De : Jean-louis Gaudion, Ministère des affaires étrangères du Royaume de Teyla.
A : Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste.Cher Secrétaire Général,
Je prends ma plume pour vous écrire en tant que représentant du Royaume de Teyla, de la nation entière, allant de ses institutions à son peuple. Une lourde tâche nous incombe au regard des relations tendues entre nos deux nations. En effet, les entraînements militaires de la Loduarie Communiste aux frontières de Teyla sans aucun avertissement sont un événement préoccupant aux yeux du gouvernement de Sa Majesté Catherine III. La réponse du Royaume fut proportionnelle, la position du Royaume n'a pas changé quant à ces événements. Le Royaume de Teyla demande toujours des explications pour ne pas avoir averti les autorités de Teyla. L'affront fait à la nation Teylaise de la part de la Loduarie Communiste oblige à des explications. Je souhaite appuyer qu'un non-avertissement est dangereux pour les habitants à la frontière pouvant créer des mouvements de panique. De plus en cas d'un tir manqué ou de toute action militaire dérapant même au sein de l'entraînement aurait pu créer un précédent qu'aucune de nos deux nations, je suis certain, ne souhaitent. Le Royaume note et se réjouit que depuis ces événements malheureux qu'aucun incident est à noter entre nos deux nations. Cet aspect est très important pour le reste de cette missive diplomatique.
Nous avons été surpris, que votre nation réponde à l'appel d'offres du Royaume de Teyla pour l'acquisition de bâtiment de guerre et la mise à niveau de ses infrastructures militaires. Comme évoquée dans notre appel d'offres, l'Assemblée nationale aura le dernier mot quant aux acteurs retenus pour chaque partie de l'appel d'offres. L'Assemblée nationale a étudié, conjointement avec le gouvernement et l'état-major, la réponse de la Loduarie Communiste à l'appel d'offres. Concernant la partie III et la partie V, je suis au regret de devoir émettre un avis défavorable quant à l'offre de vos industriels. Toutefois, concernant la partie IV ainsi que le reste des parties pour l'instant, nous ne pouvons émettre d'avis à l'heure actuelle. Vous l'avez évoqué des rencontres seront nécessaire. Le Royaume vous rejoint sur cette affirmation, cela vaut aussi pour la partie IV. Je tiens à dire que si aucune explication convaincante n'est donnée aux préoccupations citées dans l'introduction de cette lettre alors vos offres seront refusés. Nous souhaitons organiser une rencontre entre nos ministres de la Défense et des affaires étrangères pour voir ce qui est possible d'obtenir sur ce dossier pour que chaque partie soit satisfaite.
Ceux ne sont pas les seuls sujets que je souhaite évoquer. Nous souhaitons évoquer la nation de Nouvelle-Canaan, plus exactement Théocratie de la Nouvelle-Canaan. Il est évidant que cette nation représente toutes les valeurs opposées du Royaume de Teyla. Nous présumons que votre nation nous rejoint sur la Nouvelle-Canaan. Cette nation représente elle aussi toutes les valeurs contraires de votre nation. L'esclavage est toujours admis sur leurs terres selon leurs préceptes religieux. Nouvelle-Canaan est une nation de l'Ouest Eurysien se trouvant à votre frontière et à deux cent trente kilomètres de la nôtre. La stabilité régionale, mais aussi de vos frontières pourra être remis en cause du fait de cette nation. En partant de ce constat morose, nous avons plusieurs propositions à soumettre à la Loduarie Communiste.
-Le Royaume approuve et soutient l'initiative de la Loduarie concernant le blocus maritime, terrestre et aérien de Nouvelle-Canaan. La Loduarie à le soutient plein et entier du Royaume tant qu'aucune action agressive ne provient de la Loduarie en premier.
-La création d'un sommet régulier entre nos nations, dont les membres pourront être les chefs d'états, de gouvernement et les ministres de la défense et des affaires étrangères, sur la Nouvelle-Canaan. Cela sera permettra, je pense, de coordonner des actions pouvant être nécessaire pour prévoir toute menace venant de Nouvelle-Canaan.
-Emettre une réflexion sur un traité pour contrer l'influence des nations réactionnaires, fasciste.
Dans l'attente de votre réponse, monsieur le secrétaire général, veuillez agréer mes sincères salutations.