Axis Mundis, le 23 Mars 2010
Aux camarades et compagnons de l'assemblée générale des collectivités de la République Autonome de Priscyllia,
Camarades,
L’Assemblée Générale est toujours heureuse de recevoir de vos nouvelles, même en des temps si difficiles. Il va de soi que concernant l’acte fraternel ayant initialement lié nos peuples, nous considérons que vous ne nous devez rien. Nous vous avons aidé, car c’est la nature de l’engagement libertaire, de ce que nous nommons Kah. Nous avons confiance quant au fait qu’à l’occasion, il vous semblera possible de nous aider pour des raisons toutes aussi nobles.
De la même façon, nous vous aiderons à nouveau, parce que vous nous en faites la demande, et que cela est dans nos moyens. Vive l’Humanité.
Concernant le Mokhaï, l’avis de la convention est qu’il serait malavisé de laisse l’Impérialisme libéral s’exprimer à nouveau, en remplaçant la structure infecte de l’actuel État Mokhaï par une autre, tout aussi infecte. Le régime Jashurien, qui pratique la démocratie comme une banque pratique la transparence, doit se voir repoussé par des méthodes évitant une amplification des souffrances du peuple Mokhaïens. En la matière nous sommes prêts à nous associer à vos efforts diplomatiques à et déployer, si vous le jugez utile, des agents perturbateurs ou du matériel de combat.
C’est en ce qui concerne le Grand Kah dans son ensemble. J’ai aussi fait passer votre demande à nos chers compagnons de l’Assemblée Communale Générale de Heon-Kuang. Leur réponse arrivera séparément, mais sans doute dans le même temps.
Bien à vous, et très fraternellement,
L’Assemblée Générale est toujours heureuse de recevoir de vos nouvelles, même en des temps si difficiles. Il va de soi que concernant l’acte fraternel ayant initialement lié nos peuples, nous considérons que vous ne nous devez rien. Nous vous avons aidé, car c’est la nature de l’engagement libertaire, de ce que nous nommons Kah. Nous avons confiance quant au fait qu’à l’occasion, il vous semblera possible de nous aider pour des raisons toutes aussi nobles.
De la même façon, nous vous aiderons à nouveau, parce que vous nous en faites la demande, et que cela est dans nos moyens. Vive l’Humanité.
Concernant le Mokhaï, l’avis de la convention est qu’il serait malavisé de laisse l’Impérialisme libéral s’exprimer à nouveau, en remplaçant la structure infecte de l’actuel État Mokhaï par une autre, tout aussi infecte. Le régime Jashurien, qui pratique la démocratie comme une banque pratique la transparence, doit se voir repoussé par des méthodes évitant une amplification des souffrances du peuple Mokhaïens. En la matière nous sommes prêts à nous associer à vos efforts diplomatiques à et déployer, si vous le jugez utile, des agents perturbateurs ou du matériel de combat.
C’est en ce qui concerne le Grand Kah dans son ensemble. J’ai aussi fait passer votre demande à nos chers compagnons de l’Assemblée Communale Générale de Heon-Kuang. Leur réponse arrivera séparément, mais sans doute dans le même temps.
Bien à vous, et très fraternellement,
Citoyenne Actée Iccauhtli
Membre du Comité de Volonté Publique
Au nom du Commissariat aux Affaires Extérieures
Exclave de Heon-Kuang, le 23 Mars 2010
À destination de l'Assemblée Générale des Collectivités de la République Autonome de Priscyllia
Camarades,
La décision n'aura pas été très difficile à prendre : nous sommes peut-être les seules régions libertaires et réellement socialistes du Nazum, et il est important que nous entretenions des contacts réguliers et efficaces. Les camarades et compagnons de route de Heon-Kuang seraient ravis de recevoir une délégation permanente. De la même façon nous apprécierions vous envoyer certains de nos plus valeureux représentants, en qualité d'ambassadeurs.
