25/02/2015
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VARANYA - Le Calme avant la Tempête - Page 7

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BATAILLE DE MEYAHAN (Front 1)
De mi-avril à début juin 2004

Régiment d'infanterie motorisé de la Révolution varanyenne
Articulées autour d’un peu moins d’un millier de véhicules légers, les offensives révolutionnaires dans le Nord-Ouest du pays imposent une grande élasticité à la ligne de front ennemie.


La relative percée des troupes révolutionnaires aux abords d’Ahvadeh oblige l’état-major de l’Alliance Nationale Varanyenne (FNV) à consolider la frontière nord du pays pour éviter la prise en tenaille des troupes tentant la prise d’Ahvadeh. Les forces de l’ANV stationnées le long de la ligne de front à proximité de Meyahan, marquent une avancée en direction de Wamran. Mais la ligne de front ennemie, érigée une centaine de kilomètres en amont, les contraint à rapidement engager le combat. Les puissances de feu détenues par les deux camps se sont d’abord révélées comparables. Mais l’arrivée progressive d’unités révolutionnaires motorisées, a amené une nouvelle flexibilité autour de la ligne de front.

Significativement plus motorisées que les troupes impériales, les troupes révolutionnaires sont parvenues à contourner différentes positions des loyalistes. Les déplacements réguliers des forces de l’ANV, ont permis l’éclatement de plusieurs affrontements de proximité. Un fait d’autant plus marqué par le concours des forces aéroportées fortunéennes, venues frapper l’ennemi derrière ses positions défensives malgré la présence de quelques canons antiaériens fixes dont le tir de l’un d’entre eux parviendra cependant à endommager la carlingue d’un hélicoptère de transport. Des techniques de harcèlement qui paient mais trouvent cependant leurs limites avec une suprématie aérienne acquise aux forces loyalistes et ses alliées, entrainant la suspension rapide des manœuvres aériennes fortunéennes.

L’artillerie révolutionnaire est également d’un soutien précieux, par la présence de nombreux mortiers tractés, plus facilement déplaçables par de simples véhicules légers tout-terrains.
Pour contrer les manoeuvres de débordement des régiments d’infanterie motorisés révolutionnaires, les forces impériales sur zone disposent d’un bataillon de cavalerie blindé agrémenté d’un peu de trentes véhicules lourdement armés. Cependant ce nombre se révèle encore insuffisant pour contenir l’ensemble des incursions de l’Alliance Nationale Varanyenne.

Au terme d’un mois de conflits, la majeure partie des positions défensives équipées de mitrailleuses lourdes, ont été débordées, modelant une nouvelle ligne de front au gré des carences en unités motorisées.

Camp Révolutionnaire (hors arrière garde)
Troupes engagées :
9000 soldats conscrits (-1 384)
1000 soldats réservistes (-82)
9376 armes légères d'infanterie de niveau 2 (-1 692)
2 624 armes légères d'infanterie (-1 600)
20 véhicules blindés légers
17 véhicules utilitaires (-8)
41 autobus
500 mitrailleuses lourdes (-200)
150 lance-roquettes
930 véhicules légers tout-terrains (-280)
32 mortiers tractés (-2)
60 mortiers légers
200 lance-missiles antichars (-57)
1 véhicule de transmission radio

Camp arkencan
Troupes engagées:
300 soldats professionnels (-6)
300 armes légères d’infanterie niveau 3 (-6)

Camp fortunéen
800 soldats professionnels (-34)
800 armes légères d’infanterie lvl 2 (-34)
50 mitrailleuses
100 lance-missiles antichars
10 hélicoptères de transport moyens (dont 1 appareil endommagé à 145/500)
10 canons tractés (-1)

