04/04/2016
11:24:48
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🌐 [AMBASSADES] Le Hall des Ambassades du Jashuria - Page 7

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A l’attention de Madame Phara Wattana, TroisiĂšme Ambassadrice de la TroisiĂšme RĂ©publique du Jashuria,

Madame,

C’est avec le plus grand des plaisirs que j’accuse rĂ©ception de votre missive diplomatique.

Au nom de tout le peuple de Néodemos, je tiens à vous signifier ici à quel point votre réponse positive signifie beaucoup pour nous.

Comme je vous l’évoquais dans ma premiĂšre missive, NĂ©odemos est un pays qui a une histoire trĂšs particuliĂšre. L’époque qui a prĂ©cĂ©dĂ© notre soulĂšvement populaire est encore dans les tĂȘtes de beaucoup de nos concitoyens. C’est pour cette raison que notre pays s’est longtemps contentĂ© de quelques Ă©changes commerciaux sans vraiment entamer de rĂ©elles discussions diplomatiques avec ses voisins. Cependant, les mentalitĂ©s des NĂ©odemosiens Ă©voluent et il nous apparait dĂ©sormais Ă©vident que pour notre propre sĂ©curitĂ© mais aussi pour la stabilitĂ© du monde et surtout du continent, un pays comme le nĂŽtre a le devoir d’entamer des relations diplomatiques avec ses voisins.

Notre Ă©tat est ravi de savoir que le maintien de la paix et de la prospĂ©ritĂ© au sein du Nazum est pour vous une prioritĂ©. Si l’idĂ©e d’une paix universelle est en effet surtout une chimĂšre, Ɠuvrer pour s’en rapprocher le plus possible nous semble l’évidence mĂȘme.

Nous tenons Ă  nous joindre Ă  vous, si vous le voulez bien, dans cette volontĂ© de faire en sorte que le Nazum devienne une rĂ©gion prospĂšre et surtout pacifiste. Votre proposition d’installer une dĂ©lĂ©gation diplomatique NĂ©odemosienne au sein du Hall des Ambassadeurs d’Agartha, votre capitale, ne serait ĂȘtre ignorĂ©e. Il s’agit d’un premier pas fort et non nĂ©gligeable dans la construction d’une relation de confiance entre nos deux pays. Nous accueillons donc cette proposition avec toute la bienveillance qu’elle mĂ©rite.

Nous sommes Ă©galement trĂšs heureux d’apprendre que notre proposition de rencontre officielle au sein de notre capitale ait Ă©tĂ© accueillie avec un grand succĂšs. Cette rencontre serait l’occasion de dĂ©finir les dĂ©tails pratiques de la mise en place de la dĂ©lĂ©gation diplomatique NĂ©odemosienne Ă  Agartha. Cette discussion sera aussi l’occasion de s’accorder sur la mise en place d’une dĂ©lĂ©gation de la TroisiĂšme RĂ©publique de Jashuira au sein du quartier des ambassades de notre mĂ©tropole majeure : Aleapolis. Enfin, cette rĂ©union serait surtout l’occasion de discuter de nos futures relations diplomatiques. Notre volontĂ© est de nouer des liens d’alliances durables et rĂ©ciproque entre nos 2 pays afin de pouvoir discuter ensemble de toutes les actions envisageables pour assurer la paix et la prospĂ©ritĂ© au Nazum.

Cette rĂ©union est envisageable dans les plus brefs dĂ©lais. Notre capitale est d’ores et dĂ©jĂ  prĂȘte Ă  vous accueillir et c’est pourquoi la rĂ©union peut s’ouvrir dĂšs que la TroisiĂšme RĂ©publique de Jashuira y sera Ă©galement prĂȘte.

En espĂ©rant que cette ouverture diplomatique consentie par notre pays soit accueillie avec toute la sincĂ©ritĂ© qu’elle mĂ©ritĂ©.

Au nom de tout le peuple Néodemosien, veuillez agréez mes plus sincÚres salutations,

Bien cordialement,

Josepe Cicone, Ministre des affaires Ă©trangĂšres de NĂ©odemos
1923
CABINET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DE LODUARIE


Lettre Ă  l'intention de Madame Sumalee Saeloo, Seconde Ambassadrice du Jashuria.

