L'UFMA a été adopté à la majorité absolue par les deux chambres du Parlement, l' Ålthing et l'Åldvard.
L'UFMA, retenez bien cet acronyme, pour Unlimited Freedom Medias Act, vient à peine d'être promulgué qu'il fait déjà parler de lui. Et pour cause, c'est un véritable arsenal judiciaire qui vient considérablement renforcer la puissance, l'indépendance et la transparence des médias. En plus de la création d'un Prix de la Liberté d'Expression, c'est surtout les dispositions légales en ce qui concerne les protections des sources et des lanceurs d'alertes, qui est remarquable et plutôt unique dans le monde.
Le décret parlementaire a été approuvé après un débat plutôt rapide et relativement calme, pour une loi qui faisait plutôt consensus, à droite comme à gauche. Même les libertariens ont voté pour la législation. ce sont principalement les élus nationalistes du Køenig Halfgård qui se sont opposés à l'UFMA.
C'est une victoire pour les journalistes d'investigations et les reporters de terrains, qui sont les objecteurs de conscience sur lesquels s'exercent majoritairement les intimidations.
Ces manœuvres de pression sont le fait d'entités privées, qui tiennent à sauvegarder la plupart du temps des intérêts de nature économique ou marketing, mais également d'ordre public, afin de préserver des intérêts politiques ou bien relevant de la sécurité nationale.
Cet argument, souvent brandit par les autorités et les services de sécurité étatiques pour contraindre les organes de presse et autres médias à l'autocensure ou au retrait des publications ou reportages dits sensibles, appelé pudiquement "restriction préalable" ne sera donc désormais plus valable.
Factuellement et en réalité, il s'agissait d'une disposition légale mais abusive du code pénal fédéral, une faille juridique dans laquelle s'était engouffrée de nombreuses agences, dont notre très estimé FSD.
Le Département d'Etat à la Sécurité Publique s'est également auparavant quelque fois pourfendu de "raisons d'état" ou de procédures relatives à la sécurité nationale, bien souvent au détriment de ce qui relevait selon toute évidence de l'intérêt du bien public.
Malgré tout, si notre pays pouvait se targuer de posséder une presse libre et de nombreux gardes fou garantissant la libre circulation de l'information et des opinions divers et variés, l'UFMA donne une toute autre dimension à celle-ci en l'érigeant comme véritable bouclier du bien commun et de la conscience collective.
Dans notre nation, où l'argent et la réussite économique est placée au-dessus de tout, c'est désormais à la liberté d'expression que l'on attribuera une plus grande valeur.
Si les députés de l'Ålthing et les Jarls de l'Åldvard ont salué avec un enthousiasme mesuré la promulgation du décret, la loi a été portée et âprement défendue par le Conseiller d'Etat Fédéral aux Affaires Culturelles Harald Jørgensen qui a déclaré sur Federal Network :
Le décret parlementaire a été approuvé après un débat plutôt rapide et relativement calme, pour une loi qui faisait plutôt consensus, à droite comme à gauche. Même les libertariens ont voté pour la législation. ce sont principalement les élus nationalistes du Køenig Halfgård qui se sont opposés à l'UFMA.
C'est une victoire pour les journalistes d'investigations et les reporters de terrains, qui sont les objecteurs de conscience sur lesquels s'exercent majoritairement les intimidations.
Ces manœuvres de pression sont le fait d'entités privées, qui tiennent à sauvegarder la plupart du temps des intérêts de nature économique ou marketing, mais également d'ordre public, afin de préserver des intérêts politiques ou bien relevant de la sécurité nationale.
Cet argument, souvent brandit par les autorités et les services de sécurité étatiques pour contraindre les organes de presse et autres médias à l'autocensure ou au retrait des publications ou reportages dits sensibles, appelé pudiquement "restriction préalable" ne sera donc désormais plus valable.
Factuellement et en réalité, il s'agissait d'une disposition légale mais abusive du code pénal fédéral, une faille juridique dans laquelle s'était engouffrée de nombreuses agences, dont notre très estimé FSD.
Le Département d'Etat à la Sécurité Publique s'est également auparavant quelque fois pourfendu de "raisons d'état" ou de procédures relatives à la sécurité nationale, bien souvent au détriment de ce qui relevait selon toute évidence de l'intérêt du bien public.
Malgré tout, si notre pays pouvait se targuer de posséder une presse libre et de nombreux gardes fou garantissant la libre circulation de l'information et des opinions divers et variés, l'UFMA donne une toute autre dimension à celle-ci en l'érigeant comme véritable bouclier du bien commun et de la conscience collective.
Dans notre nation, où l'argent et la réussite économique est placée au-dessus de tout, c'est désormais à la liberté d'expression que l'on attribuera une plus grande valeur.
