09/06/2013
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Chancellerie à la Diplomatie Aquitagnoise - Page 3

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COMMUNIQUÉ OFFICIEL

A l'attention de Son Excellence le Chancelier à la Diplomatie Aquitagnoise,

Madame,

Si vous envoyions cette missive c'est car le Parlement de Naveces m'a mandaté pour entamer des relations diplomatiques avec votre nation. Nous n'avons aucune relations diplomatiques et c'est fort regrettable. Nous vous proposons donc d'ouvrir nos relations en commençant par un échange d'ambassade, nous sommes prêts à vous libérer un local à Covadonga. Vous pourriez ensuite vous entretenir au besoin avec notre Gobernador Maximino Fernàndez Fernàndez.

Je vous prie d'agréer mes plus respectueuses salutations ainsi que celles du gouvernement de Naveces,

Bruno Musabimana Aguilar,
Représentant de la filière des affaires étrangères pour le Royaume de Naveces
963
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COMMUNIQUÉ OFFICIEL

A l'attention de Son Excellence le Chancelier à la Diplomatie Aquitagnoise,

Monsieur,

Veuillez m'excuser pour mon erreur de distraction , je savais que vous étiez un homme étant donné que j'avais stipulé plus haut "le Chancelier". Or je ne sais point ce qu'il m'a pris et j'ai confondu, je vous prie donc de grâce de me pardonner cette maladresse.

Comme vous le savez, le Milouxitania est Partenaire de l'UNE, nous avons donc un accord de libre-échange avec cette nation comme tous les autres membres de l'Organisation. Nous sommes relativement en bon terme avec cette nation mais n'avons pas de projet en commun en ce moment. Toutefois, nous vous rappelons que le Royaume de Naveces n'est point le Milouxitania et qu'il ne faut point nous mettre dans le même sac. Il serait dommage de condamner la diplomatie Navecéenne à cause d'actes qu'elle n'aurait pas comis..

Je vous prie d'agréer mes plus respectueuses salutations ainsi que celles du gouvernement de Naveces,

Bruno Musabimana Aguilar,
Représentant de la filière des affaires étrangères pour le Royaume de Naveces
1283
Armoirie


Service diplomatique impérial de Gallatia


Son Excellence le Chancelier à la Diplomatie Aquitagnoise,
SAR Alphonse d'York, Grand-Duc d'York et frère du Roy,

Je vous adresse mes salutations les plus distinguées de la part de Sa Majesté l'Empereur Louis IX de Gallatia. C'est avec un grand honneur que nous recevons votre message et nous sommes ravis de constater l'intérêt porté par Sa Majesté la Roy Philipe à la réouverture de nos services diplomatiques.

Nous reconnaissons l'importance de renforcer nos liens économiques, politiques et commerciaux avec le Royaume voisin. La nomination du sieur Théodore de Rolinet en tant qu'ambassadeur de la Couronne en nos Etats est accueillie avec enthousiasme. Nous sommes convaincus que ses compétences économiques et diplomatiques seront un atout précieux pour favoriser la coopération et le développement mutuel entre nos deux nations.

Nous accueillons favorablement la proposition de Sa Majesté la Roy Philipe de s'entretenir au téléphone. Pour faciliter les préparatifs nécessaires, le Ministère des Affaires Etrangères sera chargé de vous envoyer les horaires. Nous sommes ouverts à toutes suggestions et nous ferons en sorte de trouver un créneau qui permettra une discussion fructueuse entre nos souverains.

Que Le Vrai Dieu veille sur nos deux nations et qu'il guide nos échanges vers des relations durables et bénéfiques.

Veuillez accepter, Son Excellence, l'expression de ma plus haute considération.
Empereur Louis IX de Gallatia
1998
.

En réponse à la missive de Son Excellence le Chancelier à la Diplomatie Aquitagnoise,
SAR Alphonse d'York, Grand-Duc d'York et frère du Roy,


Votre Altesse,

Le plus douloureux est derrière nous, comment pourrions nous en vouloir à ceux qui se battent bec et ongles pour les causes qui leurs sont justes. Nous regardons de très loin les évènements entre Volignon et Catholagne, notre pays est laïque à majorité athée et ne compte qu'une petite proportion de chrétiens et une infime partie de "vieux catholiques", le reste des croyants étant répartis entre musulmans à majorité chiite, résultat de l'immigration farisi en Youslévie, et hellènes, vestiges de notre culture antique et moyenâgeuse.
Vous comprendrez donc que nous ne sommes pas habitués à des cas comme celui auquel nous avons été confronté récemment et qui a vu M. Cassenière affronter M. Haranburu.
Quoi qu'il en soit, nous ne vous en tenons pas rigueur et ce malencontreux épisode appartient désormais au passé.