J'ai ri.
J'ai ri, aprÚs fait vérifier que votre lettre ne contenait aucun produit pour me tuer, ou n'importe quel appareil éléctronique.
J'ai ri, puis j'ai fait bruler votre lettre.

Peut ĂȘtre qu'un rappel de la situation de notre cotĂ© s'impose :
  • La Loduarie a mobilisĂ©, bien avant n'importe quelle nation de cette planĂšte, Ă©normĂ©ment d'aide humanitaires Ă  destination du peuple prodnovien. Pendant que vous mobilisiez de l'armement et des soldats, nous mobilisions de la nourriture et des mĂ©dicaments.
  • Ensuite, en continuitĂ© de ces actions, nous avons proposĂ© au civils Prodnoviens qui ne souhaitaient pas subir votre impĂ©rialisme de partir.
  • Toujours en continuitĂ© de nos actions, 28 avions civils et leurs Ă©quipages ont Ă©tĂ©s mobilisĂ©s pour Ă©vacuer les civils prodnoviens qui le demandaient. Chose impossible maintenant, vu que vous avez dĂ©tournĂ© du matĂ©riel Ă  but humanitaire.
Voici donc notre le déroulement de la crise prodnovienne à nos yeux.
Nos sanctions sont justifiĂ©es. Vous mĂȘmes avez menacĂ© d'abattre les avions civils loduariens. Je souhaite vous prĂ©venir personnellement : Chaque montĂ© en tension entre la Loduarie et l'ONC se traduira par des mesures assez......comment le dire sans vous choquer ? Assez violentes pour vos ressortissants en Loduarie. Vous souhaitez garder nos avions ? Soit. Nous trouverons un moyen de les remplacer. Mais les Ă©quipages, non. Vous les retenez actuellement en otage, et toute collaboration de leur part pourrait s'avĂ©rer lourd de consĂ©quences, pour leurs familles, par exemple ? Ceux-ci doivent revenir immĂ©diatement en Loduarie.

Malgré votre missive, je peux vous dire personnellement que je ne doute pas de votre rationalité. Alors faites le bon choix. Nous sommes ouvert à la diplomatie, pas à votre impérialisme. L'ONC n'est pas le gendarme de ce monde, et ne le sera jamais.

Et ne m'appelez plus jamais par le terme "Excellence". Je ne suis pas l'un de vos aristocrates que vous vĂ©nĂ©rez tant. Je suis une ĂȘtre humain comme vous, et votre Ă©gal.
Veuillez accepter l'expression de mes sentiments les plus distingués,

Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste
1215
CABINET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DE LODUARIE


Lettre Ă  l'intention de Madame Sumalee Saeloo, Seconde Ambassadrice du Jashuria.

Bien, vous avez Ă©tĂ©s clair, nous allons Ă©galement ĂȘtre clairs : bien que nous ayons violĂ© l'espace aĂ©rien prodnovien, nous l'avons fait dans un but PUREMMENT HUMANITAIRE, et nous l'avion annoncĂ© au monde via notre presse. Vous ne reculez devant rien pour assouvir votre impĂ©rialisme, n'es ce pas ? Je plains les pauvres prodnoviens qui vont devoir vivre sous votre joug. Plus j'y rĂ©flĂ©chis, plus j'ai l'impression que vous ne nous laisseriez mĂȘme pas Ă©vacuer notre ambassadeur au Prodnov, bloquĂ© Ă  StaĂŻglad.

Concernant les Ă©quipages, vous les gardez en otage. Ils doivent nous ĂȘtres rendus. Si ils dĂ©cident de rester, de trahir la Loduarie ou mĂȘme encore collaborer avec l'ONC, ils connaissent leur sort. Tout leur a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© expliquĂ©.

Vos ressortissants pourront quitter la Loduarie si nos Ă©quipages reviennent dans leurs foyers, oĂč ils seront accueillis avec les honneurs. Vous souhaitez jouer sur la corde "Otages" ? TrĂšs bien. Il en ira de mĂȘme pour nous, madame. Vous n'ĂȘtes pas pressĂ©s ? Ca tombe bien, nous aussi. Je vous avait prĂ©venu, les tensions montent.

