Dernière actualisation le 16/01/2005
- Pas de vote en cours
Historique des votes :
- Proposition de loi : souveraineté et liberté
- Proposition de loi : investissements pour l'avenir
- Proposition de loi : Commerce, économie et travail
- Proposition de loi : Pour une ville-monde
- Proposition de loi : sur la durée minimale d’application d’une disposition législative
- Proposition de loi : pour l'adoption d'une toponymie cohérente
- Proposition de loi : Privatisation, Dérèglementations et taxes
- Proposition de loi portant réforme de l’héritage
- Proposition de loi sur la hiérarchie des normes
- Proposition de budget : Autonomie kotioïte
- Proposition de référundum : Un nouveau nom pour Kotios
Orientation politique : extrême gauche
Idéologie(s) principale(s) : anarcho-syndicaliste, révolutionnaire, internationaliste
Histoire du parti : Le Parti de la Libération est le parti historique fondateur de la Commune de Kotios. Piloté en sous-main par la Fraternité des mers du Nord (groupe terroriste révolutionnaire anarchiste du Pharois Syndikaali) qui l'arme et le pousse à la révolte, c'est à son initiative que la ville se soulève et déclare son indépendance en août 2004. Pour le moment il est largement majoritaire.
Parti Communiste Libertaire :
Orientation politique : extrême gauche
Idéologie(s) principale(s) : anarcho-syndicaliste, révolutionnaire, internationaliste
Histoire du parti : Le Parti Libertaire est un parti fantoche inféodé au Parti de la Libération, légèrement moins marqué à gauche, il sert surtout à accorder plus de temps de parole aux thèses de ce-dernier.
HRP : vous l'avez compris, ce parti représente l'influence de Kotios sur elle-même et est le léger avantage accordé au camp ayant pris le pouvoir en premier.
Le Parti du Peuple :
Orientation politique : Droite
Idéologie(s) principale(s) : Internationalisme, autoritarisme démocratique
Histoire du parti : ///
Ordre de la croix blanche :
Orientation politique : extrême-gauche
Idéologie(s) principale(s) : pacifisme, internationalisme, anarcho-christianisme
Histoire du parti : Après le début des troubles dans les EAU, la famille Rose décida de faire le ménage parmi ses croyants. Si la plupart des anarcho-chrétiens établis au sein du convoi prirent les armes pour rejoindre des réseaux clandestins, l'ordre de la croix blanche était en grande parti composé de pacifistes, ce qui rendait leur vie difficile dans les rues de Raxington. C'est alors qu'ils détournèrent avec la complicité de l'administration de Molly Harris un convoi de cargos (avec une partie des réserves prévu pour l'année 2004-2005 pour le convoi Rose), où ils s'entassèrent pour aller chercher une vie plus tranquille ailleurs. Ils avaient entendu parler de Kotios, ville de toutes les promesses puisque plutôt calme après avoir été libérée d'un joug impérialiste, et décidèrent par un vote de s'y installer. Leur installation se passa plutôt bien, et ils utilisèrent les ressources à leur disposition pour ouvrir un hôpital qui offre des soins accessibles. En réalité, le pâté de maisons autour de l'hôpital forme une vraie petite communauté interne à Kotios, généralement appréciée puisque pacifistes. Le seul point noir est le prosélytisme chrétien dont font preuve les habitants, mais il faut les comprendre, Jésus les a déjà sauvés, c'est à eux maintenant de sauver les autres en abolissant les classes sociales.
Libre Entente
Orientation politique : inclassable (centre ?)
