela nous permettra d’en débattre aux assemblées et avec les compagnies impériales.
Malgré tout soyez assuré que nous nous montrerons très favorable à ce projet et que nos députés tenteront de le défendre avec le plus d’acharnement possible.

Cordialement,

Nous vous adressons nos plus sincères excuses ainsi que nos remerciements les plus distingués.
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