Et cessez avec vos méthodes capitalistes, appelez moi "monsieur", tout simplement !
Veuillez accepter l'expression de mes sentiments les plus distingués,

Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste
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A l’attention de son excellence, Madame Phara Wattana, TroisiĂšme Ambassadrice de la TroisiĂšme RĂ©publique du Jashuria,


J’accuse rĂ©ception de votre missive diplomatique.

C’est avec un trĂšs grand bonheur que nous avons accueillis votre correspondance. L’attention avec laquelle vous semblez suivre l’actualitĂ© intĂ©rieure du NĂ©odemos me touche sincĂšrement. C’est, je pense, une source de motivation pour intensifier et matĂ©rialiser les liens entre nos 2 Ă©tats.

Comme vous l’avez Ă©voquĂ© dans votre missive, le NĂ©odemos vient de subir une crise intĂ©rieure majeure. Mr AndrĂ© Casio, fondateur du parti politique « Survivre ! », a voulu contourner le mĂ©canisme Ă©lectoral en tentant de prendre le pouvoir par la force. AprĂšs des semaines de troubles oĂč la guerre civile nous a menacĂ©, le calme est enfin revenu en NĂ©odemosie et Mr Casio a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©. Le procĂšs censĂ© jugĂ© Mr Casio et tous les citoyens ayant gravement mis en pĂ©ril la dĂ©mocratie est ouvert depuis lundi.
Nous partageons bien sĂ»r la volontĂ© du Jashuira en ce qui concerne la nĂ©cessitĂ© d’un procĂšs Ă©quitable et juste pour Mr Casio. Le NĂ©odemos est et restera une dĂ©mocratie forte et inaliĂ©nable. La position ferme du Jashuira est essentielle Ă  nos yeux et je suis heureux de voir que vous vous joignez Ă  nous dans la dĂ©fense de la dĂ©mocratie.

Nous avions dĂ©jĂ , dans une missive prĂ©cĂ©dente donner suite Ă  notre invitation. Cette missive s’est vraisemblablement perdue. Ainsi, je vous propose Ă  nouveau d’accueillir Ă  GaĂŻa, notre capitale, un sommet bilatĂ©ral afin de rĂ©unir les dirigeants du Jashuira et de NĂ©odemos pour discuter plus amplement de nos futures relations diplomatiques.
Nous tenons aussi Ă  rĂ©affirmer ici l’importance pour nous de mettre en place des ambassades de nos 2 nations respectives au Jashuira et au NĂ©odemos.

Je veux aussi vous prĂ©ciser que notre cĂ©rĂ©monie de passation de pouvoir a Ă©tĂ© dĂ©placĂ© au 27 Mars prochain, en raison des rĂ©cents Ă©vĂšnements. Cette cĂ©rĂ©monie, tradition politique majeure pour le pas, doit me voir confirmer dans mes nouvelles fonctions de PrĂ©sident de la RĂ©publique. Votre prĂ©sence lors de cette cĂ©rĂ©monie officielle serait un acte fort qui ne serait ĂȘtre nĂ©gligĂ©. Quoi qu’il en soit, j’espĂšre que nous pourrons rapidement convenir d’une date propice Ă  un sommet diplomatique entre nos 2 Ă©tats.

En espérant vous lire trÚs prochainement,

Je vous adresse mes salutations les plus distinguées,

Bien cordialement,

Valer Gary, Président de la République de Néodemos
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RĂ©ponse Ă  vos propositions de soutien alimentaire et de prise de contact

Madame Preecha,

L'assemblée générale a étudié votre proposition d'aide quand aux difficultés que nous rencontrons en ce moment pour les récoltes. Nous souhaiterions tout d'abord vous assurer que la situation reste sous-contrÎle, sans nier que le problÚme existe. Nous y travaillons, mais si nous nécessitons de l'aide, ça ne sera pas la votre.
Votre pays adopte une posture libérale et mercantile que nous assimilons au capitalisme mondialisé, et nous ne souhaitons en aucun cas nous assujettir à un pays si éloigné de nos valeurs, aussi humanistes puisse-t-il se vouloir.
Nous refusons donc tout soutien alimentaire et ne sommes pas encore ouvert Ă  des accords commerciaux aussi importants avec votre nation.