Idéologie(s) principale(s) : libertarianisme, démocratie directe, populisme
Histoire du parti : Libre Entente est l’émanation politique du Pavillon de l’Albastre, le principal équipage pirate d’Izcale, qui a contribué à la marge au mouvement d’indépendance de Kotios, en scellant une alliance de circonstance avec les pirates pharois. Libre Entente est pour ainsi dire le parti de la débauche, qui souhaite l’abolition de toutes les normes sociales pour faire de la métropole une ville-monde, ouverte à chacun, où chacun pourrait trouver sa place. Pêle-mêle, le parti prône la légalisation de toutes les drogues, des modes de vie alternatifs (homosexualité, polygamie, polyandrie, abolition de la majorité sexuelle…), des jeux d’argent, l’ouverture totale des frontières, mais également la légalisation du port d’armes et réduire l’Etat à ses strictes missions régaliennes. Le parti souhaite également une privatisation partielle de l’armée, pour en faire profiter des sociétés militaires privées amies du Pavillon de l’Albastre. Au niveau institutionnel, Libre Entente plaide pour une démocratie directe, assortie du droit de bannir définitivement de la Commune les individus les moins désirables (similaire à la pratique de l’ostracisme sous la Grèce antique). Enfin, si le parti est favorable à l’institution judiciaire, il veut également ouvrir le droit de faire justice soi-même, par exemple par l’organisation de duels si les deux parties sont consentantes.
Bloc des Républicains sociaux, Radicaux et Patriotes (BRP) :
Orientation politique : centre-droit, droite
Idéologie(s) principale(s) : populisme de droite, souverainisme, social-conservatisme, radicalisme, anticléricalisme, patriotisme, protectionnisme, étatisme
Histoire du parti : le BRP est issu de la jonction entre différentes factions politiques informelles. D'une part, le départ des autorités impériales a marqué l'émergence d'un courant violemment anti-francisquien, hostile à la présence impériale et plus globalement aux intérêts de l'Empire francisquien, sur le sol de la cité comme au-delà. Cette faction anti-impériale s'appuie largement sur les classes populaires, spoliées par l'Empire. Leurs revendications portent notamment contre l'Église : celle-ci est accusée de soutien à l'Empire, de corruption et plus globalement de n'être pas subordonnée aux intérêts de la Nation et du peuple. Le rejet de l'Empire s'accompagne, au sein de cette faction anti-impériale, d'un fort patriotisme pour la nation en gestation.
Une autre des factions qui a permis la création du Bloc est celle des sociaux-conservateurs : attachés à la patrie et aux intérêts souverains, les sociaux-conservateurs voient dans le rôle de l'État celui d'un acteur essentiel de la vie économique, défendant les intérêts de la Nation contre les ennemis extérieurs. Bien qu'attachée à l'ordre religieux et clérical, la faction social-conservatrice a consenti au sacrifice des intérêts de l'Église, trop corrompue avec l'envahisseur impérial.
Une troisième faction informelle du BRP est celle des souverainistes : hostiles au libéralisme mondialiste, ils voient dans le protectionnisme un moyen de rendre au peuple sa souveraineté économique comme politique, contre les influences qui pourraient être néfastes aux intérêts de la Nation et du peuple.
Union des Travailleurs de Kotios :
Orientation politique : Gauche Radicale
Idéologie(s) principale(s) : Collectivisme, syndicalisme ouvrier, socialisme, industrialisation, lutte des classes comme moteur de l’Histoire
Histoire du parti : "Alors comme ça, vous pensiez pouvoir vous débarrasser de nous, les prolétaires, les rats des docks, les souillards, les soudards, les plein-d’suie, les tanchards, les pochards, les écrouteurs, les exploités, soudeurs, visseurs, marteleurs, … ? Vous pensiez vraiment que nous resterions bien sages dans nos ateliers, à bosser à la chaine comme des forçats, à regarder cette ville se faire sans nous, et à nos dépends ? Et bien mirate koyo, c’te ville, elle est à nous, l’Union des Travailleurs ! Et on compte bien y rester. Quoi ? T’as dit quoi l’soufflé ? Augmenter nos salaires ? T’as cru quoi koyo, qu’on f’sait la manche comme des crevards ? Qu’ça suffirait à nous calmer, quand toi et des totos vous becquetez d’la poularde dans vos dom, to fresca ? Dégage koyo, tes usines, elles sont à nous. Tes chaines de montage, elles sont à nous, les travailleurs ! Et on s’arrêtera pas, pas tant qu’on n’aura pas mis en sécurité nos p’tiots et qu’on t’aura pas couvert de goudron. Not’ comité d’direction, l’est p’têtre pas aussi bling qu’vos poudrés avec leurs costards et leurs « je vous prie de bien vouloiiiiiir cesser la grèèèève», mais nos gars sont derrières nous. Entre ouvriers, on se serre les coudes, c’comme ça qu’on marche. T’as peur d’la grève ? T’inquiètes bébo, on est bien pire que la grève. On est d’jà à l’Assemblée !"
