07/06/2013
04:14:33
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Activités étrangères en Alguarena - Page 3

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Téarmaíocht / Alrahba


Il soupira en gonflant ses joues.

Le coeur serré et la gorge nouée, il passa la porte tambour en ayant le réflexe de poser sa main gauche sur un pan qui tournait sans avoir besoin d'aide mécanique.
Il se ravisa lorsqu'il comprit que rien ne servait de pousser.

Des hommes et femmes en costume et tailleur lui emboîtaient le pas, mallettes, sac à dos en cuir et sac à mains tendances et luxueux.
Avec son costume et chaussures achetées en grande surface, il se dit qu'il était possible qu'il fasse tâche...

Dans l'immense hall d'entrée, un long comptoir, à quelques mètres des portes tambour, permettait à quatre réceptionnistes de faire l'accueil et diriger les arrivants vers des sièges et fauteuils confortables dans un espace lounge d'entrée ou de les faire directement passer par la sécurité et des portiques permettant d'accéder aux ascenseurs.

L'homme se plaça derrière un homme regardant toutes les cinq secondes sa montre, attendant son tour pour parler à une réceptionniste.
Enfin, l'homme pressé fit un pas en avant et il fit de même, restant à distance de celui-ci, pour laisser quelques espaces de confidentialités.

L'homme pressé grommela et alla s'assoir sur un fauteuil confortable, prenant une sorte de sac mallette en tissu, tendance dans le Nord Aleucien.
Il s'avança à son tour et la réceptionniste fut ravissante et sans le regarder lui dit un bonjour des plus enthousiastes.



- Que puis-je faire pour vous, Monsieur ?


Sans s'en rendre compte, il avait déjà répondu, machinalement, il savait exactement ce qu'il devait dire. La réceptionniste pianota sur un clavier qui ne faisait presque pas de bruit lorsque les doigts appuyèrent et percutèrent les touches ; un doux son étouffé qui rappelait que l'Alguarena était le pays avec les technologies les plus avancées et cette entreprise n'y dérogerait pas, pour sûr.
Derrière le comptoir, un logo immense miroitait dans une video où des avions et des réacteurs étaient mis en valeur, dans un "trailer" d'entreprise vraiment impressionnant. Sur le marbre blanc et gris immaculé, des plantes et fleurs endémiques parfumaient et embellissaient l'espace avec ravissement.



- Bien entendu, le Directeur Angel Saez vous attend au 19e étage. Un agent de sécurité va vous accompagner.


Elle leva la tête pour la première fois et l'éblouit d'un sourire radieux l'espace d'un court instant. Elle tourna sa main gauche et paume vers le haut, elle l'enjoignit à suivre un gorille en costume disposant une d'oreillette et un pantalon légèrement trop court, ne couvrant pas des chaussettes de sport noires pour des mocassins en cuir.
Très inhabituel, toutefois la climatisation dans ce bâtiment était digne de l'aéroport de Pomosejo.

Il avança vers l'homme qui utilisa un détecteur pour scanner les jambes, le torse et les bras après qu'il eut déposé son téléphone portable et sa mallette en cuir sur une table.
Un collègue passa cette dernière dans les mêmes machines à rayon X des aéroports, mais en version miniature.
Pas de soucis, il récupéra ses affaires et suivit l'agent de sécurité jusqu'aux ascenseurs. Le gorille lui donna un badge visiteur violet criard à mettre autour du coup.

Les employés s'affairaient devant les ascenseurs qui se faisaient face : six ascenseurs au total. Le "ping" caractéristique de l'arrivée et ouverture des portes précéda un déversement de personnes se faufilant vers la sortie et rapidement il prit l'ascenseur qui lui permettait d'atteindre le 19e. Dans ce genre de tour, les ascenseurs ne desservaient pas tous les étages afin d'optimiser le temps de transit.



- Asseyez-vous Monsieur Hekayat.


Le bureau, ou bocal plutôt, était entièrement adapté à la confidentialité de ces entretiens. Tout était très "corporate" dans ces bureaux luxueux et favorisant la nouvelle tendance de l'open space. Bruyants, les employés parlaient fort. Le sentiment n'était pas que la culture Alguarena forçait le trait à ce niveau là, mais plutôt le désir d'être entendu, d'être tout simplement, dans un environnement sûrement extrêmement concurrentiel.
Du design, au département juridique, Malik ne comprenait toujours pas pourquoi l'entretien n'avait pas pris place à l'aéroport directement.

Comme s'il avait lu dans son esprit,



- Ecoutez Monsieur Hekayat, nous vous avons demandé de venir au siège, car nous avons revu votre curriculum vitae et avons aussi appelé vos employeurs précédents...
Ce poste nécessite des accréditations et un niveau de sécurité qui est important. De ce fait, nous avons fait des vérifications d'antécédents, vous comprenez.


Il n'y avait aucune gêne dans la voix du Directeur de la Coordination Aérienne de l'Aéroport de Pomosejo. Son costume trois pièces en disait long sur son expérience... son salaire dans cette entreprise hautement prestigieuse.


- Ainsi, nous sommes heureux de vous avoir avec nous.
Nous avons votre contrat ici même et vous n'avez qu'à le signer et vous pourrez commencer une adaptation dés demain à la tour de contrôle.


Malik regarda par la baie vitrée donnant sur la ville. Non loin, un avion décollait et laissait la place à un atterrissage de l'autre côté de la piste. Il connaissait très bien ce ballet incessant, contrôlé.


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La Voz Del Popolo

13 janvier 2010 - Le général et dictateur Leopoldo Sapateiro, un modèle de gouvernance crédible après la réussite économique et militaire de son pays assailli et jadis occupé.


La figure paternaliste et invincible du Général Leopoldo Sapateiro, un ciment nécessaire à la pose des fondations politiques de l'extrême-droite dans l'archipel alguareno.
L’extrême-droite alguarena idolâtre le dictateur pontarbellois, le Général Leopoldo Sapateiro, grand héros des forces invasives d’extrême-gauche et émancipateur d’une péninsule pontarbelloise forte et indépendante.


Une bonne frange de l’opinion publique alguarena, soumise à la pensée radicale de droite, prônant un état fort et une Fédération alguarena globalisant la région Sud-aleucienne et Nord-paltoterrane, aurait exprimé à travers différents sondages, sa sympathie pour le Général Leopoldo Sapateiro. Figure martiale et héros incontestable de la guerre d’indépendance, le Général et commandeur des forces de l’Armée Nationale du Pontarbello Libre Leopoldo Sapateiro, s’est fait l’allégorie de toutes les valeurs soutenues par l’extrême droite alguarena, à commencer par sa capacité à défaire les armées kah-tanaises, puis pharoises, sur son sol.

Depuis l’éclatement de la guerre d’indépendance pontarbelloise et ls victoires défensives successives de l’armée pontarbelloise, sur les forces paramilitaires kah-tanais puis celles d’occupation pharoises, le Pontarbello a véhiculé une image de résistant à travers le monde, défaisant les forces armées lui étant hostiles, l’une après l’autre. Ce résistancialisme, porté à la connaissance des franges nationalistes alguarenas, ont peu à peu placé l’organisateur de cette défense héroïque, le Général Leopoldo Sapateiro, comme un rempart de la nation pontarbelloise toute entière. Une pensée née de la proximité des deux états, du caractère inédit des victoires militaires permises sur un ennemi en surnombre. Mais le nombre a ses limites et la barrière fournie par la vaillance est l’une d’elles. Le Pontarbello est riche de son courage et les revers infligés à ses ennemis sont les modèles de conviction et de détermination poursuivis par les nationalistes et patriotes alguarenos.