Pour ce qui est des résultats des différents procès qui ont eu lieu aussi bien chez vous, en Aquitagne, que chez nous, en Youslévie, nous partageons votre avis. La voix de la Justice ne saurait être contredite par un quelconque pouvoir ou ingérence étatique. Nous encourageons donc bien évidemment Maître Hermocopide a s'acquitter de sa dette envers la justice aquitagnoise ou à purger sa peine.

Parlons maintenant des affaires plus réjouissantes, nous attendons avec grande impatience le sieur Jules de Montsouri et préparons donc ses quartiers ainsi qu'un bâtiment, qui deviendra l'ambassade aquitagnoise en Youslévie, dans notre capitale, Sedjan. Nous ferons donc de même en dépêchant de ce pas un ambassadeur, que nous n'avons malheureusement pas encore choisis, en Aquitagne afin qu'il commence son travail le plus vite possible.
Les actions bien honteuses du Milouxitania auront au moins eu comme bénéfice de ne pas nous aventurer dans des projets aussi importants avec des associés aussi instables.
Nous acceptons avec joie votre suggestion, la rencontre se fera donc à Sedjan.Que dites vous du 22 septembre ? Nous tâcherons d'être à la hauteur de l'honneur que vous nous faites.

Avec toute l'amitié et le respect de l'ensemble des membres du Conseil de la République Fédératrice de Youslévie.

HERMIONE AVILES
Secrétaire aux Affaires Etrangères de la RFY
1655
Notre indépence nous lie, nous divise et nous rapproche

Okkaluin, le 23/09/2010,
De Yuu aon Laonko, représentante à l'internationale de l'Organisation étatique de l'Union des Terres australes de Shuharri,

A l'intention de Son Excellence le Chancelier à la Diplomatie Aquitagnoise,


Excellence,
Nous serions enthousiastes pour un échange d'ambassadeurs entre Okkaluin et Flaviume, mais quoi qu'il en soit, notre diplomatie est menée selon les choix de l'ensemble des peuples de l'Union des Terres australes de Shuharri, en respectant les traités internationaux qui nous lient à nos alliés, principalement du Liberalintern. Le Royaume Fédéral d'Aquitagne n'est à ce jour membre ni de l'Union des Terres australes de Shuharri, ni du Liberalintern. Sachant cela, il vous revient de décider si un échange d'ambassades vous semble possible et souhaitable, nous nous tenons prêts à accueillir vos représentants.

Pour ce qui est de notre position concernant le Milouxitania, nous avons en effet été conviés à une rencontre pour discuter la mise en place d'une organisation. Peu de contacts diplomatiques ont été effectués avec eux à ce jour, un échange d'ambassades est en préparation. Aucune adhésion et aucun accord autre que l'échange d'ambassade n'a été confirmé avec le Milouxitania par l'Union à ce jour. La fourniture de combustibles fissiles à la Loduarie communiste ne constitue pas une rupture de neutralité à ma connaissance, et refuser à un pays les composés qui lui permettent de s'alimenter en électricité n'encourage généralement pas un climat de paix internationale. Vous nous voyez désolés si les représentants milouxitans se sont mal comportés avec les vôtres, nous vous remercions de nous le signaler, et sauront le leur faire savoir s'ils venaient à agir d'une manière qui ne nous convient pas.

Puisse la chaleur guider vos pas,

Yuu aon Laonko, au nom de l'Organisation étatique de l'Union des Terres australes de Shuharri
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Ministère des Affaires étrangères

Excellence,

Tout d'abord, veuillez recevoir nos excuses pour la durée de notre réponse qui n'est aucunement liée par une quelconque animosité envers votre personne ou votre pays.
Nous acceptons bien sûr vos excuses et nous comprenons votre position.
De ce fait, nous acceptons avec joie la programmation d'une rencontre entre nos deux pays. Que diriez-vous d'une rencontre à Trave avant la fin de ce mois-ci ? Seriez-vous en accord pour fixer la date de notre rencontre au 30 octobre. Nous sommes pressés de vous rencontrer afin de discuter de sujets importants pour nos deux pays.
En espérant une réponse positive de votre part.