Toutefois, nous considérons comme un aspect central la paix sur le continent et dans le monde, et nous pensons que votre pays en est un défenseur, bien que vos méthodes militaires ne soient pas les nÎtres.
Nous acceptons donc l'ouverture d'une discussion diplomatique, et invitons l'un-e de vos représentant-e à Aërola, afin de discuter des conditions d'une relation diplomatique saine entre nos deux pays. Nous laissons le choix de la date à vos soins. Nous considérons cette premiÚre rencontre comme une condition obligatoire à la mise en place future d'ambassades réciproques, qui seront alors l'expression d'une relation durable et apaisée entre nos pays.

Cordialement,
Idriss Koliman
Rapporteur général de l'Assemblée Générale des Collectivités de la République Autonome de Priscyllia
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Organisation d'une premiĂšre rencontre diplomatique Ă  AĂ«rola

C'est avec un grand bonheur que nous recevrons vos représentants. L'assemblée générale les accueillera afin de pouvoir échanger sur nos positions et les termes d'une bonne entente entre nos pays quand vous le voudrez. Le logement et la nourriture seront compris.
Ces discussions ont, de notre cÎté, pour objectif la création d'une ambassade de votre pays dans le notre.

Diplomatiquement,

Idriss Koliman
Rapporteur Général de l'AGCRAP
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-Message du Chef de la Diplomatie de l'Empire du Cap Blanc-

ChÚres représentants de la diplomatie du jashuria, comme vous nous l'aviez proposé, nous acceptons votre demande pour guider notre Empire dans ce monde bouleversé par la géopolitique!

Nous tiendrons compte au mieux de vos conseils, nous attendons de vous une vraie relation de "mentors"!

Aidez nous Ă  mener notre peuple Ă  la gloire et nous vous serons Ă©ternellement reconnaissants!

Cordialement;
Le Chef de la Diplomatie du Cap Blanc
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Exclave de Heon-Kuang, le 15/04/2008

A son Excellence la premiĂšre ambassadrice du Jashuria,

Madame,

Quel plaisir de vous Ă©crire Ă  nouveau aprĂšs si longtemps ! C'est que les affaires des communes exclaves m'ont tenues loin de vous plus longtemps que je ne l'aurai souhaitĂ©, et cela mĂȘme s'il existe des quasi-frontiĂšres entre nos deux nations, qui justifieraient un contact plus rĂ©gulier et suivi de ma part. HĂ©las, les temps ne permettent pas nĂ©cessairement d'allier comme il se doit plaisir et travail bien fait, aussi je m'en tiens au second plan.

Ce qui m’impose en quelques-sortes de revenir vers vous. Et je le concĂšde, ce n’est pas de gaietĂ© de chƓur, car ce qui va suivre doit ĂȘtre compris comme une demande formelle d’aide Ă  une nation que nous savons possĂ©der par l’esprit de la justice et de la paix, qui Ă  cƓur les intĂ©rĂȘts de sa rĂ©gion, ce qui signifie les intĂ©rĂȘts du monde considĂ©rant la façon qu’a le commerce de fonctionner et qu’ont les Ă©vĂšnements lointains d’affecter nos jardins privĂ©s.

Inutile de tourner autour du pot. Vous savez de quoi je veux parler. Rien que ma joie non finte d’écrire Ă  une nation que je porte en estime ne saurait camoufler plus que de mesure. Le Grand Kah est, comme vous le savez, sujet Ă  ce que l’on pourrait qualifier de complot Ă©tranger, si le terme n’était Ă  ce point galvaudĂ©. Mais dans la discrĂ©tion de ces missives diplomatiques je me dois de parler sans dĂ©tour.

C’est un complot Ă©tranger. Inutile de revenir dans des dĂ©tails que la presse – y compris vinoise -- et les dĂ©clarations successives de mon gouvernement ont dĂ©jĂ  exposé : on accuse l’Union d’exaction, on refuse ses offres de dĂ©militarisation, on refuse ses offres d’enquĂȘtes internationales pour attester ou non de la rĂ©alitĂ© des dites exactions, on refuse sa proposition de faire appel Ă  des observateurs Ă©trangers. La FĂ©dĂ©ration du Vinheimur – pardon, son gouvernement actuel – veut une guerre et ne laissera ni la mauvaise foi, nie le massacre promis venir Ă  bout de ses ambitions. Les communes exclaves, que j'ai Ă©tĂ© Ă©lu pour reprĂ©senter, sont sous la menace d'une invasion Ă©trangĂšre injustifiĂ©e et risquant de provoquer un bilan humain, Ă©conomique et diplomatique dĂ©sastreux.