Le caractère autoritaire du régime de Leopoldo Sapateiro, ne freine en rien les amitiés de ces mouvances politiques ou certains diront, citoyennes, largement consacrées à la définition d’une Alguarena forte, portée par des hommes exemplaires et derrière lesquels des colonnes d’hommes et de femmes se diraient prêts à marche, dans une même direction.
L’aura et l’incarnation des hommes, un facteur d'inhibition pour la pensée traditionnelle, qui place la liberté individuelle avant toute chose. Face à un héros national, nourri par les victoires militaires, politiques et désormais économiques, les populations concèdent volontiers l’idée selon laquelle le développement d’un sentiment sécuritaire, dans un pays où les conflits et les crises se sont multipliés, prime sur toutes les autres aspirations. “On ne peut pas vivre heureux si l’on ne peut pas vivre en sécurité, sans certitude pour son lendemain” avait soufflé le Général Leopoldo Sapateiro, au lendemain de sa prise du pouvoir à Santialche, marquant définitivement fin à la guerre d’indépendance. La révolution ou encore l’indépendance, a ceci de fantastique qu’elle permet l’expression brute des velléités politiques les plus sommaires, et parfois mêmes irrationnelles, permettant de voir certaines populations installées dans le “monde libre”, appeler à la venue et à la prise de pouvoir des personnalités politiques de premier ordre et inscrites sous le même schéma dictatorial que celui du Général Leopoldo Sapateiro.

Le Général Leopoldo Sapateiro a porté l’autocratie à un niveau supérieur du résistancialisme et de l'héroïsme militaire, les gens, fussent-ils localisés dans des pays tels que la Fédération d’Alguarena, ont moins de craintes à l’égard de personnalités comme celle-ci, plutôt qu’à l’égard d’un chef d’état faible et couard, condamné à avancer le ventre au sol, pour ménager un électorat anti-réformiste et ancré dans l’immobilisme. Les alguarenos veulent une nation forte et respectée à travers le monde, considérant les menaces militaires grandissantes autour de l’archipel, particulièrement depuis la bataille aérienne l’ayant opposé aux forces armées kah-tanaises, première agression militaire étrangère dans l’espace souverain alguareno depuis plusieurs décennies.

Dans une posture défensive comme celle qui lui est imposée, la Fédération d’Alguarena et ses mouvances nationalistes sont dès lors amenées à sacraliser les fonctions mères du pays, à commencer par celle de chef de l'État. Mais force est aujourd’hui de constater, qu’en cas de guerre sur son territoire, la seule figure martiale faisant office de référence à travers le monde, est celle du Général Leopoldo Sapateiro, commandant-en-chef des Armées Nationales du Pontarbello Libre (ANPL).

Les hommes providentiels, en temps de crise, sont portés en très haute estime par les populations. Le Général Leopoldo Sapateiro a été l’un d’eux, lorsqu’il a fallu conduire des opérations d’indépendance ainsi que des actions armées contre un ennemi aguerri. La démocratie? à quoi bon dans un pays en guerre? La démocratie n’aurait dès lors d’utilité, que celle permettant la libre expression de son amour pour les régimes autocrates et totalitaires, une admiration de l’ordre et du respect indéfectible des codes qui régissent le bon fonctionnement d’une société paramétrée et surveillée telle l’huile sur le feu.

Ce sentiment approbateur et inédit, de populations alguarenas pour le Pontarbello, peut en effet se montrer choquant auprès de certains, considérant l’adoration de personnalités dictatrices, comme un désamour de soi et de l’humanité. Mais le constat permis est le suivant : “le Pontarbello n’aurait jamais pu être ce qu’il est désormais devenu, de libre et d’indépendant, une puissance économique et politique en devenir pour l’Aleucie, s’il n’avait pu être porté par des hommes d’exception à l’instar du Général Leopoldo Sapateiro…” explique Juliano Abrava, leader du parti “Fuerza, dedicación y pertenencia” (littéralement Force, dévouement et appartenance).

Il existe actuellement dans l’archipel alguareno, le développement d’un véritable réseau d’adorateurs de la dictature pontarbelloise, modèle emprunt de puissance et de réussite, qu’elle soit d’ordre politique, militaire et même plus récemment économique, que ce soit à son initiative ou par le biais d’investissements étrangers.

Modèle indépendantiste, modèle de victoire contre les communistes ou les libertaires, à chaque rêveur et à chaque nationaliste sa vision du Général Leopoldo Sapateiro. Une personnalité qui repousse, qui clive mais qui de plus en plus, fédère, par un parcours atypique, témoin de la force de voncition qui continue d’animer cet homme sexagénaire et toujours impeccablement présenté dans son uniforme qui lui confère une certaine aura, une certaine morale.

Les dictateurs, fussent-ils pontarbellois, un modèle de lutte contre les communistes et les anarchistes?

Si l’adoration du Général Leopoldo Sapateiro par des populations alguarenas repose essentiellement sur la capacité de ce dernier à redresser son pays, d’autres mettent également en avant l’idée selon laquelle, il existe aussi une théorie qui voudrait présenter cet officier accédant au rang suprême, comme un barrage ultime contre les mouvances extrémistes d’extrême-gauche, qu’elles viennent tantôt baigner dans le communisme, tantôt dans l’anarchisme. Une idée de premier plan qui dans un contexte croissant de tensions alimentées par l’UNCS (organisation internationale d’obédience communiste, réunissant l’ensemble des dictatures d’extrême-gauche) porte ces gouvernants comme le général Leopoldo Sapateiro, pour des personnes remarquées et pour un peu, remarquables.

Les récents bilans économiques pontarbellois qui ont fait état d’un redressement inégalable, viennent s’associer aux réussites de l’officier pontarbellois, à commencer par les résultats obtenus dans ses différents bras de fer militaires, entamés sur le terrain et contre des nations qui avaient toutes les raisons du monde, à effrayer le Pontarbello. Péninsule d’insoumis et d’irréductibles, le Pontarbello est passé en trois ans, de colonie à nation à part entière, puis désormais de nation à puissance régionale, cherchant encore les leviers nécessaires pour entamer l’incarnation d’un modèle inédit dans cette région du globe et pourtant hautement stratégique pour le commerce international ainsi que les relations diplomatiques, considérant la proximité des principales puissances mondiales qui y sont concentrées.

Il faut dire que la gouvernance du Pontarbello fait office de paradoxe, considérant son engagement dans le processus émancipateur voulu par l’indépendance de la péninsule face au colonisateur impérial listonien, et l'entretien d’un régime totalitaire fort sur place. “La gouvernance pontarbelloise a inscrit son action armée dans la quête de libertés, tout en entretenant un système politique fort impactant pour l’administration quotidienne du pays. C’est là un paradoxe car ses détracteurs ne peuvent pas à proprement parler, dire que le Général Leopoldo Sapateiro a privé le pays de liberté, il est littéralement l’instigateur du processus d’indépendance et le héros victorieux de la guerre qui en a découlé…” nous réexplique le chef de parti, avant son entrée en salle pour un meeting où il vantera une nouvelle fois les vertus de son modèle politique et humain.