Respectueusement,
Monsieur Jean Clérico
Ministre Jean Clérico
Le 21 octobre 2010
1348
drapeau du Saint Empire Ambarois


A Sa Majesté le Roy Philipe VII d'Aquitagne, ainsi qu'aux Mercenaires Flaviuminois


Nous sommes extrêmement honorés et enthousiastes à l'idée de collaborer plus étroitement avec votre pays pour renforcer la sécurité des fidèles et du clergé de l'Église de Volignon. Votre proposition de recommander notre entreprise, les "Gardiens d'acier", en tant que fournisseur officiel et exclusif des Mercenaires Flaviuminois est des plus encourageantes.

Nous considérons cette opportunité comme une marque de confiance en notre expertise et notre engagement en matière de sécurité. Nous sommes prêts à examiner attentivement cette proposition et à travailler en étroite collaboration avec Sa Majesté le Roy Philipe VII d'Aquitagne pour parvenir à une décision mutuellement bénéfique.

La sécurité des fidèles et du clergé est une priorité absolue pour nous, et nous sommes déterminés à apporter notre soutien en fournissant des équipements de haute qualité et des services adaptés aux besoins spécifiques de l'Église de Volignon.

Nous vous remercions chaleureusement pour cette proposition et nous nous engageons à explorer toutes les possibilités de collaboration afin de renforcer davantage la sécurité de l'Église de Volignon.


ministre des armées du Saint Empire Ambarrois, François de Sarge dit "Le Chef"
ministre des armées François de Sarge dit "Le Chef" du Saint Empire Ambarrois


Patrick von Furt, PDG de Gardiens d'Acier
Patrick von Furt, PDG de Gardiens d'Acier


logo de Gardiens d'acier
2397
Sceau Papal


À l'attention de Son Éminence le Cardinal Frédéric de Wolsei.


Votre Éminence,

Je vous adresse mes salutations les plus respectueuses et vous remercie infiniment pour vos félicitations suite à mon élection. Vos paroles élogieuses me touchent profondément et je suis conscient de l'engagement et de la loyauté dont vous avez fait preuve tout au long du processus électoral.

Je comprends parfaitement votre inquiétude quant à la situation délicate que traverse le Royaume Fédéral d'Aquitagne, en particulier en ce qui concerne l'éloignement de la fidélité envers Notre Sainte Église. Les lettres que vous recevez quotidiennement témoignent de la préoccupation sincère de nombreux fidèles qui cherchent guidance et soutien dans ces temps troublés. Je tiens à vous assurer, cher Cardinal Frédéric de Wolsei, de ma profonde préoccupation et de mon engagement à défendre les valeurs et la doctrine de notre Église. Je suis conscient de l'excommunication dont vous avez été injustement frappé par Volignon, et je reconnais les restrictions que cela impose sur votre capacité à agir dans votre pays. Étant donné votre situation, vous serez bien évidemment accueilli comme il se doit en Catholagne si tel est votre désir ; nous aurons toujours besoin, au sein même de la Cité Éternelle, d'hommes de Foi loyaux et humbles.

Je prends votre demande très au sérieux et j'envisage d'aborder publiquement la question volignonaise dans un futur proche. Je m'engage également à intercéder auprès de Sa Majesté le Roy, dans l'espoir de favoriser une réconciliation et de ramener le Royaume Fédéral d'Aquitagne sur le droit chemin de la Foi et de l'Unité. Qu'aucun vieux-catholique ne s'étonne du chemin pris par la Catholagne s'il déserte l'Église au premier souffle qui ne lui est pas favorable. Vos paroissiens peuvent compter sur ma compassion et ma prière, et je m'efforcerai de faire tout ce qui est en mon pouvoir pour soutenir l'orthodoxie catholique dans votre pays, une orthodoxie unie. Vous n'êtes pas seul dans cette épreuve, Votre Éminence, et je vous encourage à rester fort dans votre Foi et à continuer à servir avec dévotion notre Église.