Concernant la question première, celle du Mokhaï, nous sommes extrêmement perturbés et inquiets. Bien-sûr nous partageons votre préoccupation pour la bonne santé de la population régionale, mais sommes avant tout agacés du comportement d'un Jashuria dont les ambitions impérialistes sur la région s'expriment un peu trop ouvertement à notre goût, et sur des tons confinant à l'hypocrisie quand on sait combien leur économie utilise les outils que Heon-Kuang, la socialiste, mets à sa disposition. Que dire, le capitalisme se nourrit de mensonges.
Tout de même. Ce sont des gens qui essaient de se faire passer pour à moitié plus raisonnables qu'ils le sont, et il est sans doute possible de limiter leur intervention en les prévenant de l'image qu'elle renverrait, voir en nous attachant les efforts d'autres pays de la région, peut-être plus attachés à leur stabilité qu'à la liberté du Mokhaï, mais que l'on pourrait charrier derrière nous en y mettant les moyens – économiques ou diplomatiques. Le Burujoah, notamment, pourrait être utile pour toute manœuvre diplomatique de grande ampleur.
Concernant nos communes, nous devons le reconnaître : Heon-Kuang est un territoire fragile par nature. Mais nous disposons de quelques capacités logistiques pouvant s’avérer utiles. Je pense notamment à la zone militaire de Prian et au Fort Aleph, disposant d’importants aérodromes militaires et de terminaux portuaires adaptés aux navires de combat. C’est l’ancien quartier général de notre marine et, en conséquence, l’endroit a été pensé pour accueillir les hommes et femmes de l'Impériale. S’il faut vraiment jouer des muscles, nous pourrons au moins les stocker, servir de lieur de transit.
Bref, sur cette affaire nous restons à votre disposition. Nos moyens sont à vous concernant le Mokhaï.
Respectueusement,
La décision n'aura pas été très difficile à prendre : nous sommes peut-être les seules régions libertaires et réellement socialistes du Nazum, et il est important que nous entretenions des contacts réguliers et efficaces. Les camarades et compagnons de route de Heon-Kuang seraient ravis de recevoir une délégation permanente. De la même façon nous apprécierions vous envoyer certains de nos plus valeureux représentants, en qualité d'ambassadeurs.
Concernant la question première, celle du Mokhaï, nous sommes extrêmement perturbés et inquiets. Bien-sûr nous partageons votre préoccupation pour la bonne santé de la population régionale, mais sommes avant tout agacés du comportement d'un Jashuria dont les ambitions impérialistes sur la région s'expriment un peu trop ouvertement à notre goût, et sur des tons confinant à l'hypocrisie quand on sait combien leur économie utilise les outils que Heon-Kuang, la socialiste, mets à sa disposition. Que dire, le capitalisme se nourrit de mensonges.
Tout de même. Ce sont des gens qui essaient de se faire passer pour à moitié plus raisonnables qu'ils le sont, et il est sans doute possible de limiter leur intervention en les prévenant de l'image qu'elle renverrait, voir en nous attachant les efforts d'autres pays de la région, peut-être plus attachés à leur stabilité qu'à la liberté du Mokhaï, mais que l'on pourrait charrier derrière nous en y mettant les moyens – économiques ou diplomatiques. Le Burujoah, notamment, pourrait être utile pour toute manœuvre diplomatique de grande ampleur.
Concernant nos communes, nous devons le reconnaître : Heon-Kuang est un territoire fragile par nature. Mais nous disposons de quelques capacités logistiques pouvant s’avérer utiles. Je pense notamment à la zone militaire de Prian et au Fort Aleph, disposant d’importants aérodromes militaires et de terminaux portuaires adaptés aux navires de combat. C’est l’ancien quartier général de notre marine et, en conséquence, l’endroit a été pensé pour accueillir les hommes et femmes de l'Impériale. S’il faut vraiment jouer des muscles, nous pourrons au moins les stocker, servir de lieur de transit.
Bref, sur cette affaire nous restons à votre disposition. Nos moyens sont à vous concernant le Mokhaï.
Respectueusement,
Shao Kai Yuhan,
Commissaire aux affaires des exclaves
Au nom de l'Assemblée Communale générale de Heon-Kuang .