De l’ordre et encore de l’ordre, voilà la promesse à laquelle souscrivent bien volontiers les adhérents des partis d’extrême-droite, remettant à plus tard l’interrogation de leur conscience quant aux échecs politiques et économiques des dictatures d’autres états, à l’instar de la famille impériale francisquienne et du Shah varanyen. “L’ordre est un préalable à toutes les sociétés prospères et selon la situation, le contexte, seuls des hommes forgés du même acier que celui qui constitue l’actuel dirigeant pontarbellois, peuvent le garantir…” Eviter les indécisions, statuer durablement sur les conflits, pacifier, voici les atouts d’un dictateur qui fédère de plus en plus au sein des partis d’extrême-droite alguarenos, en quête d’une figure forte pour défaire du pouvoir l’actuelle présidente fédérale Mazeri Abrogara. “La présidente fédérale Mazeri Abrogara entame son second mandat, il est plus que probable qu’elle ne se représente pas une troisième fois ou encore qu’elle ne soit pas réélue. C’est pourquoi la recherche de figures politiques fortes est d’ores et déjà un enjeu politique majeur de l’extrême droite alguarena. “Quand vous cherchez un individu présidentiable pour gouverner la première puissance mondiale, vous cherchez une personnalité, pas un parti. Il faut quelqu’un qui puisse incarner et représenter son pays et trancher les décisions sans se suspendre à un retour ou encore une approbation de son parti. Il génère l’approbation et provoque le soutien, pas l’inverse.” nous énonce notre conseiller pour la rubrique politique, énumérant là les traits caractéristiques des élections présidentielles, en comparaison à celles législatives, qui modélisent la représentation fédérale au sein de nos assemblées.
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  • Mérité !
Lynchage dans le quartier des épingles. Suite à de virulentes critiques formulées contre la gastronomie carnavalaise, plusieurs familles alguarenos forcées par la foule à boire des produits chimiques. Aucune nouvelle plainte rapportée depuis lors.
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Les Célébrations Chrétiennes de Naveces très appréciées par les Alguarenos :

Char Principal de la Parade

Le 25 décembre dernier avait lieu les célébrations chrétiennes à l'occasion de Noël dans le Royaume de Naveces. Ces dernières étaient rendues ouvertes au public étranger, une première depuis plus d'un siècle !

Des chrétiens Alguarenos, Siliquéens ou même Wielźminois avaient fait le déplacement pour ne pas manquer un tel événement. On peut dire que l'Eglise de Naveces avait mis le prix pour faire construire des chars d'exceptions pour la première internationale. Suite à la récente arrivée au pouvoir des libéraux menés par le Gobernador, Maximino Fernàndez Fernàndez, le pays s'est ouvert au monde tant sur le plan culturel que diplomatique. C'était donc l'occasion de montrer une tradition ancestrale de Naveces, le pèlerinage jusqu'à la Catedral de la Piedad. Les Alguarenos et les autres chrétiens y prirent part afin de pouvoir se repentir dans le lieu de culte principal du pays.

Comme le voulait la tradition, les musiciens et les danseurs arrivèrent en premier en jouant l'hymne du Royaume de Naveces. Ils étaient là pour faire rire, danser, chanter les paroissiens ce qui fut chose faite. Tous se mélangèrent dansant avec euphorie à la gloire du Christ. Après cela défilèrent les chars devant la foule pleine d'admiration, ils étaient grandioses et ces derniers mirent tous les nouveaux venus d'accord. Connaissant l'importance de cette édition spéciale, encore plus d'artisans avaient été mis au travail pour faire des chars les plus beaux jamais conçus dans le Royaume. Cette stratégie semblait avoir porté ses fruits, les Alguarenos comme tous les autres chrétiens semblaient comblés par le spectacle qui s'offrait à eux. Après cela, les serviteurs du Seigneur commencèrent le pèlerinage jusqu'à l'historique lieu de culte du pays, la Catedral de la Piedad. Grâce à l'entraide qui liait les chrétiens tous arrivèrent au sommet sans incidents malgré la difficulté de la marche. Les différents chars arrivèrent aussi au sommet grâce à la participation de tous, même ceux ayant fait le déplacement s'étaient portés volontaire pour aider les Naveceos à les amener au sommet comme le voulait la tradition. C'est une fois arrivés à destination que commença la messe de Noël assurée par l'évêque de Covadonga, il anima une cérémonie solennelle qui dura deux heures. C'est après cette journée chargée en émotion que les chrétiens rentrèrent chez eux pour fêter Noël avec leurs proches.

La cérémonie fut un succès, cette dernière attira de nouveaux pèlerins permettant un véritable partage collectif. L'évêque de Covadonga, ravi, nous accorda ces mots : "C'est avec beaucoup de joie que je vois cette célébration historique, Noël a toujours été une grande fête dans le Royaume et voir les Naveceos marcher main dans la main avec leurs frères Alguarenos, Siliquéens et Wielźminois m'a fait chaud au coeur. Nous espérons que la visibilité de l'événement permettra d'accueillir encore plus de pèlerins dans la maison du Seigneur. Je remercie tous ceux qui nous ont fait le plaisir de se déplacer pour partager les festivités avec nous, vous serez toujours les bienvenus pour célébrer de tels événements à nos côtés."

Les Alguarenos nous ont fait l'honneur de leur présence malgré la distance qui nous sépare d'eux. On ne peut que saluer leur dévotion, leur soif de découvertes et leur amour pour Dieu.

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Opération d'influence économique visant l'Alguarena

Pays infiltrant: Pharois Syndikaali + Commune d'Albigärk (expertise en sciences sociales, psychologie, communication venant en soutien des services secrets pharois)
Pays infiltré: Alguarena
Prévisionnel de la date (RP) de l'action clandestine : mai 2010
Prévisionnel de la date (HRP) de l'action clandestine : l'action pourra être arbitrée le 20 avril 2023
Type d’opération : intégration des mafias alguarenos à la piraterie pharoise


Province cible : #11927 Aserjuco

RECONTEXTUALISATION / FRISE CHRONOLOGIQUE DES EVENEMENTS PRE-OPERATION :

Les mafias Alaguernos, profitant du hub mondial que représente le Syndikaali pour le marché noir, ont commencé à s'implanter dans la région, avec un succès relatif (réussite mineur = influence locale). Localement, des familles sont désormais présentes sur le sol Pharois qui n'y a pas vu matière à s'inquiéter, étant habitué à accueillir les activités illégales du monde entier.

En s'impliquant activement dans le secteur de l'immobilier, ces familles ont toutefois naturellement attiré l'attention de la concurrence. La piraterie pharoise est une organisation bien rodée qui forme un tissu économique organique, chapeauté par la Merenlävät. L'arrivé de concurrents étrangers agressifs cherchant à prendre des parts de marché à forcément été repéré par ceux qui y ont perdu ou se sont vu coiffer au poteau, demandant à la Merenlävät une médiation (étape nécessaire avant élimination violente).

Les familles mafieuses Alguarenos ont ainsi pu être identifiées et un rapprochement s'est engagé. Le deal est le même pour tout le monde : respecter les règles de la piraterie pour bénéficier de ses réseaux, ou se voir écraser par la concurrence. Les gangs, syndicats armés, partis militarisés et groupes paramilitaires étant au coeur de la société civile pharoise, il n'y a pas d'espace pour des groupes dissidents. La collaboration entre le pays et ses factions est au coeur du contrat social pharois qui protège et encourage toutes les initiatives privées, à condition que celles-ci se fassent dans le cadre plus large de la piraterie pharoise, avec ses règles et ses logiques.

Jusqu'ici marginales, les actions des mafias Alguarenos, toujours pas intégrées à la piraterie, commencent à faire tâche dans le paysage. Puisque ces-dernières ne bénéficient pas des puissants réseaux clandestins pharois, elles se trouvent marginalisées à l'intérieur de l'économie pharoise et leurs occasionnels succès peuvent susciter de l'hostilité de la part du reste de la piraterie qui voit des concurrents ne pas respecter leurs règles. Il est donc temps de régulariser tout ça.