Je vous remercie encore une fois pour votre soutien et votre fidélité indéfectible. Que Dieu guide vos pas et vous accorde la sagesse et la force nécessaires pour surmonter les défis auxquels vous êtes confronté.

Dans l'attente d'un avenir de renouveau et d'unité pour l'Église et le Royaume Fédéral d'Aquitagne,

Vobis benevolentiam nostram et apostolicam benedictionem.


Pontifex Primus.


Ce message ainsi que toutes les pièces qui y sont jointes sont établis a l'attention exclusive de Son Éminence le Cardinal Frédéric de Wolsei.
Si vous recevez ce message par erreur, merci de le détruire et d'en avertir immédiatement l’expéditeur.

1480
Sceau Papal


À l'attention de Son Éminence le Cardinal Frédéric de Wolsei.


Votre Éminence,

Je vous salue avec affection et vous remercie pour votre réponse diligente. Je reste conscient des contraintes et des défis auxquels vous êtes confrontés en tant que sujet de Sa Majesté et je comprends l'importance de la prudence dans nos échanges épistolaires. Je suis profondément touché par votre souhait de servir. Votre engagement indéfectible envers l'Église et vos services envers vos fidèles sont des preuves incontestables de votre dévouement.

Je suis conscient de votre expertise et de votre expérience dans les affaires ecclésiales, et je crois sincèrement que vous pourrez apporter une contribution précieuse à cette noble mission de réconciliation. Votre volonté est un témoignage de votre dévotion et de votre désir de servir l'Église. La création d'un poste tel que vous le mentionnez dans votre courrier pourrait en effet jouer un rôle essentiel dans la réalisation de nos objectifs communs. Sachez que je me tiens prêt à ouvrir celui-ci pour répondre à nos crises contemporaines. Du fait de vos innombrables qualités, vous semblez tout indiqué, d'autant plus que l'énergie ne semble vous manquer.

Je vous remercie encore une fois pour votre fidélité et votre service. Que le Seigneur vous bénisse abondamment dans votre ministère et vous accorde la sagesse et la force nécessaires pour accomplir Sa volonté.

Avec ma bénédiction apostolique,


Pontifex Primus.


Ce message ainsi que toutes les pièces qui y sont jointes sont établis a l'attention exclusive de Son Éminence le Cardinal Frédéric de Wolsei.
Si vous recevez ce message par erreur, merci de le détruire et d'en avertir immédiatement l’expéditeur.

1838
Le SAINT EMPIRE KARPOK UNIFIE
Le Ministère des relations diplomatiques
Le Ministre, Vacek Czjzek,

A

Son Excellence le Chancelier à la Diplomatie Aquitagnoise,
SAR Alphonse d'York, Grand-Duc d'York et frère du Roy



Excellence,

C’est avec plaisir que nous avons pris connaissance de votre missive diplomatique.
Entamer des relations diplomatiques avec l’Aquitagne est pour nous un réel plaisir et nous partageons votre sentiment sur le fait que nous aurions pu chacun le faire il y a bien longtemps. En cela, nous vous remercions d’avoir fait ce « premier pas » diplomatique.
Nous acceptons donc avec plaisir votre proposition d’échange d’ambassades. Vous pourriez, dans cette perspective, également installer votre ambassade et délégation diplomatique à Leonev, dans un hôtel particulier installé dans le quartier historique de la ville. Sa situation est idéale car elle regroupe, d’une part, l’ensemble des ambassades des différentes nations amies tout en restant proche du Ministère des relations extérieures et de la diplomatie. D’autre part, le quartier offre toutes les commodités nécessaires aux familles qui accompagnent votre délégation ce qui, à nos yeux, est essentiel.
Nous vous proposons la date du 1er décembre pour la prise de possession respective si cela vous convient ?

En ce qui concerne votre conseil de rejoindre l’union médiane des traditionalistes, cette suggestion va faire l’objet d’une réflexion au plus haut niveau de l’Empire.
Si depuis notre ouverture au monde, l’Empire Karpok a toujours souhaité une neutralité dans les échanges extérieurs, s’attachant uniquement à notre nation et sa sécurité, il est peut-être opportun aujourd’hui de nous investir davantage dans les relations diplomatiques même en dehors de notre « zone d’influence géographique ».
Ce travail de réflexion va débuter et nous savons que cette suggestion est inscrite à l’ordre du jour des prochaines réunions de travail ministérielles.