Ce qui serait parfaitement absurde en termes de simple rapport de force si la FĂ©dĂ©ration des DuchĂ©s ne jouissait pas d’une aide extĂ©rieure aujourd’hui Ă©vidente : l’Alguarena. Il est Ă  notre qu’un accord de paix coĂ»teux a Ă©tĂ© signĂ© entre l’Union et l’Alguarena. Un accord de paix que la FĂ©dĂ©ration a manifestement dĂ©cidĂ©e d’ignorer dans les grandes formes en prĂ©parant sans discrĂ©tion aucune une occasion d’intervenir militairement contre le Grand Kah.

Ce comportement impĂ©rialiste et rĂ©pugnant met en danger la rĂ©gion, en premier lieu, entretient les inimitĂ©s entre l’Alguarena et toutes les nations y Ă©tant associĂ©es – ONC en tĂȘte, quelles que soient les positions de ses membres pourtant bien plus raisonnables – et les puissances indĂ©pendantes, et crĂ©e un prĂ©cĂ©dent dangereux du point de vue du respect des traitĂ©s en vigueur et du maintien de la paix.

Ce pourquoi nous enjoignons votre RĂ©publique Ă  s’exprimer publiquement en faveur de la paix, en soutenant notre proposition d’une enquĂȘte sur la question des exactions et en condamnant le gouvernement de la FĂ©dĂ©ration du Vinheimur et l’implication moribonde e l’Alguarena.

Il est du devoir de chaque pays ayant pour intĂ©rĂȘt la paix de s’exprimer clairement sur la matiĂšre, et d’offrir un front diplomatique uni. Car il est de notre devoir d'Ă©viter cette guerre, et d'acter qu'il ne sera pas permis d'en faire d'autres sur des fondements si grossiers.

Veuillez agréer, madame la premiÚre ambassadrice, mes respectueux hommages.

Shao Kai Yuhan,
Commissaire aux affaires des exclaves
Au nom de l'Assemblée Communale générale de Heon-Kuang .
[
434
Un tĂ©lĂ©gramme diplomatique arrive (car il est tout Ă  fait normal de passer des cĂąbles, mĂȘme en 2008, c'est un usage encore en cour dans toutes les chancelleries qui se respectent) :

"a-jashuria-etat-republicain-mais-neanmoins-tres-estimable-stop
le-duc-de-nouvelle-fides-salut-et-souhait-de-prosperitee-stop
desirons-ouvrir-des-relations-diplomatiques-stop
voulons-vous-envoyer-un-ambassadeur-stop
attendons-le-votre-avec-impatience-stop
paix-sur-vous-terminé"
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Action Rp : Arrivée d'un ambassade
détail : on peut corriger les détails qui ne collerait pas, tu as le dernier mot.
Les portes du hall des ambassadeurs s'ouvrent, poussĂ©es par deux gardes du corps patibulaires en costume noir et lunettes de soleil. Une femme entre, il s'agit de la demoiselle Marie-Clarisse d'Evreux, princesse ducale de second ordre fort mal connue des chancelleries mais qui vient d'ĂȘtre nommĂ©e ambassadrice de Nouvelle FidĂšs pour Jashuria et qui se rend auprĂšs des autoritĂ©s de ce pays pour s'en faire connaitre et prĂ©senter ses lettres de crĂ©ance.