Cette opération se repose sur plusieurs forces et éléments concrets :
  • La piraterie pharoise, en tant que système économique mondialisé et bénéficiant de nombreux points d'ancrages dans le monde, représente incontestablement le modèle mafieux le plus aboutit à l'heure actuelle. Ce modèle bénéficie de nombreux avantages que n'ont pas les mafias alguarenos, à savoir l'expérience, l'ampleur mais surtout le soutien quasi inconditionnel de la seconde économie mondiale qui s'appuie en grande partie sur lui pour prospérer, consacre une partie conséquente de son industrie à lui fournir des armes et surtout le couvre et le protège grâce à des partis politiques et syndicats dédiés spécifiquement à cela (Parti Pirate, Front Démocratique des Kollektiivinen - un syndicat de l'armement, etc.). Ce modèle se montre accueillant, il est rare (et par exemple ce n'est pas le cas en Alguarena) qu'il entre en confrontation directe avec les mafias locales mais chercher plutôt à les intégrer à son système et les organiser. De fait, la proposition d'intégrer ce système est particulièrement intéressante pour les mafias Alguarenos qui pourront désormais profiter des énormes avantages et services proposés par le système pirate.
  • La présence de mafias alguarenos sur le sol pharois leur a permis de goûter au modèle économique du marché noir assumé (au 1er janvier 2010, le marché noir représentait à lui seul environ 562 milliards, des sommes colossales capables de concurrencer des pays entier). Plus de police, plus de taxes, plus besoin de blanchir l'argent, des villes casinos/dédiées au plaisir, et surtout un monde de la pègre cosmopolite et professionnel concentré dans les ports-libres du Détroit. Autant dire un petit paradis pour les criminels étrangers qui peuvent enfin relâcher la pression et faire des affaires sans pression. Un sentiment de liberté et de libération de leur potentiel auxquelles les quelques mafieux sur place ont pu goûter agréablement.
  • Le cosmopolitisme des ports Pharois, véritable porte entre plusieurs monde et où le trafic mondial débouche assez naturellement étant une place dédiée à cette fin, ouvre des opportunités économiques pour les mafias alguarenos : nouvelles drogues, nouveaux modèles d'armes, en fait toute une gamme de produits de contrebande auxquels elles n'avaient pas accès, n'étant pas un système cosmopolite, et qui trouveraient des débouchés en Alguarena.
  • L'expérience de la Merenlävät. Contrairement aux mafias Alguarenos qui forment une alliance opportuniste et de circonstance, la piraterie pharoise est un système bien rôdé, vieux de plusieurs décennies (voire siècles dans des formes plus primitives). C'est un véritable écosystème politique et économique qui accueille les Alaguarenos et les renvoie à l'archaïsme de leurs méthodes.
  • L'implantation plutôt marginale des mafias alguarenos au Syndikaali (réussite mineure + OP à seulement 10 000 points) implique explicitement que celle-ci est localisée, rendant facile l'identification des leaders et les prises de contact par une Merenlävät rôdé à l'exercice et un écosystème mafieux corporatiste qui repère vite la concurrence.
  • Les secteurs d'activités des mafias alguarenos ont profité des transformations du marché de l'immobilier, ont été sous l'oeil des projecteurs en raison de la stratégie économique visant à accueillir les Tahokais en les ghettoïsant et en fléchant le libre marché noir vers eux. De fait, les économistes, l'administration et les services secrets ont suivi comme le lait sur le feu l'implantation de ces nouvelles populations, concentrées géographiquement, facilitant l'identification de ceux qui cherchaient à exploiter ces nouveaux marchés (puisque c'était une volonté gouvernementale). A cela s'ajoute la grande coopération entre l'Eglise mécanique et l'administration pharoise, Eglise qui se trouve au coeur de la société Tahokaise et peu donc faire remonter des informations en direct.
  • La proximité des services secrets pharois avec l'Empire Listonien et le Grand Kah leur offre une bonne compréhension des moeurs paltoterranes de la région, facilitant la bonne tenue des rapprochements diplomatiques.

Beaucoup de voyants sont donc au vert pour agir en Alguarena.


OBJECTIFS DE L’OPERATION

L’objectif de l’opération est d'intégrer les mafias Alguarenos à la piraterie pharoise. Celles-ci changent d’allégeance, considérant l'efficacité du modèle du Syndikaali, tout entier consacré à la prospérité de la pègre.


Réussite majeure : Les mafias Alguarenos acceptent de jouer le jeu de la Merenlävät, pour leur meilleur profit. Les Îles Fédérées entrent dans le marché noir international et grâce à la puissance des mafias locales, la liaison Pharois-Alguarena devient un axe important de contrebande.

Résultat concret
  • Tous les bénéfices des OP impliquant l'implantation au Syndikaali des mafias Alguarenos sont annulés.
  • Dans une certaine mesure, le joueur du Pharois Syndikaali peut désormais jouer les mafias Alguarenos, dans le respect de la cohérence du lore du joueur de l'Alguarena.
  • Les OP clandestine contre le Pharois Syndikaali venues de l'Alguarena pâtiront désormais d'un malus, étant donné que les milieux clandestins travaillent en collaboration avec les pirates pharois aka en bout de course, ses services secrets.


Réussite mineure : La plupart des mafias Alguarenos acceptent de jouer le jeu, mais certaines sont réfractaires. Les mafias sont divisées, une guerre de gang est plus que probable.

Résultat concret
  • Le Pharois Syndikaali est désormais au courant des OP le visant via les mafias Alguarenos et peut agir en conséquence.
  • Dans une certaine mesure, le joueur du Pharois Syndikaali peut désormais jouer certaines des mafias Alguarenos, dans le respect de la cohérence du lore du joueur de l'Alguarena.
  • Grâce à la collaboration de certaines d'entre-elles, toutes les mafias Alguarenos présentes en territoire Pharois sont désormais clairement identifiées et sous surveillance.


Echec mineur : Les pour-parlers trainent et n'aboutissent à rien.

Résultat concret
  • Echec de l'opération, les malus classiques s'appliquent en cas de nouvelle tentative


Echec majeur : Les tentatives de rapprochement fonctionnent mal, les négociations sont perturbées voire jugées insultantes pour les mafias Alguarenos. Celles-ci sont désormais plus enclines à adhérer au narratif nationaliste des Îles Fédérées, malgré le manque à gagner financier.

Résultat concret
  • Echec de l'opération, les malus classiques s'appliquent en cas de nouvelle tentative
  • La coopération entre les mafias Alguarenos et le gouvernement des Îles Fédérées est facilitée.


LIMITES ET CONTRAINTES DE L’OPERATION
(ne pas hésiter à demander aux concernés l’ajout d’éventuelles contraintes supplémentaires)

Pas de contraintes particulières identifiées, les mafias Alguarenos sont faiblement implantées, très loin de chez elles, leur alliance n'est que de circonstance et elles doivent faire face à une concurrence professionnelle, bien mieux organisée à échelle d'un pays tout entier et équipée.


Moyens engagés :

La Merenlävät est mobilisée sur cette affaire.


Chaîne logistique :

Aucune chaîne logistique en particulier. La Merenlävät a l'habitude de traiter avec les mafias et les criminels qu'elle chapeaute. Il lui suffira d'approcher les mafias Alguarenos de manière classique.
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Logo services secrets du renseignement alguareno

22 avril 2010 - CONFIDENTIEL - Les mafias alguarenas auront toujours plus d'ennuis à avoir les services secrets pharois pour alliés que pour ennemis, compte-tenu de la localisation de leurs intérêts vitaux en Alguarena.


Policiers intervenants dans une résidence appartenant à une famille de la pègre.
Installés en Alguarena, où se concentre le gros de leur activité, les parrains et les caïds des mafias alguarenas sont plus vulnérables aux opérations du renseignement et de la police alguarenas que celle pharoise, ce qui limite fortement le degré de coopération permis avec elles.

Les parrains de la mafia ont vu leur villégiature en Alguarena en péril face aux services secrets alguarenos s’ils venaient à coopérer avec la piraterie pharoise. En effet, les fiefs historiques de la mafia alguarena, c’est-à-dire les résidences principales et familiales, les proches, les business historiques, les principaux investissements matériels ou immatériels sont en Alguarena. Par conséquent, une action policière sera toujours plus dommageable à leur encontre si elle était portée sur le territoire alguareno que celui pharois.

C’est pourquoi, lorsque les services secrets alguarenos contactent les familles mafieuses pour profiter de leur réseau à l’étranger, elles ont davantage d’intérêts à coopérer auprès de celle-ci que d’aller vent contraire face à elles au profit des services secrets pharois.