L'Union des Travailleurs est l'organe représentatif des ouvriers et des prolétaires de Kotios. Organisés sous l'égide d'un Comité de Direction composé des représentants des différentes branches, l'Union des Travailleurs forme un corpo-syndicat à visée politique. Son objectif est d'améliorer les conditions de vie des prolétaires en favorisant la collectivisation des moyens de production. Partisan des actions coup-de-poing, des discours enflammés, des appels à la grève et d'une intensification de la lutte des classes, ce corpo-syndicat possède une influence certaine dans les docks et les usines de Kotios. Si sa base militante est bourrue, dure à la tâche et prompte à l'action pour parvenir à ses fins, ses dirigeants ont compris que pour pouvoir peser dans le jeu de l'Assemblée, il fallait savamment manœuvrer pour parvenir à ses fins. Elle tient un journal et une émission de propag... euh ... d'information, qui lui sert à fédérer les masses. L'Union des Travailleurs est une organisation marxiste, particulièrement retorse, qui n'hésite pas à menacer et brimer les syndicats minoritaires qui n'adhèrent pas à ses idées. D'un côté ... pourquoi voudriez-vous être contre l'Union des Travailleurs ? Elle ne veut que votre bien.
Parti Libéral-Libertaire :
Orientation politique : Attrape-tout
Idéologies principales : Libertarianisme, Libéralisme (Capitalisme), Non-interventionnisme, Laissez-faire, Dérèglementation, Libéralisme économique et culturel, Conservatisme fiscal, Individualisme
Histoire du parti : Le parti Libéral-Libertaire a été crée par l'association de plusieurs entreprises privées mondiales, notamment GAZNOV qui cherche de nouvelles terres où s'implanter. Le parti cherche à établir à Kotios une ville libre, sans état, ayant comme seul "chef" le marché. Pour cela, le parti milite pour une baisse des taxes sur les sociétés, la propriété, et les grandes fortunes. Pour elle, ne pas taxer les grandes fortunes encouragerait les gens à devenir des grandes fortunes et donc d'enrichir tout le monde. D'après le parti, la propriété privée est sacrée et, contrairement à ce que les anarcho-syndicalistes disent, est compatible avec une société libertaire. Le parti Libéral-Libertaire souhaite également ouvrir Kotios au monde en encourageant le libre-échange, favorisant donc ses investisseurs (GAZNOV et autres compagnies privées).
Le parti reçoit évidemment le soutien total des entreprises et des riches mais souhaite conquérir des classes en dessous. Bien que le système de classes sociales est théoriquement abolie selon l'idée même anarchiste, le Parti Libéral-Libertaire n'est pas idiot, qu'on le veuille ou non, il y aura toujours des riches et des pauvres, et des gens entre deux. C'est eux que le parti souhaite conquérir. Avec le soutien de cette partie de la population, le parti pourra s'élever et être un des principaux partis de l'assemblée populaire.
Renaissance :
Orientation politique : Droite à extrême-droite
Idéologie(s) principale(s) : Essentialisme, identitarisme, archéofuturisme, anticommunalisme, darwinisme social
Histoire du parti : Renaissance a été fondé en réaction au projet de loi « pour une ville-monde » déposé le 18 août 2004 à l'Assemblée Populaire par le parti Libre Entente, prévoyant de faire de Kotios une terre d'accueil ouverte à toutes les nationalités, et un État sans langue ni culture propre. Destiné à rassembler le peuple autochtone de la région autour de la préservation de son propre patrimoine historique, culturel, et génétique, le parti voit d'un très mauvais œil l'influence politique exercée par les pirates pharois à travers le Parti de la Libération, et rejette même leur simple présence au sein de la ville. Il est profondément identitaire, et fortement hostile aux nostalgiques de l'occupation francisquienne, que sa rhétorique compare souvent à celle des pirates étrangers. Renaissance milite pour la reconnaissance constitutionnelle de l'identité culturelle et ethnique de la région, la réforme des institutions de la commune au profit d'un régime représentatif, et l'expulsion des individus ne relevant pas du peuple historique local. Le parti est représenté par sa porte-parole Laurène Vandewalle, jeune femme issue de la bourgeoisie lettrée, qui revendique une parenté avec l'ancienne noblesse du Duché de Ravendrecht.
