Dans un grand bureau était assis plusieurs personnes toute épuisés mais une lueur d’espoir dans le yeux. Prônait au milieu du bureau un homme, en col roulé avec une barbe de 3 jours, devenue célèbre grâce à un appel resté dans la mémoire de tous. Son unité avait reçu il y a peu l’aide de deux agents du R.U.N.E.S qui les avait persuadés de faire route vers la région de Peprolo au nord ouest du pays. Cette zone avait été rattachée à l’Union Albienne, plus précisément au Pharois Syndikaali et au Norstalkian. Le Royaume-Uni de Norstalkian a pris des mesures fermes et immédiate pour restaurer la vie d’avant à plus de 1 000 000 de Prodnovien sous son contrôle. La vie n’était pas simple et toujours autant instable entre le territoire appartenant aux forces coalisées et la capitale dirigé par un gouvernement insurrectionnel. Mais lui croyait en la réussite en la liberté et la croyance en tous. Il s’appel Volodimyr Kouchensky, général de la résistance de l’ouest, avec sous ces ordres environ 900 hommes croyant dur comme fer en la victoire. Son appel avait été laisser sans réponse, mais nullement oublié par les puissances du grand nord. En particulier Alexander Johansen, Premier ministre du R.U qui une fois le territoire destiné à Albi récupérer, il le nomma Président par intérim. Bien qu’il n’est plus beaucoup de pouvoirs il était un symbole fort et connu partout, aimé comme détesté, admiré comme haïs. Mais nul ne pouvait ne pas connaître sa tête marqué, creusée et abîmée par les champs de bataille et les piqûres d’insectes pendant le maquis.
Mais bref, retournons à notre réunion, 11 personnes en majeur parti des hommes étaient réunis autour d’un table ronde dans une salle peut éclairée mais qui semblait grouiller de soldats. Derrière eux plusieurs drapeau, celui de l’Union Albienne, celui du Norstalkian et celui du Pharois. Ils étaient là, côte à côte se regardant d’un air martial. Les échanges de regard duraient, et cela pendant un long moment, avant que Volodimyr dénia de prendre la parole :
Volodimyr Kouchensky : " Bien, camarades, chers amis. Voilà maintenant 24 heures que j’ai été nommé à ce poste, prestigieux mais inutile étant donné que nous n’avons plus aucun pouvoir. Ma popularité dans la région a augmentée et je compte bien l’exploiter. Nous avons plusieurs ordres à respecter : l’organisation des élections législatives, la libération des soldats prodnoviens et la mise en place d’une propagande pro-Albienne. Monsieur le Vice Président, nous vous écoutons. "
Dimitri Peanstersky : " Camarade Président, j’ai pu m’entretenir avec Alexander Johansen pour travailler sur un budget pour les élections mais nous sommes appauvris. Sans autorisation de l’UA nous seront plongés dans la famine et dans la misère. J’ai bien peur que nous nous soyons battus pour rien et qu’en réalité nous nous soyons encore condamné. "
Vladimir Severodonesk : " Camarade vice-président, ne soyez pas défaitiste, faisons confiance en Albi nous n’avons pas le choix de toute façon. Nous n’avons déjà plus besoin de s’occuper de notre sécurité interne et externe. "
Volodimyr Kouchensky : " Camarades ministres, il est bien entendu hors de question de douter de la confiance que nous avons en les nations Albiennes, ils nous ont aidés et nous leur rendrons la perche, coûte que coûte. Les élections attendront donc la visite de Johansen, j’espère également que Mainio débarquera. Les deux nous seront d’une grande aide pour faire entendre notre voix."
Fabre Welskenky : " Camarades ministres, pardonnez moi de mon impatience et de vous avoir interrompu mais je souhaite vous présenter un emblème qui nous unira sous le même étendard. Je l’ai appelé « Espoir patriotique », pour un état temporaire comme le nôtre l’emblème communiste retiré, les couleurs nationales rouges et vertes ainsi que le drapeau de l’Union Albienne. Vous validez ?"
Volodimyr Kouchensky : " En effet Camarade Ministre du Peuple, cela n’est clairement pas le sujet. Mais ce drapeau temporaire fera l’affaire. Il nous reste encore une longue nuit de débats. "