Pour les mafias alguarenas, s’il fallait raisonner sous une approche business, le Pharois Syndikaali est un marché secondaire comparativement à la première puissance mondiale où elles ont plus de billes à perdre. Privilégier l’absence de péril pour une zone d’implantation secondaire en risquant la perte de ses acquis au sein d’un fief historique, ne fait pas sens pour le commun des mortels. Aussi dans le cas où des mafieux des familles de la pègre installée au Pharois voudraient trahir les intérêts de la famille, ils deviendraient de facto des familles rivales pour celles-ci, car les barons du crime alguarenos ne se mettront pas à portée de tirs des services secrets alguarenas, capables de fomenter des coups montés, des destructions voire des assassinats maquillés, pour satisfaire les attentes d’organisations étrangères ne pouvant précisément ni les identifier, ni les localiser, ni les atteindre, contrairement aux forces de sécurité alguarenas.

La coopération policière entre la Fédération d’Alguarena et le régime totalitaire du Pontarbello, une crainte permanente pour les criminels pontarbellois et alguarenos intégrés aux mafias et susceptibles d’extradition pour avoir été accusés d’avoir commis un crime sur cet espace souverain.

Installées au carrefour du Pontarbello, les mafias alguarenas sont sujettes à la présence militaire pontarbelloise qui participe activement à la gestion des flux régionaux et le démantèlement de la piraterie locale. h Cette proximité géographique entre les deux États les oblige à une coopération active en matière de lutte contre la criminalité, ce qui touche nécessairement par ricochet, les réseaux mafieux en marge de la piraterie. L’insertion de l’appareil judiciaire dans le traitement de la criminalité régionale, amène un lot palpable de crainte pour les mafieux et les caïds de la pègre, jouissant de la nationalité pontarbelloise ou non. Si un caïd de la pègre alguarena est susceptible de se voir accuser par le Pontarbello d’avoir commis un crime sur son espace souverain, alors il peut techniquement se voir extradé à destination de la célèbre péninsule aleucienne. Un risque qui devient alors trop important pour ces hors-la-loi, qui ont en tête un vague aperçu des conditions de détention offertes par le Pontarbello. Les criminels de la pègre alguarena actuellement installés au Pharois Syndikaali mais pouvant susceptiblement avoir un passif criminel dans la Sud-aleucie, peuvent se voir bousculés par les services secrets alguarenos qui avanceraient alors l’idée de les menacer d’extradition immédiate vers le Pontarbello, en l’absence de coopération active avec les services du renseignement.

La chasse aux pirates, sport national dans l’archipel depuis la guerre d’indépendance et l’hostilité du Pavillon de l’Albastre, qui prive les institutions pharoises d’une réelle influence, voire d’un réel intérêt, pour les mafias alguarenas.

Les pirates se sont ouvertement mis à dos les autorités policières et judiciaires alguarenas, après l'exécution de plusieurs tirs missiles de croisières pirates dans le détroit durant la guerre d’indépendance pontarbelloise détruisant au passage une embarcation de l’ANPL. Cette capacité de nuisance démontrée a effectivement largement engagé les services secrets et les institutions alguarenos, à combattre ces entités où elles se trouvent. Un combat total, qui s’est porté à la fois sur les champs socioéconomiques et militaires du Yuhanaca, mais aussi contre les installations du Pavillon de l’Albastre local, en Izcalie.

Partout où le pirate s’installe, il draine dans son sillage et à sa proue, un cortège d’agents fédéraux, de policiers et de militaires alguarenos prêts à en découdre. C’est pourquoi se maintenir éloigné des pirates, constitue un facteur notable de survie, pour soi et son business. Les sphères entourant la piraterie, c’est-à-dire les institutions pharoises pour citer son seul cas spécifique, sont des catalyseurs à emmerdes pour tout criminel alguareno qui n'auraient pas décidé de ne jamais retourner au pays, tant ils sont la cible des mesures et contremesures étatiques fédérales.
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  • Woke !
Les produits chimiques de Carnavale dérivent vers les pays du sud : ce n'est pas raciste puisque la marée est noire, explique Jérômain Crinpette conseiller municipal à l'écologie.
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En Loduarie, le résultat des négociations se fait attendre.


Cela va bientôt faire un an que les Loduariens attendent le verdict final de L'Alguarena. En effet, suite à la décision de L'Alguarena, du Lofoten et de la Youslévie d'attaquer sans sommations la flotte Loduarienne, Kronienne et Lambroise au large de l'Afarée Kronienne, une crise diplomatique importante s'est mise en place en les belligérants, crise que la Camarade Secrétaire Général a absolument voulu régler au moyen de la diplomatie. Cependant, après s'être rendu, en Alguarena, rien n'a vraiment bien changé. Actuellement, la menace militaire pèse toujours sur la Youslévie, et l'avenir du continent Eurysien a l'air bien sombre.
Ainsi, la Loduarie attend avec impatience le verdict final de L'Alguarena, qui devrait sceller, si les exigences de la Loduarie sont respectés, un conflit qui pourrait engendrer des milliers de morts. Espérons que l'Alguarena fasse le bon choix.

À l'intention de Serance
Merci de bien vouloir me communiquer de n'importe quelle manière sur le forum la conclusion finale des négociations (dont nous avons discuté sur Discord avant mon départ précipité), de manière à ce qu'on puisse continuer le RP tranquillement.
Merci !
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La décision Alguarenos de rejeter les demandes Loduariennes pour la paix : une initiation à la guerre.

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Mais jusqu'où ira l'hyper-militarisme Alguarenos ?


C'est une décision sans appel qui vient de tomber sur la Loduarie. L'Alguarena vient en effet de refuser en bloc toutes les propositions Loduariennes pour la paix, mettant en l'air par la même occasion presque 1 an de négociations.

Cette décision de la part de L'Alguarena est à nos yeux une volonté flagrante de continuer la guerre impérialiste qu'elle mène au Kronos , nous confie un diplomate Loduarien. Soyons clairs : la Loduarie n'a pas à payer pour les erreurs de son allié Kronien. Nous avons apporté des garanties à l'Alguarena, comme quoi nous pouvions faire renoncer le Kronos, comme quoi si L'ONC cessait de nous menacer continuellement, nous serions disposée à arrêter de nous armer toujours plus...

Mais cela sonne creux à l'oreille des dirigeants Alguarenos. Ceux-ci préfèrent utiliser leurs bombes plutôt que leur parole, alors même la seconde ne leur coûte rien et que la première est gage d'auto-destruction.

Il est certain que si une nation comme l'Alguarena continue sur sa ligné actuelle, sa population, et je la comprends, finira par en avoir marre de cet impérialisme flagrant. Alors pourquoi continuer ? La réponse est toute simple, quand on creuse un peu : l'argent. Toutes les guerres qui aient existés ont étées menées dans un seul but, et ce but, c'est l'argent, et uniquement l'argent. Il est temps pour les peuples du monde entier de se rendre compte de ce qui se passe dans ce monde, et qu'il est temps de se rebeller une bonne fois pour toute contre les gouvernement impérialistes.

L'Alguarena, dans son impérialiste poussé à l'extrême, assume donc la faillite de la diplomatie pour la remplacer par la guerre, alors même qu'une bonne diplomatie peut faire des miracles.

On ne pourra jamais imposer à un autre peuple sa manière de vivre par la paix. Au Kronos Afaréen, c'est exactement ce qu'il va se passer, et cela va faire d'innombrables victimes au sein de la population civile, sans oublier les bombardements militaires qui risquent d'avoir lieu à tout moment et partout au Kronos Afaréen. La Loduarie ne veut que la paix et l'assurance que les civils ne soient pas touchés, mais cela a des contreparties. Certes la Loduarie demande l'équivalent de 1,2 milliards de pesetas alguarenas, et non pas 1,5 milliards comme ceux-ci peuvent le dire, mais il s'agit d'un dû que nous doit L'ONC -pas seulement l'Alguarena, les trois nation belliqueuses de L'ONC, à savoir L'Alguarena, le Lofoten et la Youslévie- un dû pour avoir coulé la flotte Loduarienne. C'est tout ce que nous demandons, avec l'assurance que la guerre soit finie une bonne fois pour toute. Mais visiblement, c'est trop leur demander, et ils ignorent ce que c'est, les sacrifices d'un peuple...