Une fois faites ces formalitĂ©s protocolaires qu'implique la diplomatie, elle se rend Ă  la Madavian Corporation pour en sonder la prĂ©sidente sur le contrat, en obtenir une photo et un cv et lui offrir de lui prĂȘter son avion pour se rendre en Nouvelle FidĂšs. Elle ira ensuite se promener dans la capitale pour y sentir l'ambiance et pour rĂ©flĂ©chir Ă  ce que seront les menĂ©es de son ambassade dans ce pays.

d
Mademoiselle Marie-Clarisse d'Evreux
1501
Symbole diplomatique

A l'attention de Madame Pharah Wattana, TroisiĂšme Ambassadrice du Jashuria
C'est avec plaisir et honneur que nous avons reçu votre lettre, et serions heureux d'Ă©tablir des relations cordiales entre nos deux nations. Aussi diverses que puisse ĂȘtre les nations et les peuples tout autour de notre vaste planĂšte, cela n'en fait qu'une raison de plus d'apprendre Ă  nous connaĂźtre et de travailler ensemble.

Aussi, au nom de l'Organisation Étatique de l’Union des Terres Australes de Shuharri, la Gyasarr invite la TroisiĂšme RĂ©publique de Jashuria Ă  envoyer des reprĂ©sentants Ă  Okkaluit qui disposeront d'un espace dĂ©diĂ© Ă  l'Ă©difice de la Gyasarr jusqu'Ă  mise Ă  disposition d'une ambassade. Dans la mesure oĂč nous comptons Ă©tablir mutuellement des ambassades et si cela vous convient, une terre vous sera mis en votre nom sous rĂ©gime diplomatique Ă  la CitĂ©-Etat de Hohhothai, la plus grande ville du pays, et reprĂ©sentant la part nazumĂ©enne de l'identitĂ© collective shuharrie. Conjointement avec les reprĂ©sentants de votre nation, nous y Ă©rigerons une ambassade. Bien Ă©videmment, et si vous le souhaitez, nous serions Ă©galement heureux d'Ă©tablir une prĂ©sence diplomatique au sein de la Jashurie.

Nous avons également bien reçu les pùtes de fruits que vous avez eu l'amabilité de nous faire parvenir, elles ont été grandement appréciés au milieu de notre grand continent gelé, et nous nous efforcerons de répondre au mieux à un tel présent.

Je reste à disposition pour toute sollicitation ultérieure.

Puissions-nous tenir l'hiver ensemble,
Yuu aon Laonko, Yarle de la Gyasarr de Shuharri


Thés
La missive shuharrie étaient accompagnée d'une boßte contenant différents thés de la région de Hohhothai et des Terres australes.
1372
.

A l'intention du hall des ambassades de la TroisiĂšme RĂ©publique du Jashuria

Chers amis jashuriens,
Je me présente, Hermione Aviles, Secrétaire aux Affaires EtrangÚres de République Fédératrice de Youslévie.
Comme vous l'avez peut-ĂȘtre remarquĂ©, notre pays a organisĂ© il y a peu des Ă©lections lĂ©gislatives qui ont vu gagner les LibĂ©raux, dont je fais partie, menĂ©s par Madame Leone Vaillancour, nouvelle Directrice du Conseil de la RFY.

Cette victoire de mon parti est dĂ» Ă  un programme voulant s'ouvrir sur l'extĂ©rieur. En effet pour nous la YouslĂ©vie est un peuple qui mĂ©riterait de se faire connaĂźtre Ă  l'Ă©tranger et au vu des situations tout autour du globe, oĂč chacun s'arment et oĂč certains oppriment sans vergogne, l'urgence de cette ouverture au monde a gagnĂ©e l'esprit des youslĂšves qui nous ont propulsĂ©s au pouvoir.

Vous comprendrez donc pourquoi je m'adresse Ă  vous, la meilleure maniĂšre de commencer ce nouvel Ăąge diplomatique youslĂšve ne serait pas en s'adressant Ă  l'un des pays les plus puissants du globe, le plus puissant du Nazuum et qui partage en plus notre vision du monde, celle d'un monde libre, juste et vertueux.
Et mĂȘme si les positions gĂ©ographiques de nos deux nations sont Ă©loignĂ©es, nous estimons qu'aucune distance, aussi grande soit-elle, n'est une excuse pour Ă©tablir des contacts.
Nous vous proposons donc un échange d'ambassades afin de commencer sur les meilleures bases possibles une relation qui deviendra, en tout cas nous l'espérons, amicale.

Avec tout le respect et l'amitié de l'ensemble du Conseil de la RFY.

Hermione Aviles
Secrétaire aux Affaires EtrangÚres de la RFY
578
.

