À l'attention de Yuu aon Laonko, représentante à l'international de l'Union des Terres australes de Shuharri.
Excellence,
L'ambassadeur ou ambassadrice de Tanska en Shuharri sera bientôt nominé avec présentations de lettres de créances. Comme il est d'habitude chez nous, nous laissons au pays invité le loisir de disposer lui-même du choix de l'emplacement de sa future ambassade dans Norja.
Après consultation des autres services concernés, c'est la seconde option qui nous paraît préférable mais de façon aménagée. Afin de nous assurer d'un contact permanent avec l'expédition la plus méridionale, il nous semble néanmoins important de maintenir un petit poste de communication dans l'Enclave volcanique. D'une part, elle pourrait aussi servir de première base, très sommaire et restreinte, à un consulat éloigné de votre capitale pour maintenir des contacts diplomatiques et culturels. Elle pourrait aussi s'avérer être un relai tanskien, de concert avec vos autorités locales et nationales, vers la station scientifique d'autre part.
Pour le moment l'hypothèse d'hivernage semble avoir été retenu pour le projet Pagodroma mais nous étudierons bien sur le déroulé de plusieurs semaines avant possiblement de nous y préparer. Pour l'étude du shuharri il me paraît envisageable de prévoir, et de financer, les services d'un ou d'une professeur de langue pour les équipes scientifiques. Celles-ci ne devant être déployée que pendant 6 mois, et par rotation tous les 6 mois, une période préliminaire de préparation physique, scientifique et mentale sera faite. Elle pourra s'accompagner d'une préparation linguistique. L'apprentissage du français est en partie fait pour certains de nos scientifiques présélectionnés. Le cantonais peut être envisageable.
Une autre solution, serait la présence au sein de la base, que nous estimons devant être capable d'accueillir une vingtaine de membres, d'un ou plusieurs scientifiques shuharri, qu'ils soient locuteurs shuharri, cantonnais ou mandarins.
Avant toute installation, nous aimerions aussi discuter de quelques points précis.
Tout d'abord, de la possibilité de statut spécifique facilitant, après contrôle de vos agences gouvernementales concernées, afin de permettre une entrée facile sur le territoire shuharri d'un appareil de ravitaillement attitré. Il arrivera sur l'aérodrome le plus méridional à proximité du dernier point de contact une fois par trimestre environ dans un premier temps. Si cela est impossible, un ravitaillement plus septentrional peut être envisagé suivi de la descente du convoi par des moyens tanskiens ou shuharri selon votre souhait. Et, dans un second temps, selon les modalités de ravitaillement, des discussions financières pourraient avoir lieu.
Si cela ne vous est pas impossible, nous aimerions que Madame Ekorra Husei soit mise en copie de la présente lettre afin qu'elle puisse, si nécessaire, y répondre. Je pense que son avis pourrait être important en particulier sur les derniers points évoqués mais aussi pour en apprendre plus sur la Station Drahe.
Si cette formule n'est pas mienne, j'espère ne pas commettre de faute en me l'appropriant pour cette occasion ; Puissions-nous tenir l'hiver ensemble.
L'ambassadeur ou ambassadrice de Tanska en Shuharri sera bientôt nominé avec présentations de lettres de créances. Comme il est d'habitude chez nous, nous laissons au pays invité le loisir de disposer lui-même du choix de l'emplacement de sa future ambassade dans Norja.
Après consultation des autres services concernés, c'est la seconde option qui nous paraît préférable mais de façon aménagée. Afin de nous assurer d'un contact permanent avec l'expédition la plus méridionale, il nous semble néanmoins important de maintenir un petit poste de communication dans l'Enclave volcanique. D'une part, elle pourrait aussi servir de première base, très sommaire et restreinte, à un consulat éloigné de votre capitale pour maintenir des contacts diplomatiques et culturels. Elle pourrait aussi s'avérer être un relai tanskien, de concert avec vos autorités locales et nationales, vers la station scientifique d'autre part.
Pour le moment l'hypothèse d'hivernage semble avoir été retenu pour le projet Pagodroma mais nous étudierons bien sur le déroulé de plusieurs semaines avant possiblement de nous y préparer. Pour l'étude du shuharri il me paraît envisageable de prévoir, et de financer, les services d'un ou d'une professeur de langue pour les équipes scientifiques. Celles-ci ne devant être déployée que pendant 6 mois, et par rotation tous les 6 mois, une période préliminaire de préparation physique, scientifique et mentale sera faite. Elle pourra s'accompagner d'une préparation linguistique. L'apprentissage du français est en partie fait pour certains de nos scientifiques présélectionnés. Le cantonais peut être envisageable.
Une autre solution, serait la présence au sein de la base, que nous estimons devant être capable d'accueillir une vingtaine de membres, d'un ou plusieurs scientifiques shuharri, qu'ils soient locuteurs shuharri, cantonnais ou mandarins.
Avant toute installation, nous aimerions aussi discuter de quelques points précis.
Tout d'abord, de la possibilité de statut spécifique facilitant, après contrôle de vos agences gouvernementales concernées, afin de permettre une entrée facile sur le territoire shuharri d'un appareil de ravitaillement attitré. Il arrivera sur l'aérodrome le plus méridional à proximité du dernier point de contact une fois par trimestre environ dans un premier temps. Si cela est impossible, un ravitaillement plus septentrional peut être envisagé suivi de la descente du convoi par des moyens tanskiens ou shuharri selon votre souhait. Et, dans un second temps, selon les modalités de ravitaillement, des discussions financières pourraient avoir lieu.
Si cela ne vous est pas impossible, nous aimerions que Madame Ekorra Husei soit mise en copie de la présente lettre afin qu'elle puisse, si nécessaire, y répondre. Je pense que son avis pourrait être important en particulier sur les derniers points évoqués mais aussi pour en apprendre plus sur la Station Drahe.
Si cette formule n'est pas mienne, j'espère ne pas commettre de faute en me l'appropriant pour cette occasion ; Puissions-nous tenir l'hiver ensemble.
Mar Loftsson,
ministre des Affaires étrangères et des Droits humains de la République Fédérale de Tanska
ministre des Affaires étrangères et des Droits humains de la République Fédérale de Tanska