C'est sur ces mots durs que nous pouvons dure sans hésiter : tant que L'Alguarena refusera nos conditions, la paix ne pourra se faire, et sera compromise à jamais.
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Mai 2010 - Pharois Syndikaali et Alguarena
Les Aléas de l'Opérationnel



"... tu viens de manquer de respect à mon pays ?"

Le regard des Pharois resta de marbre, mais ils venaient de comprendre que le type en face avait été habilement choisi par ses supérieurs.

Esteban subit une pression intense depuis plusieurs mois. Il n'a pas été mis au courant du fait que le fronton qu'il doit assurer au sein du Pharois Syndikaali n'est qu'une couverture pour une opération plus subtile de prise d'information par un agent de la Pègre. Homme expérimenté et surtout dans des business violents et où les flingues sont dégainés pour négocier, il n'apprécie guère le ton des représentants de la Merenlävät qui tentent de créer une coopération entre les deux grandes organisations mafieuses.

Esteban pense que les Pharois se foutent de lui depuis leur arrivée et leur tentative de créer une place Alguarena au sein de la 2e puissance économique mondiale.
Autant vous dire que quand les deux représentants de la Merenlävät viennent lui lécher les baskets, il ne pense pas qu'il y a un projet réel derrière et il pense immédiatement à une ruse.


"... l'Alguarena n'est pas un havre... "d'opportunités"... tu crois vraiment qu'on a un pays sous développé ?"

Esteban sort un flingue et le pointe bien au centre de la tronche d'un Pharois. C'est un homme très intelligent, mais on ne lui a pas donné les bonnes informations et les chefs de la Pègre ont bien trop d'attentes pour le laisser tranquillement monter le business local. Le micromanagement ? Le stress prodigué par un environnement hautement hostile ? Des expériences difficiles lors des précédentes années au sein des Iles Fédérées ? Qu'importe, Esteban a décidé de rompre les tentatives des Pharois, quelles qu'elles soient.


"Tienes treinta segundos para salir o te enviaré de vuelta con tu madre con una bala en la cabeza."
Traduction
Vous avez trente secondes pour déguerpir ou je vous renvoie à vos mères avec une balle dans la tête.


Staff a écrit :
Opération d'influence clandestine arbitrée en échec majeur, enregistrée sous le n° 62788 du site ventsombres. / Détails de l'action

Réussite majeure : Les mafias Alguarenos acceptent de jouer le jeu de la Merenlävät, pour leur meilleur profit. Les Îles Fédérées entrent dans le marché noir international et grâce à la puissance des mafias locales, la liaison Pharois-Alguarena devient un axe important de contrebande.

Résultat concret
• Tous les bénéfices des OP impliquant l'implantation au Syndikaali des mafias Alguarenos sont annulés.
• Dans une certaine mesure, le joueur du Pharois Syndikaali peut désormais jouer les mafias Alguarenos, dans le respect de la cohérence du lore du joueur de l'Alguarena.
• Les OP clandestine contre le Pharois Syndikaali venues de l'Alguarena pâtiront désormais d'un malus, étant donné que les milieux clandestins travaillent en collaboration avec les pirates pharois aka en bout de course, ses services secrets.


Réussite mineure : La plupart des mafias Alguarenos acceptent de jouer le jeu, mais certaines sont réfractaires. Les mafias sont divisées, une guerre de gang est plus que probable.

Résultat concret
• Le Pharois Syndikaali est désormais au courant des OP le visant via les mafias Alguarenos et peut agir en conséquence.
• Dans une certaine mesure, le joueur du Pharois Syndikaali peut désormais jouer certaines des mafias Alguarenos, dans le respect de la cohérence du lore du joueur de l'Alguarena.
• Grâce à la collaboration de certaines d'entre-elles, toutes les mafias Alguarenos présentes en territoire Pharois sont désormais clairement identifiées et sous surveillance.
Echec mineur : Les pour-parlers trainent et n'aboutissent à rien.

Résultat concret
• Echec de l'opération, les malus classiques s'appliquent en cas de nouvelle tentative



Echec majeur : Les tentatives de rapprochement fonctionnent mal, les négociations sont perturbées voire jugées insultantes pour les mafias Alguarenos. Celles-ci sont désormais plus enclines à adhérer au narratif nationaliste des Îles Fédérées, malgré le manque à gagner financier.

Résultat concret
• Echec de l'opération, les malus classiques s'appliquent en cas de nouvelle tentative
• La coopération entre les mafias Alguarenos et le gouvernement des Îles Fédérées est facilitée.




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Les sœurs de l'OCC arrivent en Alguarena

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C'est motivée par un souci missionnaire et éducatif que les sœurs de l'Ordre des Clarisses de la Charité viennent de poser le pied sur le sol de la première puissance mondiale. Jusqu'à présent l'Alguarena avait été négligeait par les sœurs qui pourtant sont déjà implantées presque partout en Aleucie et dans un bonne moitié de Paltoterra, Voici donc un lacune comblée.

En ce qui concerne l'implantation concrète, le besoin d’hôpital n’existant pas en ce pays prospère, ou du moins est-il moins impérieux qu'ailleurs, les sœurs ont décidé qu'elles se contenteraient de leur seule mission d'enseignement. Ainsi ce sont pas loin de cinq cent sœurs qui ouvriront à terme pas moins de 25 écoles pour filles, tout niveau confondu (exception faite de l'enseignement supérieur) et à destination de toutes les populations.

C'est ainsi que les sœurs de l'OCC procèdent pour toucher les populations qu'elles vissent, elles ne prêchent pas car c'est une action d'homme et d'homme ordonné qui plus est, mais elles convertissent les populations ou rectifient les mœurs par les services concrets qu'elles rendent. La clé est le dévouement, la cible est la population, le carburant est l'amour de Dieu, la fin est, comme toujours, le salut des âmes.

Ici, l'objectif inavoué sera, en plus de sauver les âmes comme c'est toujours le cas, de tourner le plus de personnes du catholagnais rémiens (Jeune Catholagnisme) vers le catholagnicisme volignonais (Vieux Catholagnisme).C'est un conflit dogmatique vieux de cinquante ans qui se déroule encore et toujours dans l'incompréhension des non-initiés. Espérons cependant que de cet affrontement il sortira plus de bien que de mal.

En résumé
L'Ordre arrive avec 500 sœurs pour ouvrir 25 écoles de filles à destination de toutes mais prioritairement des populations catholaganaise rémiennes.
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Téarmaíocht / Alrahba


Les pieds croisés sur le bastingage,

La ligne flottant non loin, une bière locale "Gallina Grande" encore moussante, ou Gallina, à la main, bras tendu et pendant d'un accoudoir de fortune, la tête basculée en arrière, corps musclé sec étalé sur une chaise pliante meurtrie par des années de sel de mer, la peau cuivrée, fine et flétrie par endroits... son propre ronflement le réveilla.

Il bailla nonchalamment sous un chapeau de paille artisanal aussi large que ses épaules...



ahhh la vida es bella...


Sans bouger son bras, il laissa glisser la bière, dont la mousse dégoulinait avec délice sur son flanc, utilisant avec habilité ses doigts du corps jusqu'au long cou de celle-ci et la déposant presque naturellement sur le ponton en bois érodé par le passage des années, recouvrant la fibre de verre de son monocoque.