Club du Salut Public (Section Kotioïte du Grand Kah) :
Orientation politique : Extrême-Gauche internationaliste.
Idéologie(s) principale(s) : Féminisme, municipalisme libertaire, écologisme, confédéralisme international, Grand Kah, Révolutionnarisme Kah-tanais, anti-colonialisme.
Histoire du parti : Émanation assumée du Grand Kah, défendant son système, sa façon de concevoir les choses et son exemple historique en matière de révolution sociale et libertaire, le Club du Salut Public a été fondé par les quatorze Citoyens envoyés en mission par le Kah au sein de l'ELF. Renvoyés lors du début de la guerre opposant l'empire au Nhorr, les envoyés se rabattirent plutôt sur Kotios, expérience révolutionnaire unique où ils décidèrent de fonder un "Club" politique dans la plus grande tradition Kah-tanaise, visant à restructurer la ville selon leur doctrine propre. Très opposés à l'impérialisme sous toutes ses formes, ils observent les partis trop nationalistes ou émanant trop directement de nations "oligarchiques" (à comprendre : de n’importe quelle nation, si démocratique fusse-t-elle, conservant un système capitaliste), avec méfiance et agacement. Le club est doté de compétences diverses, d'un large panel d'expertises et d'une capacité inhabituelle au militantisme, à la formation populaire et à la "restructuration constructive". Leur méthode d'action consistant à organiser leur parti comme une confédération communale - système qu'ils désirent mettre en place à l'échelle de la ville - de telle façon que les citoyens désirant simplement prendre part à la vie de leur quartier, se renseigner sur les dernières nouvelles, ou jouir des nombreux services publics et cours organisés par le Club, se retrouvent qu'ils le veulent ou non à participer à leur système, à exister en son sein, à y vivre et, par conséquent, à avoir tout intérêt à le défendre. Un doux mélange d'entrisme et d'invasion à l'amiable, leur ayant permis en l'espace de quelques jours seulement de sécuriser d'importantes zones de contrôle, fermement défendus par des milices populaires formées en vitesse par les militaires Kah-tanais venus avec les représentants.
Un parti probablement radical. Très, voir trop radical. Mais capable de se montrer plus... Raisonnable selon les sujets, les moments, et les promesses politiques.
Collectif Minarchiste de Kotios :
Orientation politique : Centre-droit (libéralisme - libertaire - décentralisation des pouvoirs - renforcement des individualités)
Idéologie(s) principale(s) : Le parti prône une intervention limitée de l'état en société, cantonnant les actions de ce dernier au maintien de la souveraineté du territoire. Très méfiant quant aux initiatives régulatrices du pouvoir et toute volonté de centralisation par celui-ci, le CMK sort des sentiers battus en défendant des pistes de droit nouvelles, telles que le droit à l'armement pour des citoyens ou groupes d'autodéfense, le raccourcissement des mandats électifs puisque le dirigeant n'a pas vocation à appliquer des programmes politiques mais plutôt à se garant de certains droits le temps d'une "permanence étalée sur plusieurs années".
Histoire du parti : Le parti est né grâce à l'arrivée de l'ex-professeur d'université et maître-conférencier Javier Albuarena, originaire de la Fédération d'Arkencheen. Perçu comme insubordonné et contestataire par l'administration arkencane, ce dernier s'est fait radier du corps enseignant arkencan pour ses pensées critiques à l'égard des institutions, y compris celle en charge des enseignements publics. "Profitant" de la crise politique franciscaine qui a débouché sur la proclamation de l'indépendance de Kotios, il a rejoint ce territoire pour y envisager de nouvelles réflexions dans l'organisation de la société.
Rejoints par plusieurs kotioïtes franciscains indépendantistes et désabusés par la répression du régime impérial et la gestion politique désastreuse du pays, il fonde le parti ce 20 août 2004 pour entretenir des alternatives crédibles et des droits individuels renforcés.