Camp impériale (hors arrière garde)
Troupes engagées:
5 500 soldats conscrits (-2 438)
500 soldats réservistes (-267)
300 soldats professionnels (-42)
5 662 armes légères d'infanterie de niveau 2 (-2 581)
9 998 armes légères d'infanterie (-28)
1000 mitrailleuses lourdes (-900)
84 lance-roquettes (-84)
350 lance-missiles antichars (-250)
5 véhicules blindés légers (-5)
7 transports de troupes blindés (-2)
15 véhicules de combat d’infanterie (-2)
75 véhicules tout-terrain
10 véhicules utilitaires (-6)
5 autobus
30 camions de transport (-10)
2 véhicules de transmission radio
20 canons tractés
8 mortiers tractés (-4)
15 mortiers légers

Camp cémétéen
Troupes engagées:
13 canons antiaériens fixes (-8)
442
https://zupimages.net/up/21/20/chwi.jpg

Soutien aux troupes loyalistes varanyennes

Dans le cadre de la continuité de la participation de l'Empire Francisquien dans le conflit varanyen, l'État Major de l'Empire Démocratique des États Latins Francisquiens annonce l'envoi de :

5000 armes légères d'infanterie de niveau 2
100 lance-missiles antichar niveau 1
100 mitrailleuses lourdes niveau 1

Vive l'empereur, gloire à l'empire et prospérité aux Varanya.


https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/19/210419075939897804.png
5744
BATAILLE DE AHVADEH (Front 2)
De mi-avril à début juin 2004

Bombardements aériens orchestrés sur un convoi de véhicules blindés révolutionnaires.
A l’instar de ce véhicule d’appui tout-terrain VATT (litt. vehiculo de apoyo todo terreno), de nombreuses unités blindées révolutionnaires ont été détruites lors de la dernière offensive.


La bataille pour Ahvadeh est donc passée reine dans tous les excès, après la concentration progressive sur place de la majeure partie des troupes de la région, enregistrant un nombre de morts journalier croissant depuis le début du conflit. L’affrontement se fait effectivement au contact d’un peu moins de trente milles hommes, engagés sous les différentes armes des camps révolutionnaires et loyalistes. Dispersés sous deux forces à peu près égales de quinze milles soldats chacune, les soldats ont matière à entretenir les hostilités de manière continue, justifiant le nombre important de soldats décédés, déserteurs ou infirmes recensé.

L’introduction de régiments de cavalerie blindés et de l’aviation, a lui aussi rehaussé le degré d’intensité des combats. En position défensive sur une seconde ligne de front chargée d’accueillir les forces loyalistes dans leur retraite stratégique, les troupes impériales du Shah ont essuyé plusieurs assauts quasi quotidiens.

Des manœuvres adverses principalement orientées vers la rupture de front, par l’emploi conjoint de bataillons mobiles, combinant des dizaines d’unités blindées et motorisées, avec une aviation organisant des attaques au sol. Une tactique qui permet de déployer des troupes révolutionnaires au plus près des positions ennemies ancrées dans Ahvadeh, afin qu’elles puissent prendre en charge le combat urbain qui s’y déroule.

Face aux positions ennemies renforcées, les révolutionnaires ont même recours à des actions héliportées pour prendre le contrôle des bâtiments clés de la ville. Mais le repositionnement de canons antiaériens fixes impériaux, sur certaines places et espaces publics ouverts freine cette possibilité, contribuant même à l’écrasement d’un appareil révolutionnaire alors qu’il effectuait un hélitreuillage sur le toit d’un immeuble. Un fait d’armes des forces loyalistes qui calmera de nouvelles actions téméraires, sous-entendues héliportées, au-dessus de la ville.

Les mortiers révolutionnaires tractés, déployés à proximité de la ville, opèrent quant à eux des tirs de fumigènes, aidant la progression des forces alliées dans la ville tandis qu’elles organisent des assauts sur les principales places fortes du régime impérial. Plusieurs bâtiments institutionnels tels que le commissariat central d’Ahvadeh ou encore les groupes de télévision, sont désormais occupés par des commandos révolutionnaires. Les premiers jours d’affrontement marquent une nette domination du contingent révolutionnaire qui tient plusieurs positions au sein de la ville après des affrontements encore très meurtriers.