Objectif atteint, roupillage de quelques minutes au soleil... Il redressa de son autre main le chapeau pour lui permettre d'apprécier le spectacle.
Ses yeux verts magnifiques scrutèrent l'horizon en fronçant légèrement les sourcils face à la luminosité ambiante.

11h30, 30 degrés sûrement... le soleil est encore clément.

Eau turquoise sous le navire de loisir, on voyait carrément du corail effleurer au loin et juste après, tout autour sur de très nombreux kilomètres... un océan bleu foncé et ténébreux illuminé de milles feux par ce magnifique soleil d'Avril.
Il leva les bras et s'étira en faisant un gros bruit de lourdaud, lui l'homme mannequin qui faisait chavirer les coeurs des touristes des grandes villes. Voilà pas plus tard qu'hier, une petite minette lui avait fait tanguer son bateau avec ses sautillements frénétiques, un délice.
Tiens, elles sont où d'ailleurs ?

Il mit une main en visière malgré le chapeau de paille et se releva en faisant reculer la chaise qui vint presque renverser sa bière "au sol" encore légèrement fraîche.
A quelques dizaines de mètres de là, des tubas sortaient de l'eau. Une personne sortit la tête de l'eau et enleva son masque pour réajuster celui-ci et aussi utiliser la technique inefficace du crachat pour lubrifier et désembuer celui-ci. Quelques ajustements tout en battant des pieds dans l'eau, le masque remis sur la tête, l'élastique puissant bien serré au dessus d'une queue de cheval brune.

Mmhhh la vue était parfaite.
L'homme se frotta un coin de l'oeil pour en enlever quelques saletés et tituba avec un pas expérimenté toutefois vers la cabine de ce bateau de 18 mètres de long.
A l'arrière du bateau, un espace détente, des équipements de plongée et des sacs de vacanciers éventrés ou organisés, crème solaire et lunettes de soleil étalés sur des coussins anciens et confortables.
Aujourd'hui était un bon jour, toutefois ce n'était pas tout le temps qu'il y avait des clients d'Aserjuco pour payer le prix fort de cette petite excursion dans l'atoll Ensalada Rosa...

Et puis quand les affaires tournaient, il fallait y aller tous les jours. Répétitif et lointain, toutefois, la compétition n'avait pas encore pris le pli et restait aux alentours des côtes afin d'éviter de trop consommer de carburant et optimiser la marge journalière.

Carlos, par contre, aimait bien aller aussi loin... ça lui donnait une routine et... ça lui permettait d'échanger avec quelques navires de passages qui souhaitaient accéder à la policée Alguarena.
Loin du Pontarbello, loin du Grand Kah, loin des sites très touristiques, Carlos menait son petit business et son autre petit business en toute quiétude, naviguant vers l'atoll Ensalada Rosa régulièrement.



Rebroussant chemin, il se courba pour récupérer sa Gallina et regarda au loin les touristes lui faire des signes, hystériques devant le spectacle grandiose de cet atoll magnifique et presque immaculé de la pollution civilisationnelle.
C'était la brune d'hier ? Il plissa les yeux et sourit, qu'importe au fait.



ahhh la vida es bella...
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Depuis l'ambassade Tanskienne en Alguarena, l'activité s'est considérablement développée en quelques mois. L'importance des échanges et accords d'équipements militaires ont poussés le ministère à renforcer les services à la disposition de l'ambassadeur. D'une ambassade convenable, celle-ci est devenue l'une des plus imposantes du réseau diplomatique tanskien mettant à disposition de l'ambassadeur un conseiller économique, financier, culturel, politique et une mission de défense. Chacun disposant de plusieurs membres de personnels. Une véritable petite administration s'est développée.

Depuis peu, le gouvernement, en attente du résultat du recensement des ressortissants tanskiens dans la fédération, réfléchirait possiblement à l'établissement d'un ou plusieurs consulats pour accentuer l'accueil et le support national aux ressortissants.

Néanmoins, ce qui anime principalement l'ambassade depuis quelques semaines, n'a que peu à voir avec les ressortissants. Ce n'est aussi que guère lié aux achats d'équipements. La République suit activement la formation de ses pilotes de chasse et entretien des discussions fréquentes sur les différentes formations et retour sur expérience des matériels achetés. Non, c'est l'affaire Tansko-Miriandienne qui fait l'objet d'un suivi attentif.

Partenaire commercial, et désormais politique, important de la République Fédérale de Tanska, l'Alguarena entretient aussi une relation privilégiée avec la République de Miridian. Initialement, le ministre, Mar Loftsson, avait indiqué à l'ambassadeur qu'une tentative de médiation pouvait émerger, elle était venue du Duché de Sylva. C'est donc avec une attention particulière que le conseiller communication suivi la question de Mark Tuers et la réponse apportée par Valentina Curbelo.

Sans prendre de parti clair sur la question, la réponse de la vice-présidente a apportée une réponse convenable, presque rassurante. N'ayant pas reçu de communication officielle depuis l'annonce d'une médiation sylvienne, l'administration tanskienne en avait conclu qu'Alguarena adoptait des lors une posture attentiste sans être laxiste.

L'ambassadeur avait reçu depuis peu de l'administration centrale une note précisant qu'en aucun cas Tanska ne devait restreindre sa relation croissante avec Alguarena. Position rendant de fait difficile tout durcissement de la posture tanskienne vis-à-vis de Miridian d'après l'ambassadeur, mais il n'était pas au gouvernement.
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Chaleureux accueil pour les professeurs alguarenos !

Dans le cadre du partenariat éducatif entreprit par le Duché avec plusieurs de ses partenaires, d'importants efforts sont déployés pour assurer l'adaptation et installation la plus rapide et efficace des professeurs étrangers, dont ceux tout droit venus d'Alguarena. Des protocoles sont notamment mises en place pour accompagner ces nouveaux venus dans leur insertion professionnelle sur place avec plusieurs points :

-Un service dédié pour les assister dans leur recherche d'emploi, mise en contact avec le système éducatif sylvois, ou encore dans la prospection de logements. Il s'agit sommes toutes de porter un soutien dans toutes les contraintes pratiques d'un déménagement dans un pays étranger.

-Une prime "internationale" est également allouée aux professeurs internationaux, pour compenser les dépenses supplémentaires qu'impliquent leurs déménagements et l'alternance de la vie entre Sylva et leur pays natal, mais aussi encourager aux vicissitudes de tels décisions.

Ce travail se fait conjointement entre le département de l'éducation sylvois et les autorités alguarenos, le premier se tenant particulièrement à l'écoute des éventuels ajustements que le second aurait à recommander pour la bonne réussite de cette entreprise.

Si la collaboration se tourne actuellement avant tout sur l'apprentissage linguistique, se prépare déjà la seconde étape ambitionnée : la mise en place de cursus spécialisés (techniques, littéraires ou économiques) en espagnol de façon à façonner ce qui est déjà surnommée "une jeunesse sylvoise internationale" dans les établissement sylvois. Des prémices de cette volonté peuvent déjà se mettre en place dans les petites écoles voire maternelle, en exposant de jeunes enfants à des langues étrangères pour étudier des domaines encore généraux et accessibles. Aussi loin soit cette étape intermédiaire de former des ingénieurs de niveau universitaire avec des cours intégralement en espagnol, elle constitue déjà un premier pas et une phase expérimentale de laquelle pourront être faits les ajustements.

Le département de l'éducation sylvois est en effet pleinement conscient qu'une entreprise aussi ambitieuse ne saura réussir du premier coup en l'espace d'une année, et que des accrocs arriveront très probablement. La priorité est donc mise non pas sur la prévention de ces accrocs (sans pour autant négliger ce point là) mais sur une surveillance, réponse rapide et adaptation du dispositif suite aux imprévus. Le projet se veut évolutif et perfectible sur le temps, à mesure que ces échanges universitaires deviendront plus pointus.

