Rapport du Walserreicher Auslandsgeheimdienst
Septembre 2003 – De la situation au Varanya
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TOP SECRET
Le Shah a livré récemment une note confidentielle en regard des différentes actions qui avaient été entreprises au Varanya par des puissances étrangères, en sa faveur ou en sa défaveur, depuis le début des conflits il y a quelques mois. Sa réponse, en substance, consiste à rejeter les demandes de libéralisation proposées tant que la situation ne sera pas arrangée pour lui. En d’autres termes, il conditionne nos propositions à notre aide politique, et sûrement militaire, tout en affirmant qu’il prononcera des discours allant dans notre sens afin de rassurer nos opinions publiques. Cette note, c’est le moins que l’on puisse dire, nous laisse particulièrement pantois et hésitant. Le Shah est persuadé qu’il est dans une situation qui lui permet de négocier en des termes aussi durs, comme si nous supplions de l’aider alors qu’il pourrait se passer de nous. Ce comportement est tout à fait étonnant mais nous pensons qu’il est judicieux, pour des raisons diplomatiques, de le considérer comme une volonté simple et légitime du Shah de conserver une certaine légitimité sur son territoire en limitant les ingérences étrangères caractérisées, ce qui, il est vrai, minerait sérieusement son image auprès d’un peuple qui est déjà trop déchiré à son égard.
Nous ne recommandons pas d’accorder un grand intérêt à sa demande de faire circuler parmi nos citoyens ses messages malhonnêtes témoignant de sa volonté à réformer le pays. En effet, cette volonté, à l’heure actuelle, semble insincère. Repousser cela à plus loin, en nous sommant de l’aider d’abord à écraser la rébellion est la preuve que le Shah n’a pas compris l’essentiel du problème face auquel il est confronté. Cela rend encore plus pertinent le point conçu consistant à l’écarter du pouvoir au profit d’un éventuel successeur, dont nous devons encore définir l’identité.
Aucune manœuvre commune n’est pour le moment prévue avec les autres nations ayant pris faits et causes pour la paix et la stabilité de la région. Toutefois, des livraisons d’armes et de matériel doivent être envisagées pour contrer l’activisme malsain de l’Arkencheen, qui ne cache plus ses velléités de déstabiliser la région pour essayer d’en tirer un profit personnel. Ce déséquilibre des puissances est particulièrement mal venu et serait une catastrophe pour le monde entier. Intervenir au Varanya aujourd’hui de toutes les manières possibles est essentiel, non plus pour soutenir le Shah et sauver l’intégrité d’une nation-pivot, mais pour contrer les offensives géopolitiques de nations étrangères en mal de sensation.
Le Shah a livré récemment une note confidentielle en regard des différentes actions qui avaient été entreprises au Varanya par des puissances étrangères, en sa faveur ou en sa défaveur, depuis le début des conflits il y a quelques mois. Sa réponse, en substance, consiste à rejeter les demandes de libéralisation proposées tant que la situation ne sera pas arrangée pour lui. En d’autres termes, il conditionne nos propositions à notre aide politique, et sûrement militaire, tout en affirmant qu’il prononcera des discours allant dans notre sens afin de rassurer nos opinions publiques. Cette note, c’est le moins que l’on puisse dire, nous laisse particulièrement pantois et hésitant. Le Shah est persuadé qu’il est dans une situation qui lui permet de négocier en des termes aussi durs, comme si nous supplions de l’aider alors qu’il pourrait se passer de nous. Ce comportement est tout à fait étonnant mais nous pensons qu’il est judicieux, pour des raisons diplomatiques, de le considérer comme une volonté simple et légitime du Shah de conserver une certaine légitimité sur son territoire en limitant les ingérences étrangères caractérisées, ce qui, il est vrai, minerait sérieusement son image auprès d’un peuple qui est déjà trop déchiré à son égard.
Nous ne recommandons pas d’accorder un grand intérêt à sa demande de faire circuler parmi nos citoyens ses messages malhonnêtes témoignant de sa volonté à réformer le pays. En effet, cette volonté, à l’heure actuelle, semble insincère. Repousser cela à plus loin, en nous sommant de l’aider d’abord à écraser la rébellion est la preuve que le Shah n’a pas compris l’essentiel du problème face auquel il est confronté. Cela rend encore plus pertinent le point conçu consistant à l’écarter du pouvoir au profit d’un éventuel successeur, dont nous devons encore définir l’identité.
Aucune manœuvre commune n’est pour le moment prévue avec les autres nations ayant pris faits et causes pour la paix et la stabilité de la région. Toutefois, des livraisons d’armes et de matériel doivent être envisagées pour contrer l’activisme malsain de l’Arkencheen, qui ne cache plus ses velléités de déstabiliser la région pour essayer d’en tirer un profit personnel. Ce déséquilibre des puissances est particulièrement mal venu et serait une catastrophe pour le monde entier. Intervenir au Varanya aujourd’hui de toutes les manières possibles est essentiel, non plus pour soutenir le Shah et sauver l’intégrité d’une nation-pivot, mais pour contrer les offensives géopolitiques de nations étrangères en mal de sensation.