Dans l’attente, veuillez recevoir, votre Excellence Alphonse d'York, Grand-Duc d'York et frère du Roy, l’expression de ma plus haute considération.


Le Ministre,

Vacek Czjzek
1649
Sceau officiel du Prince Ludovico XIV

À l'attention de SAR Alphonse d'York, Grand-Duc d'York et frère du Roy


Le 20 novembre 2010.
Votre Altesse,

En effet, je ne peux dissimuler mon chagrin quant à la triste disparition de mon père Alberto III, qui nous a quitté il y a quelques jours seulement pour rejoindre nos ancêtres aux côtés du Christ. Sa mort laisse la Principauté dans une profonde tristesse. Vous avez parfaitement raison lorsque vous mentionnez sa réputation de souverain sage et éclairé. Sa vertu n'avait pas d'égal en terre grisolienne.

Mais l'heure est aussi à la réjouissance, car l'âme du Prince ne s'est nullement éteinte. Lors de mon récent couronnement, l'esprit du Prince s'est transmise dans mon corps et s'est propagée dans tous mes membres. Le Prince de Grisolia est immortel, et si le dépositaire momentané de l'autorité nationale s'éteint, cette dernière ne disparaît pas pour autant. Aussi, le pouvoir princier a trouvé en ma personne, fils aîné d'Alberto III et descendant direct des premiers souverains de Grisolia, un réceptacle digne d'honorer cette fonction.

Aussi, je saurai donner raison à cette bénédiction du Seigneur en appliquant toutes les politiques que la bonne raison et la vertu me dicteront. La première fut celle d'ouvrir les canaux diplomatiques de la Principauté, ce qui me conduit en cet instant à prendre ma plume pour m'adresser à votre admirable royauté. Nous considérons le Roy d'Aquitagne ainsi que l'Aquitagne elle-même comme un exemple de bon gouvernement en ce bas-monde, et vous trouvez donc en Grisolia un souverain et un peuple heureux de pouvoir entretenir d'amicales relations avec vous. Nous acceptons volontiers votre proposition d'échange d'ambassadeurs. Cette judicieuse résolution nous permettra d'établir des liens plus directs avec votre Royaume.

Puisse l'avenir augurer des échanges sains et constructifs entre Grisolia et l'Aquitagne,


Ludovico XIV, Prince de Grisolia.
1419
.

En réponse à la missive de Son Excellence le Chancelier à la Diplomatie Aquitagnoise,
SAR Alphonse d'York, Grand-Duc d'York et frère du Roy,


Votre Altesse,

Tout d'abord je vous assure que nous, les membres du Parti Libéral et du Parti Démocrate, majoritaires au Congrès, ne partageons absolument pas les idées, que nous savons fausses, qu'ont les signataires de cette lettre ouverte à propos du régime politique aquitagnois. Il est normal que vous vous offusquiez, les propos tenus dans cette tribune, en plus d'êtres faux, son très critiques envers l'Aquitagne, la Clovanie ou même Albel.
Nous transmettrons donc cette votre missive aux principaux intéressés afin qu'ils en apprennent un peu plus sur votre pays et décident ou non d'accepter votre proposition de rencontre.

Vu que vous êtes francs, nous le serons aussi. Même si nous ne partageons pas l'avis de nos collègues membres du Congrès sur le système politique aquitagnois. Nous sommes cependant convaincus que les sanctions et lois primaines sont assez ignobles et ne correspondent certainement pas aux idées que se fait la Youslévie de la justice.
Nous ignorons si toutes les sanctions décrites dans le dépliant primain sont aussi en vigueur en Aquitagne, ce qui ne changera rien à notre jugement, mais nous ne pouvons désavouer les signataires de cette lettre sur ce point là, ou du moins sur le fait que ces pratiques pugnitives sont d'un autre âge et ne peuvent absolument plus exister dans le monde que nous nous efforçons de créer.

Je vous assure cependant le respect et de l'amitié de l'ensemble du Conseil de la République Fédératrice de Youslévie.

HERMIONE AVILES
Secrétaire aux Affaires Etrangères de la RFY
952
Sceau officiel du Prince Ludovico XIV

À l'attention de SAR Alphonse d'York, Grand-Duc d'York et frère du Roy


Le 5 décembre 2010.