Un point de frottement se fait par ailleurs déjà ressentir, quand bien même il ne concerne pas en soit les procédures d'intégration des professeurs alguarenos : nombreux sont les enseignants sylvois à se montrer jaloux des mesures particulièrement favorables envers les étrangers. Ils se sentent d'une part délaissés face à tout ce soutien aussi bien administratif que financier, et craignent même que cet excès de zèle à soutenir les contractuels d'outre océan favorise à terme les professeurs autochtones.

Habitué à ce type de contestations, le gouvernement assura prendre en compte tous les retours à venir et procéder aux ajustements requis, tout en insistant sur un point capital : "non, les enseignants sylvois ne seront pas mis en retrait et ne se verront pas prendre des places par les citoyens alguarenos". Par ailleurs aucun rejet des professeurs alguarenos ne sera exprimé de la part des hôtes sylvois (à l'exception de quelques-uns qui seront sanctionnés pour la chose).

Loins d'être en restes, les enseignants sylvois se lancent à la conquête de l'Alguarena !

Réciproquement à l'accueil de personnel éducatif de l'archipel au nord, se prépare la traversée des professeurs du continent. Il s'agira grossièrement d'appliquer les mêmes mesures d'accueil que les professeurs alguarenos en Sylva, sous la charge des institutions sylvois qui tiendront alors des échanges étroits avec les autorités du partenaire académique.

Le département de l'éducation est toutefois surpris de constater que les professeurs sylvois sont très enthousiastes à tenter le grand voyage et pour cause : les salaires médians en Alguarena sont de loin supérieurs à ceux proposés en Sylva, et si des comparaisons concernant le coût de la vie ne semblent pas clairement établies, le pouvoir d'achat y reste très favorable. Le pays est qui plus est un centre touristique et culturel important dans lequel les continentaux sont ravis d'aller se perdre. Tant de points qui font l'attractivité des îles fédérées.

Concernant la fonction des professeurs à l'étranger, elle ne sera pas uniquement de fournir des cours de français, mais aussi de servir d'ambassadeurs de l'éducation sylvoise. Il s'agira donc de partager les méthodes pédagogiques d'une part, mais aussi de relayer les efforts entre autorités sylvois et alguarenos. Ce second point concernera notamment l'organisation des correspondances entre élèves étrangers, que Sylva tient à mettre en place au plus tôt pour toutes les raisons ludiques, pédagogiques et culturelles listées jusque-là.

Le processus d'échanges universitaires est donc pour conclure pleinement lancé avec la ferme intention de le mener à bien et atteindre tous les objectifs voulus sur le long terme.
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Une massive manifestation anti-ONC organisée à Lyonnars se répand dans tout le pays

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Un exemple des manifestants dans la ville de Galaisie, face à l'hôtel de ville.

Tout commence à Lyonnars. Le Parti Communiste de notre belle nation, ayant appris les récentes décisions politiques au sein de l'ONC, a décidé d'organiser une grande manifestation à Lyonnars, afin de dénoncer l'Organisation des Nations Commerçantes. Animée par notre Camarade Secrétaire Général et des membres du Parti Communiste, la manifestation a compté plus de 1 millions de personnes, et a été suivi un peu partout dans le pays (6 millions de manifestants au total), grâce aux différentes antennes du Partir disséminés un peu partout.
Mais pourquoi de telles manifestations, et pourquoi maintenant ?

Il se trouve que l'ONC, ces derniers jours, a voté un projet d'ampleur, un projet qu'ils ont nommé "Commission de médiation interétatique pour la justice et le droit". Cette organisation annexe à l'ONC, comme son nom l'indique, permet de juger les personnes considérées comme criminelles par l'ONC. Le problème ? C'est que cette soi-disant commission ne se fixe aucune limite. Ainsi, elle se réserve non seulement le droit de juger toute personne échappant à la juridiction nationale des états membres de l'ONC, mais également à émettre des avis de recherche internationaux contre eux et venir les chercher dans leur pays.

Prenons un exemple simple. Vous êtes un milicien communiste vivant par exemple en Arcanie. Vous avez déjà tué, par le passé, des soldats du Lofoten au côté des pirates rouges Pharois. Le Lofoten émets un avis de recherche contre vous. En l'état, vous n'êtes en sécurité nul-part, même dans les pays qui vous protègent.

Ainsi, l'ONC fait encore une fois preuve d'un impérialisme plus que flagrant, camouflé par l'ambïguitée que sa commission invoqué.
Actuellement, comme par hasard, les seules personnes recherchés sont les camarades Baldassare Calabraise et Alexei Stanislasvovich Malyshev. Pour faire court : 2 chefs d'états communistes qui ne reviennent pas à l'ONC. Et quels sont donc leurs crimes et la raison de leur recherche ?
Le Camarade Baldassare Calabraise est accusé d'avoir orchestré des crimes contre sa population sur son territoire (à tord soit dit en passant), mais donc pas contre l'ONC, et surtout sans aucun rapport avec l'ONC.
Le Camarade Alexei Stanislavovich Malyshev est quant à lui accusé de crimes de guerre suite à son implication dans la guerre Prodnovienne, faits non vérifiés et faux, et surtout de menace contre la paix mondiale par son attaque contre l'ONC. Il également entre autres accusé d'avoir rompu les Accords de Nevskigorod. Ces deux derniers faits sauraient êtres vérifiés, nous pouvons l'accorder à l'ONC. Mais en remettant dans le contexte, on obtient un tout autre résultat.
L'ONC a précipité le Prodnov dans la guerre, en l'envahissant sans prévenir en 2008. L'ONC a rompu les accords de Nevskigorod en empêchant la libre-circulation des Prodnoviens suite à la partition du pays en zones d'occupation, et en faisant stagner d'importants contingents armés dépassant la limite prévue par les Accords. Le Camarade Alexei Stanislavovich Malyshev n'est qu'un homme défendant son pays contre un envahisseur étranger, et ne saurait être tenu responsable des actes barbares et impérialistes de l'ONC à l'encontre du Prodnov.

L'ONC, conçue originalement comme institution visant à développer la coopération commerciale entre états membres et la stimuler, et désormais devenue une institution paramilitaire internationale.
L'ONC promet Paix, Partage et Prospérité aux états du monde entier.
Pour elle, la paix et devenue synonyme de guerre. Pour elle, le partage se résume à un échange de tirs d'artillerie. Pour elle, la prospérité se retrouve dans la misère et la rancune fatale causée par la guerre.

Que le monde ne s'y trompe pas ! L'ONC cherche, par tous les moyens, à finir par le dominer.
L'ONC impose et ordonne, l'ONC anéantit et tue. La seule légitimité que l'ONC aie jamais invoqué face au états non membres est sa force militaire. Car quelle est l'actuelle légitimité de L'ONC, à travers sa nouvelle "Commission de médiation interétatique pour la justice et le droit", à pouvoir juger des personnes non soumises à sa juridiction, n'ayant commis aucun crime avéré ou volontaire envers elle, et surtout à aller les chercher chez eux en dehors de sa juridiction ? Nous le disons haut et fort :
L'ONC N'EST PAS LÉGITIME !

Nous ne pouvons nier que l'ONC est puissante. Mais des voix, dans le monde, s'élèvent. Un nouveau groupe de nations démocratiques et capitalistes s'est formé, à savoir l'OND, remettant en cause la seule existence de L'ONC. Le LIBERALINTERN est toujours debout face à l'ONC menaçante. L'UNCS, bien que plus aussi puissante qu'à ses débuts, et toujours présente. Et même chez les états membres de l'ONC, de très nombreuses voix s'élèvent, critiquant toujours plus cette organisation terroriste et meurtrière. Le combat contre l'ONC n'est pas terminé, Camarades !
Il est désormais temps de dénoncer, et même si la lutte s'annonce très longue, nous la parcourons ensembles, et nous vaincrons !
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