Néanmoins, les manoeuvres cémétéennes, impériales et albelaises changent quelque peu la donne. L’armée principale impériale, d’abord positionnée sur la conquête sud du pays, se repositionne pour rejoindre le front d’Ahvadeh. La dimension interarmées du contingent impérial et de ses alliés vient compliquer les offensives des forces révolutionnaires qui essuient des frappes aériennes quotidiennes sur ses troupes stationnées en périphérie de la ville. Le tir des canons antiaériens révolutionnaires ne parvient pas à mettre en difficulté les opérations aériennes albelaises, toutefois les opérations héliportées cémétéennes connaissent des revers et leurs manœuvres au-dessus de la ville sont quotidiennement sujettes à des attaques antiaériennes depuis les lignes révolutionnaires, tandis que les offensives du Front National Varanyen (cf : les révolutionnaires) enregistrent des pertes importantes au sein de leurs bataillons motorisés blindés.

Le redéploiement des contingents alliés à l’Empire permet un rehaussement de l’intensité des combats, entraînant d’importantes pertes humaines dans les rangs révolutionnaires pour les semaines qui allaient suivre.

Camp Révolutionnaire (hors arrière garde)
Troupes engagées :
1 369 soldats professionnels (-175)
5 378 soldats conscrits (-1 726)
3 193 soldats réservistes (-1 958)
6 706 armes légères d'infanterie de niveau 2 (-1 966)
5 378 armes légères d'infanterie (-1 756)
133 véhicules blindés légers (-39)
40 véhicules utilitaires
10 autobus
1 063 mitrailleuses lourdes (-663)
70 mortiers légers
364 lance-roquettes (-244)
353 lance-missiles antichars (-281)
400 véhicules légers tout-terrains (-190)
4 véhicules de transmission radio (-1)
10 hélicoptères de transport moyens (-1)
50 canons antiaériens mobiles
20 lance-roquettes multiples
98 mortiers tractés
100 transports de troupes blindés


Camp arkencan
Troupes engagées:
1 844 soldats professionnels (-98)
2 122 armes légères d’infanterie niveau 3 (-112)
45 transports de troupes blindés (-8)
100 véhicules légers tout-terrains
100 lance-missiles antichars
50 véhicules blindés légers
20 canons antiaériens mobiles (-19)
15 mortiers tractés
5 lance-roquettes multiples






Camp impériale (hors arrière garde)
Troupes engagées:
6 743 soldats conscrits (-2 968)
3 261 soldats réservistes (-1 032)
466 soldats professionnels (-170)
9 823 armes légères d'infanterie de niveau 2 (-4 643)
39 704 armes légères d'infanterie (-101)
1 154 mitrailleuses lourdes (-864)
340 lance-roquettes (-240)
1 250 lance-missiles antichars (-220)
33 véhicules blindés légers (-3)
33 transports de troupes blindés (-32)
75 véhicules de combat d’infanterie (-15)
222 véhicules tout-terrain
40 véhicules utilitaires
27 autobus
160 camions de transport (-44)
7 véhicules de transmission radio
43 canons tractés (-19)
15 mortiers tractés
70 mortiers légers

Camp cémétéen
Troupes engagées:
26 canons antiaériens fixes (-22)
7 900 soldats professionnels (-350)
9 900 armes légères d'infanterie de niveau 2 (-385)
1 000 mitrailleuses lourdes (-50)
1 000 lance-missiles antichars
25 véhicules blindés légers
50 véhicules de combat d’infanterie
200 véhicules tout-terrain (-30)
3 véhicules de transmission radio
25 hélicoptères de transport moyens (-5)
50 canons tractés (-10)
100 mortiers tractés
70 mortiers légers
25 avions de chasse (pas de cibles valides)

Camp albelais
Troupes engagées:
980 soldats professionnels
1 980 armes légères d'infanterie de niveau 3
200 mitrailleuses lourdes
245 véhicules légers tout-terrain
12 avions d’attaque au sol
459
https://nsa40.casimages.com/img/2021/05/23/210523125828876799.jpg