Votre Altesse,

J'ai bien reçu votre représentant au Palazzo di Grisolia, et il vient tout juste de me quitter pour rejoindre l'ambassade que nous lui avons ouverte, en notre belle capitale. Le sieur de Grandlieu s'est montré tout à fait aimable envers moi ainsi qu'à l'égard de la Principauté que je représente. Il manie en effet notre langue d'une manière agréable à une oreille de bon goût, même si quelques progrès sont encore à faire. Mais après tout, il est ici pour communiquer avec nous, ce qui devrait pousser sa maîtrise linguistique aux plus hautes sphères de la perfection.

Il est des choses qui réjouissent invariablement les hommes doués de bons sentiments, et serrer la main d'un nouvel ami en fait sans aucun doute partie. Aussi, c'est le cœur enjoué que je conclus cette missive, heureux d'avoir contracté cette bienheureuse et prometteuse amitié avec le très-saint Royaume Aquitagnois.

Recevez l'expression de mes sentiments les plus distingués,


Ludovico XIV, Prince de Grisolia.
783
Organisation Juridique Internationale

Excellence,

Il y a huit mois, vous nous aviez fait part de votre intérêt pour notre organisation naissante : l'Organisation Juridique Internationale. Sachez que cet espace de discussion et de signature de traités est désormais en état de marche et souhaite organiser sa première rencontre à Trave. Sans vous presser à accepter, nous pensons qu'il serait intéressant pour votre pays à participer à ce beau projet. Nos valeurs sont similaires et nous auront un autre moyen pour se parler. Qu'en dites-vous ? La date figurant sur le carton d'invitation ci-joint a été déplacée à plus tard à une date indéterminée dans l'attente de plus grandes réponses.
En espérant recevoir une réponse rapide de votre part.

Respectueusement,
Monsieur Jean Clérico
Ministre des Affaires Etrangères

Cosignataire
Madame Solène Néri
Présidente de l'Organisation

Ci-joint : votre invitation.
1780
Carte


À l'attention de Son Excellence le Chancelier à la Diplomatie Aquitagnoise, SAR Alphonse d'York, Grand-Duc d'York et frère du Roy



Votre Excellence,

Nous avons bien reçu votre demande concernant la venue de votre souverain, Philippe VII, en compagnie de l'Empereur du Saint Empire Ambarois, Guillaume IV. Tout d'abord, nous tenons à nous excuser pour l'erreur de ne pas vous avoir envoyé d'invitation également. Cette erreur est probablement due à l'incendie du bâtiment des archives internationales, provoqué par l'attentat qui a marqué le début des hostilités de la guerre civile le 28 avril 2009. L'incendie s'est déclaré dans l'aile gauche du bâtiment, entraînant la destruction de la quasi-totalité des archives concernant les pays commençant par A/B. Il est très probable que la partie concernant le lien entre votre royaume et le Saint Empire Ambarois ait été détruite lors de cet incident.

Cependant, Sa Majesté le Prince héritier Stanislav m'a fait part de son mécontentement quant à la manière dont vous nous avez fait remarquer cette erreur. En effet, il semble que Sa Majesté le Roi Philippe VII ait l'intention de participer à cet événement sans y avoir été invité, ce qui a de quoi mécontenter plus d'un diplomate. À l'avenir, nous souhaiterions que vous évitiez ce genre d'action, au risque de détériorer nos relations. Dans le cas présent, l'erreur venant de notre côté, il n'y aura pas d'impact majeur. De plus, vous aurez tout le temps nécessaire pour en discuter avec Son Altesse.

Cela étant dit, en raison des liens étroits unissant vos deux pays respectifs et soucieux de ne pas détériorer les bonnes relations entre Rasken et le Saint Empire Ambarois, vous êtes bien évidemment invité à la cérémonie de passation de pouvoir. Vous aurez également l'honneur de voir la première Impératrice de Rasken, Kristina Schützenberger, qui fêtera ses 94 ans le jour de la passation de pouvoir. En effet, c'est elle qui transmettra le pouvoir au nouvelle Empereur à travers l'épée Hellreaver, une tradition qui se perpétue à chaque passation de pouvoir lors de la cérémonie.
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