Le logo du parti est d'ailleurs un arbre traduisant le renouveau, la santé et la vitalité, surmontés de plusieurs individus distincts de plusieurs couleurs différentes.
Rassemblement des Patriotes pour l'Indépendance de Kotios (RPIK) :
Orientation politique : Troisième position, droite à extrême droite
Idéologie(s) principale(s) : Troisième position, patriotisme (voire nationalisme), anticommunisme, anticapitalisme, conservatisme, socialisme de droite, indépendantisme, anti-francisquien.
Histoire du parti : A l'origine le Rassemblement des Patriotes pour l'Indépendancede Kotios était un groupe violent qui militait pour l'indépendance de Kotios. L'Indépendance arrivée, ses anciens membres ont décidé de s'unir pour créer un mouvement politique patriote pour Kotios. Le RPI a maintenant lâché les armes, mais reste tout de même assezvirulent. Le RPI réclame une fermeture totale de Kotios aux étrangers (particulièrement francisquien), une plus grandes défenses des travailleurs de Kotios, trouver un compromis entre le communisme et le capitalisme et que Kotios n'ai aucune influence sur sa politique ou son économie de la part EDLF.
Couleur du parti : Noir et rouge (couleurs du drapeau de Kotios)
Le Nouvel-Ordre
Orientation politique : Extrême-droite, impérialisme et nationalisme exacerbé, teinté de capitalisme.
Idéologie(s) principale(s) : Le Nouvel-Ordre souhaite clairement l'instauration d'un Etat totalitaire sur la ligne la plus dure qui soit, fondé sur un esprit ultra-nationaliste, raciste et xénophobe totalement assumé.Le Nouvel Ordre exècre le chaos et tout ce qui y mène, telles que les manifestations, les protestations, et même l'expression de certaines libertés les plus fondamentales. Pour y parvenir, rien de plus simple : surveillance de la population poussée à son paroxysme, militarisation de toute la société, glorification de la symbolique et des drapeaux nationalistes, sans oublier une hyper hiérarchisation où chaque individu aurait une place attitrée, et serait sous la responsabilité d'un supérieur, et ce depuis l'étage le plus bas de la pyramide sociale jusqu’aux plus hautes sphères du pouvoir.
D'un point de vue économique, le capitalisme est la doctrine dominante, mais l'idée est de converger vers un gigantesque complexe militaro-industriel, où tous les biens et services produits seraient avant tout destinés à assoir la suprématie et l'hégémonie du Nouvel Ordre, dans un but d'expansion coloniale et de conquête militaire, voir d'asservissement. Travaux forcés, exécutions sommaires, expropriations, esclavage, et exploitation sans vergogne des populations ne sont que des moyens qui justifient la fin.
Histoire du parti : Le parti est né sur les cendres de l'idéologie impériale francisquienne dans ce qu'elle a de plus extrême. En effet, ce parti a été fondé par les noyaux durs de tous les extrêmistes que pouvaient compter cet Empire Latin Francisquien, et dieu sait qu'ils sont nombreux, ces déçus que le "Rêve Impérial Absolu" ne soit pas aller beaucoup plus loin. Dès sa fondation, et dans une sorte d'euphorie collective, le parti est devenu soudainement attractif à cause de tout le décorum et de la symbolique militaire omniprésente. Foule de mécontents de la politique classique, de nostalgiques du fanatisme francisquien, voir des citoyens lambdas apeurés et terrorisés par la montée du libéralisme, du progressisme et surtout du socialisme, ont rejoint en masse le Nouvel Ordre...avant la fameuse Purge de 2003, qui a vu nombre d'anciens cadres du parti disparaître mystérieusement. De plus récemment le nombre d'adhérents a été fortement réduit, par l'expulsion de tout ceux qui sont notamment considérés comme trop "tièdes" ou pas assez...nationaliste.
(mais tout le monde peut voter, quel que soit son nombre de sièges)
Se référer à ce message pour le détail du système de vote en posant après ce message.
(vous êtes bien entendu fortement encouragés à argumenter vos propositions)