Afin de compenser les pertes matériels des dernières offensives des forces révolutionnaires contre les forces de loyalistes de l'empire du Varanya, l'État Major de l'Empire des États Latins Francisquiens réaffirme son soutien à l'empire et au grand Shah par l'envoi de matériel militaire.
L'État major annonce l'envoi de :

  • 50 véhicules léger-tout terrain
  • 10 véhicules de transmission radio
  • 500 mitrailleuses lourdes
  • 5000 armes légères d'infanterie niveau 2
  • 1620
    header


    Aumérine, le 15 octobre 2004S.M. Shahab al-Shah
    Empereur de Varanya
    Empire de Varanya
    Thadimis



    Votre Majesté,

    Le matériel militaire que nous vous avions promis dès janvier peine encore à être acheminé sur la ligne de front... Sachez cependant que notre industrie se plie en quatre pour produire et fournir à temps tout l’équipement ainsi que toutes les armes, sans oublier les munitions, dont vous avez besoin.

    Comptez pour se faire sur le soutien indéfectible du Reinaume d'Aumérine dont je réitère tout l'attachement et l'engagement aux côtés du Shah du Varanya dans ce conflit qui l'oppose au rebelles menés par Mohammad Karimi, lui-même nommé et mis en place par Aserjuco, parmi lesquels s’immiscent insidieusement les franges les plus radicales de l'islamisme et du bolchévisme. Faisant tous deux le terreau fertile du terrorisme.

    Pour espérer voir une issue à cette guerre d'usure, la coalition doit absolument inverser le cours du conflit. Sur le plan bien entendu purement militaire mais aussi et surtout sur le plan psychologique. Car ne nous y trompons pas, cette guerre ne se gagnera pas avec les armes et méthodes conventionnelles face à un ennemi perfide et usant de propagande pour tenter à la fois d'ostraciser le régime et de faire légitimer son action auprès de la populace locale.

    Veuillez, Votre Majesté, recevoir et accepter ce nouveau don de matériel militaire du Reinaume d’Aumérine en gage de notre amitié passée et celle à venir. C'est avec cette même détermination et en restant unis que nous vaincrons nos ennemis communs.


    signature
    aumérine a écrit :
    Transfert vers l'armée loyaliste des matériels suivants :

    • 20 Lance-missiles antiaériens mobiles de niveau 1
    • 10 Lance-roquettes multiples de niveau 1

    Par Baisul, sous contrôle de la force aumérinoise au Varanya, puis par Thadimis jusque sur le front. Ces matériels se placeront ensuite sous la responsabilité de la division Acier.
    787
    https://zupimages.net/up/21/34/vrcw.png

    Appuyant l'appel de la démocratie peuplique socialiste d'Astra sur un conflit dont on entend trop parler dans le monde, le ministre des affaires étrangères francisquien a réagit

    La déclaration de la démocratie peuplique socialiste d'Astra sur le conflit Varanya et envers le Shah est une déclaration de raison et d'apaisement alors que le conflit comme personne ne l'ignore semble déjà gagné par certains. À l'heure où un peuple a beaucoup souffert et ne demande plus à se battre pour sa vie il est temps de réfléchir à l'après et de compter sur l'avis des 22 millions de Varanyens qui peupleront un jour soit l'empire varanyen, soit la république de Varanya.

    L'empire démocratique latin francisquien soutient l'appel de la démocratie d'Astra sur un cessez le feu dans le conflit et l'organisation d'un référendum pour faire entendre la voix d'un peuple qui demande à être entendu.
    492
    Demande de cessez le feu


    Chers Shahab al-Shah et Mohammad Karimi le secrétaire général et moi-même demandons un cessez le feu. Cette guerre depuis bien trop longtemps et dérange trop le continent afaréen. Nous demandons au représentant du Front National et de l’empire de se rencontrer afin de discuter à un cessez le feu et une transition pacifique. Nous espérons que ce message parviendront à vous faire raisonner et à mette fin à cette guerre.