En réponse à Madame Sumalee Saeloo, Seconde Ambassadrice du Jashuria,

Madame,
Nous recevons avec joie votre rĂ©ponse positive quant Ă  un Ă©change d'ambassade. Une dĂ©lĂ©gation youslĂšve embarque en ce moment-mĂȘme en direction du Jashuria et de vĂŽtre hall des ambassades.
Nous attendons de pieds fermes votre cortĂšge diplomatique afin de leur permettre de s'installer dans notre beau pays de la meilleur maniĂšre qu'il soit.

Nous nous tenons aussi Ă  disposition pour tout Ă©ventuel projet qui pourrait rĂ©unir nos deux nations autour d'une mĂȘme table.

Avec tout le respect et l'amitié de l'ensemble du Conseil de la RFY.

Hermione Aviles
Secrétaire aux Affaires EtrangÚres de la RFY
1028
PRESENTATION

Message Ă  l'attention de Nantipat Sisrati, premier ministre du Jashuria

Rio de l'Estuaire
22/11/2008

La Manche Silice ne dispose pas Ă  ce jour de relations diplomatiques avec un quelconque Etat de la pĂ©ninsule du Nazum. Nos partenaires nous ont donc conseillĂ© de nous intĂ©resser au Jashuria. Nous sommes trĂšs admiratifs de ce que vous ĂȘtes parvenus Ă  faire sur la plan Ă©conomique. La pĂ©ninsule d'Ostremont a beau occuper une place stratĂ©gique sur les routes commerciales, au centre de la mer LeucytalĂ©e, entre Eurysie et AfarĂ©e, elle peine Ă  concrĂ©tiser son dĂ©sir de devenir un hub international d'Ă©changes marchands.

Nous avons constaté par ailleurs les ambitions de l'industrie pharmaceutique du Jashuria. Il s'agit d'un secteur particuliÚrement dynamique chez nous aussi. Nous sommes certains que nous pourrions tirer un profit mutuel à échanger des molécules que nous trouvons exclusivement sur nos territoires respectifs.

Avant toute chose, nous profitons de cette missive pour vous proposer l'ouverture commune d'ambassades dans nos pays. Qu'en dites-vous ? Nous attendons votre réponse. Cordialement.

Triumvirat de Manche Silice
Carmenita Azafran, Arkadi Ksiaz, Vittorio IV Podestat
1279
DĂ©partement Des Affaires ÉtrangĂšres BasoltĂ©en

En retour Ă  Lalana Preecha, PremiĂšre Ambassadrice de la TroisiĂšme RĂ©publique du Jashuria

TrĂšs chĂšre Ambassadrice,

L’Empire BasoltĂ©en vous remercie de lui souhaiter la bienvenue.

Les Directeurs Militaires des Territoires Coloniaux ont pour obligation d’obĂ©ir aux directives impĂ©riales et ne peuvent ordonner que des mesures dĂ©fensives sans consultation. Sa MajestĂ©, ArchĂ©on I, m’a confirmĂ© que les intentions actuelles de l’Empire au Nazum ne se rĂ©sument qu’à la prospĂ©ritĂ© Ă©conomique, l’intĂ©gration de la population de la colonie Ă  la vie chrĂ©tienne et son ralliement Ă  la sociĂ©tĂ© basoltĂ©enne. Nous n’envisageons pas d’offensive au Nazum dans les prochains temps. Les Directeurs, nommĂ©s par l’Empereur, bĂ©nĂ©ficient de toute sa confiance, il serait impensable qu’ils s’insurgent.
La nomination de Directeurs Militaires aux territoires coloniaux ne rĂ©sulte que de nos traditions, oĂč le monde militaire est trĂšs ancrĂ© et oĂč il est assez mal perçu de laisser un territoire sans surveillance. Nous sommes Ă©galement pour la paix au Nazum et espĂ©rons que nos relations diplomatiques puissent rester pacifiques. Son Excellence veille Ă  contenir les ardeurs de ses sujets avec l'aide du Haut Conseil, vous n'avez aucunement besoin de nous craindre.

Je vous prie de croire, chÚre Ambassadrice, à ma considération distinguée.

Louis De SĂ©lorĂšse,
Directeur Du DĂ©partement Des Affaires ÉtrangĂšres BasoltĂ©en.
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