Si les députés de l'Ålthing et les Jarls de l'Åldvard ont salué avec un enthousiasme mesuré la promulgation du décret, la loi a été portée et âprement défendue par le Conseiller d'Etat Fédéral aux Affaires Culturelles Harald Jørgensen qui a déclaré sur Federal Network :
"Avec l'UFMA, notre démocratie, certes imparfaite, et en bien des aspects inégalitaire, se dote des armes nécessaires à la sanctuarisation et à la sacralisation de l'une de nos libertés fondamentales chéries. Les médias ne doivent pas être inféodés à l'Etat, ou au service exclusif d'intérêts privés. Et si c'est le cas, le peuple dispose désormais des moyens nécessaires pour y mettre un terme, que cela ne plaise ou pas au pouvoir politique ou au pouvoir militaire."
Probablement conscient de l'importance de cette loi, et c'est assez rare pour que cela mérite d'être reporté par notre journal, le Chancelier Fédéral lui même s'est exprimé à l’issue du vote parlementaire définitif.
M. Atreus Fjörgyn, qui sortait alors de l'un des conseils de cabinet à la Chancellerie, a été interviewé par l'un de nos confrères :
"La liberté de la presse comme vous le savez est un concept fondamental et une partie essentielle de notre démocratie, je dirais même une partie vitale, telle que l'est le foie ou les poumons pour notre organisme. Il est crucial que les médias de notre pays puissent avoir la liberté totale et sans entraves de recueillir et de publier des informations sans avoir le risque d'être censurée ou contrôlée par un gouvernement, un groupe ou une autre force puissante qui agirait contre l’intérêt du public
Cette garantie, excusez moi du peu, est essentielle pour une société juste et équitable. Voyez ce qu'il se passe en Loduarie, au Kronos, en Marohni, et autre.... Cela permet aux citoyens d'être informés et de prendre des décisions éclairées, autant que faire se peut. L'UFMA protégera également les droits des citoyens lanceurs d'alertes, ces vigies républicaines comme je me plais à les nommer, car elle permet à ces esprits vigilants et altruistes de dénoncer les abus de pouvoir et de corriger les erreurs du gouvernement, ce que j'essaie de tout faire pour éviter, mais que le devoir d'honnêteté m'oblige à dire que cela puisse m'arriver
Les Lofotènes pourront je l'espère pouvoir participer ainsi davantage à des débats publics et de voter de manière éclairée, en ayant accès à une multiplicité de canaux d'information en tout genre, et dans tous les domaines. pas seulement la politique ou l'actualité internationale, mais également dans le domaine de l'environnement, des sciences, de l'histoire, de la culture, des nouvelles technologies, de la sociologie, enfin vous voyez où je veux en venir, n'est-ce pas ? Si notre société a accès en continu à des informations fiables, complètes et impartiales, nous pourrons tous discuter librement des enjeux importants et de faire des choix démocratiques, même si ces derniers ne vont pas dans mon sens.
En revanche, nous devons rester prudents quant aux dangers de la désinformation, des deepfakes, et des techniques de manipulation des masses. Les ennemis de la liberté d'expression auront toujours une longueur d'avance sur nous, aussi que cela ne nous empêche pas de vérifier, contrevérifier, et toujours chercher à confirmer en permanence de la fiabilité et la véracité d'une information."
Toutefois une des mesures de l'UFMA demeure encore peu claire, celle concernant le Prix Lofotène pour la liberté l'expression (United Provinces Prize for Freedom of Expression) dont les modalités d'attributions restent floues à ce jour. Selon une source proche du dossier au Département d'Etat aux Affaires Culturelles, il s'agirait de décerner une récompense à un journaliste d'investigation, lanceur d'alerte, ou tout autre média ayant mis à jour ou dévoiler une information importante et d'intérêt public majeur méritant d'être soulignée et mise en valeur.
Des noms auraient circulé et parmi eux les réalisateurs des documentaires, comme Bernardo Ricardo Lévérini (dit B.R.L), réalisateur du polémique mais percutant "Serment de Staïglad", ou bien le vainqueur du Festival de Hvari dans sa catégorie, Lek Ruçi, le kénète auteur du film d'investigation "Sages sans une image ".
Enfin, Lars Skærtorsdag, qui a réalisé la terrifiante enquête "Le monde selon la Thylacine Corporation" est également cité comme un potentiel lauréat de ce prix.
Des noms auraient circulé et parmi eux les réalisateurs des documentaires, comme Bernardo Ricardo Lévérini (dit B.R.L), réalisateur du polémique mais percutant "Serment de Staïglad", ou bien le vainqueur du Festival de Hvari dans sa catégorie, Lek Ruçi, le kénète auteur du film d'investigation "Sages sans une image ".
Enfin, Lars Skærtorsdag, qui a réalisé la terrifiante enquête "Le monde selon la Thylacine Corporation" est également cité comme un potentiel lauréat de ce prix.