    Cordialement
    Alexandr Gregorovitch
    Vice-secrétaire général des affaires de l’état
    Ministre des affaires extérieures
    3345
    El Boletin

    15 décembre 2005 - VARANYA : La guerre civile sur un point de bascule vers une guerre politique?


    Combattants (victorieux) du Front National Varanyen.
    Avec les récentes victoires révolutionnaires, nous apercevons les dernières phases de la guerre civile.



    L’Empire du Varanya et ses alliés ont admis avoir perdu l’essentiel de leurs brigades en garnison sur le secteur d’Ahvadeh, une ville stratégique située au cœur du Varanya et qui centralise l’essentiel du réseau routier. Grâce à ce fait d’armes, les forces révolutionnaires varanyennes et leurs aides étrangères peuvent librement remonter dans le nord du pays, jusqu’ici placé sous le contrôle des forces loyalistes. Mais la défaite impériale d’Ahvadeh a désolidarisé les contingents étrangers des forces armées alliées au Shah. Retrait Aumérinois, rapatriement dans le sang et la douleur pour les forces cémétéennes, silence radio autour des comptes-rendus d’opération de la colonelle albelaise Marie Kringel, les opérations militaires de soutien au régime dynastique du Shah n’ont pas bonne presse et l’espace médiatique dédié à la victoire des forces révolutionnaires n’en est par conséquent que plus grand. Les troupes révolutionnaires, alguarenas, fortunéennes poursuivent leur progression au sein de territoires qui leur étaient jusqu’ici rendus inaccessibles par l’opposition farouche de l’armée impériale.

    Que signifie concrètement la perte de la ville d’Ahvadeh pour les soutiens du Shah?

    Indéniablement, la perte d’une ville aussi stratégique qu’Ahvadeh va casser le train logistique de l’armée impériale, quand l’on sait que l‘unique axe autoroutier du pays passe par la ville et qu’il permet de traverser le pays du sud au nord… Véritable point de jonction entre les différentes divisions révolutionnaires, la chute d’Ahvadeh marque aussi et tout simplement la fusion des contingents révolutionnaires jusqu’ici clairesemés dans toute la moitié sud du pays. Si la situation l’exige, les contingents de l’Alliance Nationale Varanyenne, de la Ligue Communiste de Libération ou encore des groupes paramilitaires étrangers, pourront coordonner des offensives sur l’ensemble de la moitié nord du pays.

    Le Front National Varanyen s’est manifestement offert une force de frappe décisive par la libération de cette ville, puisque de celle-ci, c’est l’ensemble des factions affiliées qui peut porter des coups de boutoir contre les forces impériales résiduelles sur le continent.

    Contraintes de rejoindre l’île de Bina pour officialiser leur dernier bastion impérial, les forces loyalistes se cantonnent désormais à une position défensive, alors que leurs positions continentales précédentes sont jour après jour reprises par les combattants du Front National Varanyen. La propagande révolutionnaire peut se donner à cœur joie de commenter l’évolution du conflit, quand l’on remarque désormais une progression aisée de ces dernières, dans des territoires qui fut acquis de facto et de jure aux troupes loyalistes. Il ne fait plus bon d’être un ami du Shah sur le continent et sa survie dépend désormais du cordon maritime qu’il saura entretenir entre l’île de Bina et le reste de son “ex-pays”… Sans flotte maritime conséquente, il est évident que la pacification du territoire sera à l’avantage des révolutionnaires. Dépourvue d’une flotte notable, c’est donc maintenant ou jamais que les autorités impériales de Bina entendent faire valoir le soutien de leurs alliés.

    La guerre civile varanyenne pourrait donc se trouver dans un entre-deux, où les affrontements terrestres se tarissent par l’incapacité des deux camps à traverser le bras de mer au nord du pays, laissant la place à des communications politiques de parts et d’autres, pour faire basculer l’opinion publique d’une faction à l’autre.
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